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Publié le 25 octobre 2020 par Observatoiredumensonge

Combien faudra-t-il encore de victimes pour prendre les dispositions spécifiques qui s'imposent ?

Par Claude Picard

Les incompétents qui nous dirigent, savent faire, malgré tout, des lois d'exception pour " préserver " la santé des Français, quitte à être inexorables envers des récalcitrants, mais, par contre, ils sont incapables de produire des ordonnances pour lutter contre des barbares sanguinaires qui sont en guerre contre la France depuis trop longtemps. Combien faudra-t-il encore de victimes pour prendre les dispositions spécifiques qui s'imposent ? Ne pourrait-on pas, tout de suite, appliquer l'article 411-4 du Code pénal, stipulant que " le fait d'entretenir des intelligences avec une puissance étrangère, avec une entreprise ou organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou avec leurs agents, en vue de susciter des hostilités ou des actes d'agression contre la France, est puni de trente ans de détention criminelle et de 450 000 € d'amende " ? Car le terrorisme islamiste, qu'il soit une émanation de Daesh, d'Iran ou tout autre pays musulman, est forcément, d'une façon ou d'une autre, téléguidé et souvent financé par une organisation étrangère. Le loup solitaire chez les islamistes, ça n'existe pas. La barbarie islamiste est une importation étrangère, elle n'est pas une conception philosophique de la civilisation européenne, elle n'a pas pris ses racines dans le sol français, mais elle a été greffée sur des pousses venues d'ailleurs... En laissant les robinets ouverts de l'immigration, réelle importation de l'islamisme, on ne pourra jamais, raisonnablement, lutter contre ce fléau.

Surtout, on ne peut pas combattre l'islamisme, le terrorisme islamiste ou l'islamisme insidieux du quotidien, avec les armes démocratiques que l'état de droit nous contraint et qui ne profite qu'aux ennemis de la liberté. La définition de cet état de droit est édifiante : " État dans lequel les normes juridiques sont hiérarchisées de telle sorte que sa puissance s'en trouve limitée ". Tout un programme ! Qui est complètement inapproprié en temps de guerre contre des ennemis extrêmement déterminés. Au lieu d'instaurer un couvre-feu pour endiguer une hypothétique deuxième vague d'épidémie, il serait temps d'appliquer des lois d'exception contre le véritable danger : l'islamisme ! Il serait temps de recadrer l'Éducation nationale sur sa mission première : l'éducation citoyenne. Et lui redonner les moyens de ne plus être lâche quand elle doit face à des revendications, faussement ou non, religieuses. Car c'est grâce à des bassesses, par contrecoup, que le professeur décapité, Samuel Paty, a pu recevoir, à titre posthume, les palmes académiques. Et la Légion d'honneur ! Du haut de son petit nuage ou dans sa tombe, il doit être reconnaissant à ses supérieurs hiérarchiques pour l'avoir largué honteusement...

La déliquescence de l'Éducation nationale, et de toutes nos institutions, est la conséquence majeure d'une idéologie mortifère, de cette idéologie suicidaire qui applique, à l'aveugle et sans discernement, les " pas de vague " et les " pas d'amalgame ", répétés à l'envi par les islamo-gauchistes. Pour tout et n'importe quoi ! S'ajoute à cela la contestable accusation d'islamophobie prônée par des associations, telle que le CCIF (Collectif contre l'islamophobie en France) qui, au passage, a reçu 35 000 € de subventions en 2012 de l'Open Society du milliardaire américain Georges Soros, pro-immigration. De plus, très officiellement, en 2013, le CCIF a obtenu le soutien financier de la Commission européenne " dans le cadre de la mise en place d'un projet de collecte des données sur les actes islamophobes (...) ". Ce soutien financier est renouvelé, en 2017 et cette fois, il touchera 51 450 € ! D'où viennent ses subventions ? Du budget annuel de l'UE, dont 20 milliards sont payés par... l'État français ! Reconnue " d'intérêt général " par l'État français, l'association permet à ses adhérents (environ 12 000) et ses donateurs de bénéficier d'une remise fiscale.

Le désarroi des Français est à son comble et arrive à un point de rupture, car une colère sourde, s'ajoutant à d'autres exaspérations, continue de monter. Une résistance populaire, pour l'instant timide, s'exprime malgré tout, çà et là, dans des manifestations diverses. Des éditorialistes, jusqu'à ce jour dans le déni, retournent leurs vestes ; un changement de ton s'opère dans les médias. On sent que les adeptes de l'islamo gauchisme, pour la première fois, sont gênés aux entournures et s'emmêlent les pinceaux pour justifier leurs errements passés. Et un petit espoir pointe son nez, de voir, enfin, une prise de conscience se généraliser dans toute la population française.

Mais cela suffira-t-il ?

Claude Picard

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