Magazine Journal intime

24/2/2017 : le corbeau et le renard / La grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf

Publié le 24 février 2017 par Anaïs Valente

De mémoire et à dix doigts j’ai retapé la fable que j’avais apprise à l’école et que je connais toujours :

Maître corbeau sur un arbre perché, tenait dans son bec un fromage

Maître renard par l’odeur alléché, lui tint à peu près ce langage :

Et bonjour monsieur du corbeau, que vous êtes joli, que vous me semblez beau

Sans mentir, si votre ramage ressemble à votre plumage, vous êtes le phénix des hôtes de ces bois

A ces mots, le corbeau ne se sent pas de joie, et pour montrer sa belle voix, il ouvre un large bec et laisse tomber sa proie

Le renard s’en saisit et dit :

Mon bon monsieur, apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute

Cette leçon vaut bien un fromage sans doute

J’ai aussi retapé le début de celle que je ne parvenais pas à mémoriser et je pleurais à chaudes larmes, d’ailleurs je ne me souviens que du début car j’ai oublié la fin, bien sûr…

Une grenouille vit un bœuf

Qui lui sembla de belle taille

Elle qui n’était pas grosse en tout comme ce qui sort du cul de la poule (non je rigooooooooole : comme un œuf)

S’étend et s’enfle et se travaille

Pour égaler l’animal en grosseur

De mémoire et à dix doigts j’ai retapé la fable que j’avais apprise à l’école et que je connais toujours :

Maître corbeau sur un arbre perché, tenait dans son bec un fromage

Maître renard par l’odeur alléché, lui tint à peu près ce langage :

Et bonjour monsieur du corbeau, que vous êtes joli, que vous me semblez beau

Sans mentir, si votre ramage ressemble à votre plumage, vous êtes le phénix des hôtes de ces bois

A ces mots, le corbeau ne se sent pas de joie, et pour montrer sa belle voix, il ouvre un large bec et laisse tomber sa proie

Le renard s’en saisit et dit :

Mon bon monsieur, apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute

Cette leçon vaut bien un fromage sans doute

J’ai aussi retapé le début de celle que je ne parvenais pas à mémoriser et je pleurais à chaudes larmes, d’ailleurs je ne me souviens que du début car j’ai oublié la fin, bien sûr…

Une grenouille vit un bœuf

Qui lui sembla de belle taille

Elle qui n’était pas grosse en tout comme ce qui sort du cul de la poule (non je rigooooooooole : comme un œuf)

S’étend et s’enfle et se travaille

Pour égaler l’animal en grosseur


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