Magazine Jardin

La chalarose du frêne est arrivée... chez moi

Publié le 17 novembre 2016 par Sambuca

J’ai fait une très grosse crise de procrastination. Les constatations sur mon terrain de Veneux m’ont tellement traumatisée que j’ai eu du mal à écrire cette note sur mes horribles constatations d’il y a environ une semaine.

En 40 ans mon terrain en est à sa troisième catastrophe. La première a été un gros chancre sur un énorme hêtre, le tronc de hêtre le plus gros que je n’aie jamais vu. Il avait sans doute été traumatisé par des travaux sur un terrain voisin. J’avais fait intervenir un spécialiste : curage à la tronçonneuse puis traitement, rien n’y a fait. A la chute de sa première énorme branche j’ai dû me résoudre à faire supprimer toutes ses branches, le danger était trop grand. Le tronc est toujours là. Couvert de lierre, c’est mon HLM pour oiseaux et chauve-souris.

Quelques années plus tard, ce fut la graphiose des ormes. J’en ai perdu 13, plus ou moins grands. Le vide ne se voit plus, les autres arbres l’ont comblé avec leurs branches.

L’atteinte de mon frêne, je l’ai découverte par la présence d’une énorme touffe d’armillaire à son collet. Mais l’armillaire n’a fait que profiter de la situation.

Le feuillage vert qu’on voit derrière le charme et le sorbier torminal, c’est une branche encore saine du frêne :

1 frêne veneux 12 nov 2016 001 (2).jpg

Mais si on vise plus bas, on voit toutes les branches mortes :

2 frêne veneux 12 nov 2016 001 (5).jpg

3 fraxinus malade veneux 7 nov 2016 006 (1).jpg

A la base du tronc l’écorce est pourrie sur toute la circonférence :

4 fraxinus malade veneux 7 nov 2016 006 (4).jpg

L’armillaire :

fraxinus armillaire veneux 6 nov 2016 001.jpg

fraxinus armillaire veneux 6 nov 2016 003.jpg

fraxinus armillaire veneux 6 nov 2016 004.jpg

fraxinus armillaire veneux 6 nov 2016 005.jpg

Évidemment, il est condamné. Et j’ai un deuxième frêne !

J’ai fait une très grosse crise de procrastination. Les constatations sur mon terrain de Veneux m’ont tellement traumatisée que j’ai eu du mal à écrire cette note sur mes horribles constatations d’il y a environ une semaine.

En 40 ans mon terrain en est à sa troisième catastrophe. La première a été un gros chancre sur un énorme hêtre, le tronc de hêtre le plus gros que je n’aie jamais vu. Il avait sans doute été traumatisé par des travaux sur un terrain voisin. J’avais fait intervenir un spécialiste : curage à la tronçonneuse puis traitement, rien n’y a fait. A la chute de sa première énorme branche j’ai dû me résoudre à faire supprimer toutes ses branches, le danger était trop grand. Le tronc est toujours là. Couvert de lierre, c’est mon HLM pour oiseaux et chauve-souris.

Quelques années plus tard, ce fut la graphiose des ormes. J’en ai perdu 13, plus ou moins grands. Le vide ne se voit plus, les autres arbres l’ont comblé avec leurs branches.

L’atteinte de mon frêne, je l’ai découverte par la présence d’une énorme touffe d’armillaire à son collet. Mais l’armillaire n’a fait que profiter de la situation.

Le feuillage vert qu’on voit derrière le charme et le sorbier torminal, c’est une branche encore saine du frêne :

1 frêne veneux 12 nov 2016 001 (2).jpg

Mais si on vise plus bas, on voit toutes les branches mortes :

2 frêne veneux 12 nov 2016 001 (5).jpg

3 fraxinus malade veneux 7 nov 2016 006 (1).jpg

A la base du tronc l’écorce est pourrie sur toute la circonférence :

4 fraxinus malade veneux 7 nov 2016 006 (4).jpg

L’armillaire :

fraxinus armillaire veneux 6 nov 2016 001.jpg

fraxinus armillaire veneux 6 nov 2016 003.jpg

fraxinus armillaire veneux 6 nov 2016 004.jpg

fraxinus armillaire veneux 6 nov 2016 005.jpg

Évidemment, il est condamné. Et j’ai un deuxième frêne !


Retour à La Une de Logo Paperblog

Magazine