Magazine Journal intime

21/11/2017 : deux renvois m’ont sauver (comme « omar m’a tuer »)

Publié le 22 novembre 2017 par Anaïs Valente

Je n’ai jamais su roter. Vous allez me dire : c’est bien, c’est poli. Que nenni, passque l’air est là et doit sortir. Galère.

L’autre samedi, je suis allée au resto avec un couple d’amis. Ils m’ont proposé un resto grec, j’ai dit ouiiiiiiiiiiiiiiii, j’adore. De toute façon, j’adore tout type de resto, tout bien réfléchi.

On a passé une super soirée, bien mangé, bien parlé, bref, bien amusé. On a tous pris un mezzé, feuilles de vigne farcies, agneau, calamars, scampi, divers fromages grecs, feta, c’était succulent. J’ai tout mangé mais j’ai eu dur de terminer. Faut dire aussi que j’avais été gouter au Quick de Champion, Et que j’avais pris une gaufre et trois beignets, mais tout était petit hein. Faut dire surtout que j’avais bu pleeeeein de pétillant : coca light, fanta et surtout icetea que je croyais plat mas que nenni. Le pétillant ne me vaut rien, il me ballonner et met du gaz plein mon estomac, qui ne peut pas ressortir, vu que je ne sais pas roter. Mais j’adoooooooooooooore le coca light, et comme je ne bois plus rien qui risque de me faire perdre encore plus l’équilibre, je prends un coca light comme apéro. Et la boucle est bouclée, plein de gaz dans le bidou, qui ne sort pas.

Déjà avant le dessert, je n’étais pas super bien : très chaud, le bide gonflé, et de l’air qui remontait dans le gossier.  Ma grosse erreur fut de ne pas prendre quelques boules de sorbet comme dessert, mais les miniatures grecques, grasses, sucrées, mais délicieuses. Vous allez me dire que j’aurais pu ne pas prendre de dessert, mais je ne voulais pas passer pour « la radine qui adoooooooooore les dessert mais étonnamment n’en prend pas ». Donc la peur du « qu’en dira-t-on » est encore là, sacrebleu. Après ce délicieux dessert dont j’arrive péniblement à bout, le reflux augmente, la chaleur aussi, et après qu’on ait payé, je propose de s’en aller (vite vite vite).

Bonne idée, car à peine sortie, j’ai une énoooooorme envie de vomir, et làààààààà je comprends le problème d’être en rolateur : impossible de courir me cacher pour vomir, je vais le faire là, à l’entrée du resto. Et je donne le change, je continue à écouter le couple avec lequel je suis, en rongeant mon frein. Et d’un coup d’un seul, je fais deux énooooooooooooooormes renvois, genre bien bruyants, bien effrayants, heureusement, plus au restaurant mais dehors, ouf. Et plus le choix, j’avoue enfin que je dois vomir que je vais vomir. Mais les renvois me sauvent, et je n’ai plus du tout envie de vomir, yesssssssssssss. Roter était donc la solution, yessss. Je rentre alors me coucher ;

Merci pour la super soirée, malgré le couac final.

Je n’ai jamais su roter. Vous allez me dire : c’est bien, c’est poli. Que nenni, passque l’air est là et doit sortir. Galère.

L’autre samedi, je suis allée au resto avec un couple d’amis. Ils m’ont proposé un resto grec, j’ai dit ouiiiiiiiiiiiiiiii, j’adore. De toute façon, j’adore tout type de resto, tout bien réfléchi.

On a passé une super soirée, bien mangé, bien parlé, bref, bien amusé. On a tous pris un mezzé, feuilles de vigne farcies, agneau, calamars, scampi, divers fromages grecs, feta, c’était succulent. J’ai tout mangé mais j’ai eu dur de terminer. Faut dire aussi que j’avais été gouter au Quick de Champion, Et que j’avais pris une gaufre et trois beignets, mais tout était petit hein. Faut dire surtout que j’avais bu pleeeeein de pétillant : coca light, fanta et surtout icetea que je croyais plat mas que nenni. Le pétillant ne me vaut rien, il me ballonner et met du gaz plein mon estomac, qui ne peut pas ressortir, vu que je ne sais pas roter. Mais j’adoooooooooooooore le coca light, et comme je ne bois plus rien qui risque de me faire perdre encore plus l’équilibre, je prends un coca light comme apéro. Et la boucle est bouclée, plein de gaz dans le bidou, qui ne sort pas.

Déjà avant le dessert, je n’étais pas super bien : très chaud, le bide gonflé, et de l’air qui remontait dans le gossier.  Ma grosse erreur fut de ne pas prendre quelques boules de sorbet comme dessert, mais les miniatures grecques, grasses, sucrées, mais délicieuses. Vous allez me dire que j’aurais pu ne pas prendre de dessert, mais je ne voulais pas passer pour « la radine qui adoooooooooore les dessert mais étonnamment n’en prend pas ». Donc la peur du « qu’en dira-t-on » est encore là, sacrebleu. Après ce délicieux dessert dont j’arrive péniblement à bout, le reflux augmente, la chaleur aussi, et après qu’on ait payé, je propose de s’en aller (vite vite vite).

Bonne idée, car à peine sortie, j’ai une énoooooorme envie de vomir, et làààààààà je comprends le problème d’être en rolateur : impossible de courir me cacher pour vomir, je vais le faire là, à l’entrée du resto. Et je donne le change, je continue à écouter le couple avec lequel je suis, en rongeant mon frein. Et d’un coup d’un seul, je fais deux énooooooooooooooormes renvois, genre bien bruyants, bien effrayants, heureusement, plus au restaurant mais dehors, ouf. Et plus le choix, j’avoue enfin que je dois vomir que je vais vomir. Mais les renvois me sauvent, et je n’ai plus du tout envie de vomir, yesssssssssssss. Roter était donc la solution, yessss. Je rentre alors me coucher ;

Merci pour la super soirée, malgré le couac final.


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