Magazine Journal intime

Sea, sand and sun

Publié le 31 juillet 2008 par Anaïs Valente

lancaster
Enfin !

Il est enfin là.Et bien là. Enfin, on ne peut présager de rien, mais il est là et on ne va pas s’en plaindre.Même si, en bonne belge rouspéteuse, voire rouscailleuse, je dirais qu’il fait chaud.Trop chaud.Beaucoup trop chaud.

Mais il est là.

Le soleil.

Que j’aime tant… mais à l’ombre.

Et même si je passe mon temps à l’ombre, ne rejoignant la zone ensoleillée qu’en fin de journée, pour profiter des derniers rayons qui dorent si peu ma peau, je passe parfois, imperceptiblement, de la couleur cachet d’aspirine à la couleur hostie, savoir un blanc un peu moins blanc que le blanc totalement blanc.

Preuve en est qu’on bronze aussi à l’ombre, à travers le parasol, ou via la réverbération, enfin sans doute un peu des deux.

Alors je me protège.Passque je tiens à ma peau.Et passque j’ai pas envie de cramer.Ni de peler.Et vu que je suis totalement capable de me choper un coup de soleil à l’ombre… je me protège.

Nan, je ne fais pas de banc solaire pour « préparer ma peau ».Vaste couillonnade de toute façon, on ne prépare pas sa peau aux brûlures et aux cancers.On l’en protège.Point barre.Une année, dans un accès de folie et de bêtise intersidérale, j’ai tenté l’expérience banc solaire, ça mérite un billet, que je vous préparerai bientôt, tant qu’à faire, passque j’ai cru mourir.Je vous raconterai.Plus tard...

Pour aborder les mois chauds, j’ai donc reçu de News-parfums une crème protectrice.Et pas n’importe quelle crème ma bonne Dame : une crème « Lancaster accélérateur de bronzage crème velours irisée ».Excusez du peu.Pour moi, dont le dernier achat en matière de crème solaire fut fait chez … Aldi, ce fut un bonheur nirvanesque de découvrir cette crème d’une telle qualité, rien que pour moi.Enfin rien que pour ma divine petite peau.

Je me suis donc installée, durant mes dernières vacances à domicile, sur ma terrasse ensoleillée, à l’ombre de mon chtit parasol, vue sur ciel bleu, petite glace à portée de main, magazine à portée d’autre main, boisson fraîche à portée de troisième main, ma crème Lancaster dans la dernière main.

J’ai ouvert le tube, et j’ai immédiatement été téléportée en vacances.VACANCES.Cette odeur, argh.Ce type de senteur est sans doute celui qui véhicule le plus d’images pour moi (quoique l’odeur de poulet rôti, et puis celle de chocolat fondu, et celle de vanille, sans oublier celle d’escargots à l’ail…).Un condensé de plage, de sable fin, de palmiers, de noix de coco, de cocktails, de courses effrénées au bord de la mer et de couchers de soleil.Que du bonheur.J’ai ensuite rouvert les yeux.Ni plage, ni mer, ni palmiers.Ni rien.Juste moi et ma vieille carcasse sur mon vieux transat défoncé, sous mon vieux parasol délavé, un tube orange qui sentait divinement dans la main.Alors, je me suis enduite de cette texture si significatrice et si douce et je me suis endormie paisiblement, après avoir mangé ma glace et lu quelques pages de mon magazine.J’ai rêvé de palmiers, de couchers de soleil et de noix de coco.

J’étais bien.Zenitude intégrale.Bonheur suprême.Odeur ultime.

Alors, je vous le dis et vous le redis : même sans la mer, même sans les palmiers, même sans les couchers de soleil, c’est ça les vacances.Un endroit calme.Ensoleillé.De quoi se sustenter.De quoi lire.Et une crème solaire de qualité, douce, et à l’odeur qui fait rêver !A découvrir ici.  

Pour illustrer tout ça, une superbe photo de la Mer du Nord, qui fait rêver… d’Anne-France.

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