Macron a choisi de ne pas choisir

🔵 Macron a choisi de ne pas choisir

Une fois de plus et une fois de trop…
Ainsi la France engluée dans une politique molle et inconséquente peut poursuivre son naufrage.
« Il n’y a plus de commandant à bord du bateau France en souffrance »
Les discours du Président se répètent et à force sont saoulants et creux.
Ne rien faire est la marque réelle du Macronisme qui pourtant tient encore le pouvoir, soutenu par une équipe de branquignols de première dont l’incompétence est démontrée chaque jour davantage.
Tandis que la droite, enfin ce qu’il en reste, fait comme si de rien n’était et continue sa sieste, la plus longue de l’histoire de la politique.

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Certes, Macron fait illusion en voyageant sans cesse, ici en recevant le roi d’Angleterre, avec faste et sans compter, là en allant voir le Pape… Sans oublier tous les autres voyages dont on aimerait bien connaître les coûts somptueux.
La Macronie dépense et dépense l’argent des contribuables sans se soucier d’avoir vidé les caisses.
Certes, la France sait recevoir avec faste mais en oubliant l’élémentaire protocole à chaque réception, ce qui en dit long sur cette présidence foireuse.
Petit détail : Macron n’est pas roi mais président de la République, il semble l’avoir oublié.
Pendant que l’État accueille moult réfugiés, pendant que l’insécurité explose partout, pendant que les sociétés ferment, que le chômage grimpe allègrement, Macron vante sa présidence, alors qu’il devrait plutôt se taire sur ce sujet dramatique au vu de ses échecs à répétition.
Quant au pouvoir d’achat qui s’écroule, le Président fait comme si de rien n’était.
Heureusement pour le pouvoir, les médias sont complaisants et relaient bien la propagande depuis le Château – l’Elysée – et ce sans même s poser de question, ils désinforment tout le monde.

La France est endormie, bercée par la voix d’un bonimenteur qui débite ses bobards à haute dose et la maintient ainsi en léthargie.
Dans sa dernière intervention télévisée, Macron a demandé aux principaux acteurs de la vente de carburants de les vendre à prix coûtants.
Désignant les méchants, alors que l’État se goinfre sur ces produits surtaxés : 60% du prix payé à la pompe vont dans les caisses du pouvoir.
Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que le geste aurait dû être fait pat le gouvernement en baissant ces taxes.
Avec une TVA amoindrie, les Français auraient récupéré entre 20 à 60 cents du litre !
Mais non la technique de l’enfumage se poursuit inlassablement qui consiste à accuser les autres.

Ce refus tragique des réalités entraine la France dans une « déconstruction » totale et fatale.

Qui pour la réveiller et la sauver ?
Soeur Anne ne voit rien venir !

Le souci est que :