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« Le petit Chaperon rouge » VS***

Publié le 06 décembre 2016 par Observatoiredumensonge

petit-chaperon-rouge-copie-2Il était une fois un petit président dans un village nommé France, c’était même le plus mauvais président de la Vème République; son entourage en était fou, on se demande bien pourquoi?
Son entourage lui fit faire un petit chaperon rouge, qui lui seyait si bien que partout on l’appelait désormais le petit Chaperon rouge.
Un jour mère Royal surnommée aussi « et vogue la connerie », ayant cuit et fait des galettes, lui dit : « Va voir comme se porte mémé Aubry, car on m’a dit qu’elle était malade, porte-lui une galette et ce petit pot de beurre. »
Le petit Chaperon rouge partit aussitôt pour aller chez mémé Aubry, qui demeurait dans un autre village.
En passant dans un bois Le petit Chaperon rouge rencontra compère le loup, un loup que l’on avait surnommé Valls, qui eut bien envie de le manger, déjà! Mais il n’osa, à cause de quelques bûcherons qui étaient dans la forêt.
Il demanda où il allait ; le pauvre petit, qui ne savait pas qu’il est dangereux de s’arrêter à écouter un loup, lui dit : « Je vais voir mémé Aubry, et lui porter une galette avec un petit pot de beurre que mère Royal lui envoie. »
— Demeure-t-elle bien loin ? lui demanda le loup.
— Oh ! oui, dit le petit Chaperon rouge, c’est par-delà le moulin que vous voyez tout là-bas, à la première maison du village.
— Hé bien, dit le loup, je veux l’aller voir aussi ; je m’y en vais par ce chemin ici, et toi par ce chemin-là, et nous verrons qui plus tôt y sera. »
Le loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus court, et le petit Chaperon rouge s’en alla par le chemin le plus long, s’amusant à cueillir des noisettes, à courir après des papillons, et à faire des bouquets des petites fleurs qu’il rencontrait.
Le loup ne fut pas longtemps à arriver à la maison de mémé Aubry ; il heurte : Toc, toc. « Qui est là ?
— C’est François le petit Chaperon rouge (dit le loup, en contrefaisant sa voix) qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que mère Royal vous envoie. »
La bonne mémé Aubry, entre deux whisky, qui était dans son lit à cause qu’elle se trouvait un peu mal, lui cria : « Tire la chevillette, la bobinette cherra. »
Le loup tira la chevillette, et la porte s’ouvrit. Il se jeta sur la bonne femme, et la dévora en moins de rien ; car il y avait plus de trois jours qu’il n’avait mangé.
Ensuite, il ferma la porte et s’alla coucher dans le lit de la mémé, en attendant le petit Chaperon rouge, qui quelque temps après vint heurter à la porte.
Toc, toc. « Qui est là ? »
Le petit Chaperon rouge, qui entendit la grosse voix du loup, eut peur d’abord, mais croyant que mémé Aubry était enrhumée, répondit : « C’est le petit Chaperon rouge, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que mère Royal vous envoie. »
Le loup lui cria en adoucissant un peu sa voix : « Tire la chevillette, la bobinette cherra. » Le petit Chaperon rouge tira la chevillette, et la porte s’ouvrit.
Le loup, le voyant entrer, lui dit en se cachant dans le lit sous la couette : « Mets la galette et le petit pot de beurre sur la huche, et viens te coucher avec moi. » Le petit Chaperon rouge se déshabille, et va se mettre dans le lit, où il fut bien étonné de constater comment mémé Aubry était faite en son déshabillé. Le petit Chaperon rouge lui dit : « Mémé Aubry, que vous avez de grands bras !
— C’est pour mieux t’embrasser, mon petit.
— Mémé Aubry, que vous avez de grandes jambes !
— C’est pour mieux courir, mon enfant.
— Mémé Aubry, que vous avez de grandes oreilles !
— C’est pour mieux écouter, mon enfant.
— Mémé Aubry, que vous avez de grands yeux !
— C’est pour mieux voir, mon enfant.
— Mémé Aubry, que vous avez de grandes dents !
— C’est pour mieux te manger. »
Et en disant ces mots, ce méchant loup se jeta sur le petit Chaperon rouge, et le mangea.
Le petit Chaperon rouge, trop imbu et trop fier, n’avait rien vu venir.
Son entourage s’était fait avoir lui aussi:
« quand un loup a faim, il n’est pas contrôlable©… »
C’est ainsi que le loup Valls devint le candidat du du PS.
Moralité de la fable: « mes chers Con-patriotes voici le temps de la Valls revenu.. »
Valls revient en première ligne pour aller à la pêche aux voix.

« La vérité est une délicieuse plante qui ne pousse pas toujours comme on voudrait »©.

Alexandre Goldfarb

Président fondateur de lObservatoire du MENSONGE

*** « Le petit Chaperon rouge » VS vous l’avez compris VS signifie Version Socialiste…

NB: ceci est une libre inspiration du fameux « petit Chaperon rouge »… mais qui correspond tellement bien à ce qui se passe chez les socialistes donneurs de leçons.

L’autre fable à lire: La Cigale et La Fourmi

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