Magazine Humeur

Le socialisme rime avec: illusionnisme et archaïsme.

Publié le 16 janvier 2017 par Observatoiredumensonge

Des QI de bulots débattant sur un plateau, la mayonnaise n’ayant pas pris, sans saveur, fade, plat, ennuyeux, d’une médiocrité attendue !
Cuits, ils sont cuits. Du clientélisme à outrance afin de s’assurer des votes ! La course au désastre est ouverte, de la surenchère démagogique des uns par rapport aux autres on se demande jusqu’où l’ineptie les conduira afin de médiatiquement exister ! La gauche avec tout son appareil se fonde sur la propension à l’irréel. Ce progrès que les socialistes vendent, c’est l’équivalent de la chute, d’une régression d’une société. Plus notre avenir se rétrécit et plus nous nous laissons choir dans ce qui nous ruine ! Personne ne sauve personne ; car on ne sauve que soi, et on y arrive d’autant mieux qu’on déguise en convictions le malheur qu’on veut distribuer et prodiguer. Si prestigieuses qu’en soient les apparences elles ne sont que d’une générosité douteuse, pire dans ses effets qu’une agressivité patente. Cette Gauche, jalouse vos opinions, votre résistance aux dogmes ou aux slogans, votre bienheureuse incapacité de vous y inféoder. Elle veut vous asservir vous contraindre à ne pas être différent d’elle. Cette Gauche tyrannique qui devient folle s’imagine que ses soucis et ses tribulations seraient moindres si, sous forme de « programme » elle arrivait à les octroyer au peuple « sous-développé », auquel elle reproche de n’être pas dans le coup, c’est-à-dire dans le vertige. Des socialistes qui paniquent devant un horizon bouché. Des hallucinés, des calamités en mouvement, qui dans un élan suprême nous entraineraient vers le pire, après ces cinq dernières années d’un désastre inouï, afin d’assurer l’avènement qu’ils s’acharnent à niveler à uniformiser le paysage humain, à en effacer les irrégularités et à bannir les surprises ; ce qu’ils aimeraient y faire régner, ce ne sont pas les anomalies, c’est l’anomalie, l’anomalie, convertie en règle de conduite comme impératif. Ceux qui s’y dérobent, ils les taxent d’obscurantisme ou d’extravagance et ils ne désarmeront pas avant de les ramener dans le droit chemin, dans leurs erreurs !
Bien que chacun ait tenté un positionnement lors de ce débat : rempart de la droite et de l’extrême droite pour Manolito, héraut de la gauche pour Peillon, futur président «de la volonté et du courage» pour Montebourg et enfin candidat du renouveau pour Hamon. L’exercice était complexe pour les socialistes. Notamment à l’égard de L’Entullé 1er, contraint de renoncer à briguer un second mandat pour cause de quinquennat raté et d’impopularité record. Il fallait toutefois bien parler du bilan. Montebourg l’a jugé «difficile à défendre», Hamon lui a trouvé «un goût d’inachevé», Peillon a déploré «un sentiment profond d’incompréhension». Quant à El Crétino, il a fait état de sa «fierté d’avoir servi les Français dans une période très difficile» et Narcisse a ajouté « je reste marqué par mon propre discours », quelle modestie ! Comme pour parler de lui-même et pas du bilan, forcément ! Pinel et de Rugy n’ont pas eu de mots assez sirupeux pour dire tout le bien qu’ils pensent de ce quinquennaze maniant à l’égard de Manolito la brosse à reluire sans modération. Enfonçage de portes ouvertes sur la laïcité, l’école comme priorité ou les poncifs sur la sécurité, etc…
Ils ont tous contribué à la catastrophe actuelle, ils sont tous coresponsables, feignant de l’oublier. Ils n’ont pas une once de crédibilité. Des amateurs, des orgueilleux, des opportunistes insignifiants qui continuent à prendre les Français pour des idiots, avec un mot : gabegie !
Cinq ans de FIASCOS ! Cette gauche a besoin de se régénérer, car pour l’instant elle agonise, essoufflée par les changements de ce monde moderne alors que ses idées archaïques toujours les mêmes : assistanat, embauche de fonctionnaires, favoritisme, fausse générosité, passe-droits, sectarisme, pensée unique, plombent l’évolution de la France. Ils sont ennemis de la Finance, les riches les agacent, mais ils en profitent bien à leur escient tout en sanctionnant ce qui est indispensable pour la gérance d’un pays, et des travailleurs devenus les vaches à lait de l’État. Ces débats ne servent à rien et n’apprennent pas grand-chose si ce n’est que l’incompétence et l’ignorance ne peuvent aider à avancer sur le bon chemin. Nous avons eu un quinquennat pour RIEN, et jeudi c’était, un « débat » pour RIEN. Télé irréalité de ce débat primaire, déprimant !
Ils ont quitté le monde du commun où ils n’ont jamais résidé. Alors, assez de nous saouler avec vos bons sentiments, tordant la réalité pour l’aligner à vos idéaux chimériques et votre vertu accusatrice au doigt pointé. La doxa du politiquement correcte, d’un conformisme de trouillards et de la lâcheté n’ont jamais rien résolu, pataugeant dans votre stupidité aveugle pour votre gloriole d’humaniste replet, vos gorges chaudes, le réveil risque d’être difficile pour ceux qui y croient !
Des êtres primaires, sans substance. Qui peut faire confiance aujourd’hui à des gens qui ont échoué ?
Pitoyables, ils ne manquent pas d’un certain pathétique, devant l’inextricable où ils se sont enferrés, leur drame est de ne pouvoir à aucun moment condescendre à l’imposture !

Nanouche pic Nanouche

*** Attention ce texte est une TRIBUNE LIBRE qui n’engage que son auteur ***
A Observatoire du MENSONGE, nous aimons la liberté de publier. Ce qui ne veut pas dire que nous approuvons.


Retour à La Une de Logo Paperblog

Magazine