Lettre à Couillard sur les gestes haineux

M. Couillard, vous êtes le premier responsable des gestes de haine commis au Québec, toutes religions confondues.
Vos affronts aux Québécois francophones (je vous rappelle que vous en êtes aussi un!) avec la commission sur le racisme, est à jeter par terre.
Le Québécois francophone est le moins raciste. Il vit très bien avec les autres ethnies, et ce, depuis longtemps, et tous dans le respect des valeurs québécoises.
S’affirmer en tant que peuple n’est pas du racisme. L’affirmation des valeurs québécoises a fait du Québec un endroit où il fait bon vivre.
Le racisme, si vous vous donnez la peine de consulter Le Larousse ou Wikipedia, par exemple, consiste à croire en la supériorité d’une race par rapport aux autres.
Sur cette définition, je vous laisse tirer vos propres conclusions.
À voir comment vous dénigrez les Québécois francophones, ne seriez-vous pas en train de vous incriminer vous-même de racisme ?
Le Québec a ses valeurs. Et elles doivent être respectées pour le bien vivre ensemble. Cela fonctionnait. Pourquoi cela ne fonctionne-t-il plus?
À vous de tirer vos propres conclusions.
En traitant tous les citoyens du Québec de la même manière, en faisant respecter les valeurs Québécoises, qui incluent la laïcité à l’extérieur de la maison, mais le respect des pratiques religieuses de chacun à la maison, je ne vois pas de raison que nous vivions des gestes racistes.
En terminant, j’aimerais vous dire que les sommes dépensées à critiquer les Québécois francophones, surtout avec l’argent de ceux-ci, est un manque flagrant de votre savoir-faire en matière d’équité et en matière de priorisation des besoins de la société québécoise, notamment en matière de santé et de soins aux aînés.
Je vous rappelle que votre rôle de Premier Ministre n’est pas de satisfaire vos propres ambitions mais de servir le peuple Québécois avec l’argent que ce même peuple donne au gouvernement.
À vous voir agir, je crois que vous n’avez pas les compétences pour servir le peuple Québécois. Vous devriez tirer votre révérence avant l’abrutissement.

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