Magazine Journal intime

[Miscellanées #2 .. ou ma dernière nuit !]

Publié le 18 juillet 2008 par Gfthanos

On me réclame à gauche à droite des détails sur ma dernière nuit ainsi que sur mes pérégrinations canariennes (sur Facebook). Soyons honnêtes. Il y a tant à dire ! Et l’on me prendrait pour plus coquin que je ne le suis (ou peut-être l’inverse…). Disons que la nuit dernière, j’ai fait montre de beaucoup de retenue quand à ma surprise et mes envies de dire “stop”. Tellement d’imagination ce gars là que j’en ai presque compris l’autre sexe. Mais ce n’est pas assez, tu en veux plus, des détails, qui, quoi, comment, de quelles manières ! T’es vilainement curieux quand même.. Mai j’avous que je ne fais rien pour arranger les chose…

Je viens de regarder le second opus de Narnia, Le Prince Caspian. Il est presque 4 hr du matin, Regina Spektor résonne à mes oreilles alors que le générique défile. Et je me sens serein. Dire qu’il y a 24 hr j’étais moins calme, plutôt suant de bonheur et de plaisir et .. non j’arrête, tu vas finir par t’énerver.. Ce que je comprendrai en fait, rien de plus agaçant que quelqu’un qui n’arrive pas à en venir au fait, à détailler ces glisser-retournés haletant entre deux caresses… ces cascades incroyables de souplesses et des angles qui laissent sans voix,  oui tu as du voir toi aussi Wanted, c’est un très bon film en effet, si tu aimes bien le slow-motion à la Matrix et un scénario pas trop compliqué. A voir pour la beauté des cascades donc. Parce que tu croyais que je parlais encore de mes prouesses nocturnes de la veille ? Tu ne lâches pas la chose facilement dis moi. Mais ta persévérance me plaît. alors je consens à t’en dire un peu plus.

Ça commence par une rencontre toute bête. Tu sais que tu vas boire un verre avec un autochtone qui aime s’écouter parler. Conflits d’egos en perspective -bah oui, on aime tous “son petit moment de gloire”- Au bout d’un quart d’heure il choisit d’en passer une demie (heure) au téléphone en répondant à l’appel d’une “amie” -?!$#@!-. Tu fais tourner les restes de ta glace au fond de sa coupe, car cette dernière est “pleine” décidemment et tes espoirs sont aussi réduit que ce qui reste au fond.Tu sens que le retour vers tes pénates est proche. Libération. Et alors que tu n’y crois plus il te propose -après avoir raccroché quand même- d’économiser un peu et d’aller descendre des bières chez lui. Banco ! Tu joues la proie facile et décide de mordre à l’hameçon, espérant que plus tard,  son “appât” se laissera mordre aussi… 

…à suivre (encore !)


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