L’effroyable conjuration du Forum de Davos #7

Publié le 05 octobre 2023 par Observatoiredumensonge

L’effroyable conjuration du Forum de Davos

Une secte mondialiste qui se juxtapose au collectivisme

Chapitre 7

B – Les pièges du WEF et sa ligue du Big Pharma, de la Big finance, du Big Data et du lobbying d’un ordre nouveau sont comparables aux dangers des sectes apocalyptiques, à rapprocher des peurs millénaristes à l’aune des frankenvirus

De sorte que le pouvoir et l’avoir sont les deux mamelles des puissants de ce monde, les amenant à nourrir leurs cibles ingénues de promesses, de bonnes intentions et d’apparaître respectable ; le tout en asservissant leurs prospects et leurs électeurs par des affabulations nourries de propagandes soignées et itératives, exactement comme le ferait un gourou omnipotent devant ses adeptes soumis et vulnérables. Les adhérents de cette organisation supranationale au parfum sectaire, sont tous gagnés par une autre forme de prosélytisme ; dominer le monde en collectant tous les pouvoirs, puis régner sur des empires financiers exempts de fiscalité et de prélèvements sociaux. N’est-ce pas ainsi que les seigneurs, suzerains et dictateurs de tous les temps ont saignés leurs sujets, en collectant et en ne laissant presque rien à la plèbe ? Pour ce faire, l’ensemble des moyens dont disposent ces magnats sont exploités et leurs victimes siphonnées. Cette élite richissime fait feu de tout bois ; mystifier, suborner et tondre, pourvu que le mensonge soit assez gros pour apparaître comme une vérité évidente, criante et incontestable, tel que le devisait Joseph Goebbels.


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Il en est ainsi avec la secte WEF susmentionnée, qui a concouru à initier une pandémie avec les consortiums complices de cet artifice monté depuis Wuhan, puis peaufiné en Occident. Cette soi-disant fuite depuis un laboratoire classé « P4 » devînt – Ô coïncidence ! – bizarrement productive d’antidotes fabriqués instantanément par des apprentis-sorciers, pour rebondir financièrement sur ce prétendu remède miracle aux promesses prophylactiques : les vaccins à vecteur génique. Principalement produite par les laboratoires Pfizer, recommandée – sinon imposée – par la Commission européenne, l’expérimentation de ces fioles vaccinales s’est vue exemptée de tout principe de précaution par des gouvernements voyous comme en France, au nom de l’exception et de l’urgence. De sorte que ce poison potentiel aura été injecté des milliards de fois sur des victimes humaines, cela dans un climat de psychose et d’hypocondrie mondial. Les populations confiantes et rassérénées s’exposèrent à la façon des rats de laboratoire ; mais des cobayes qui s’ignorent encore, tant cette campagne fut perfidement orchestrée par des sociétés conseils comme McKinsey.

Quelques centaines de milliers de personnes vaccinées en Europe virent leur système immunitaire détérioré à l’ARNm, et d’innombrables décès en découlèrent sur la foi des rapports scientifiques des instituts contrôle de médicaments et de veille sanitaire (Voir p. 31 à 35 et 111 à 144, « Le quinquennat 2017-2022 entre psychose et délation » ; p. 96 à 98 et 150 à 152, « Covid – La poule aux œufs d’or – Le business des vaccins » en bibliographie in fine). Cette opportunité juteuse, quoique macabre, fut saisie par nombre de partenaires influents de cette secte née à Davos (CH)*. Entre les laboratoires pharmaceutiques et leurs complices politico-financiers, beaucoup s’agglutinèrent autour de cette mascarade montée par le Big Pharma, avec en arrière-plan le laboratoire de recherche « P4 » sis à Wuhan qui leur aura fourni la matière première virale, puis vinrent très peu de temps après les antidotes présumées. Si cet épisode ne figure pas au registre d’un génocide savamment organisé, qu’est-ce donc alors ? Des fortunes colossales se sont constituées au profit des magnats industriels du secteur laborantin, des commanditaires politiques et du corps médical stipendié, sans que ces injections exploratoires n’aient éveillé chez les médias le soupçon d’un traquenard qui fit se déverser par milliers de milliards des devises sur le compte des opérateurs de cette pandémie. Les États complices de ce carême-prenant, histoire de jouer dans la même cour, ponctionnèrent les budgets sociaux et fiscaux de leurs citoyens, spoliés à coup de seringue.

Pourtant, cette pandémie annoncée comme terrifiante à la façon d’une peste noire ou de l’Ébola, eu égard aux mystifications des gouvernements corrompus par le Big Pharma, puis relayées par l’OMS constituée en porte-voix, n’aura jamais tué davantage qu’une simple grippe hivernale, ni les vaccins auront prouvé une quelque efficacité. Même dédiés à des variants, sachons que ces mutations virales procèdent d’un schéma ponctuel aux cycles d’un transformisme ou d’une évolution naturelle d’adaptation ou de survie des micro-organismes, comme pour tout être vivant. La démonstration de cette carnavalesque mise en scène, où les mensonges et les effets d’annonce fusèrent autour de cette pandémie, se traduisit par moult années de crise économique et sociale. Ainsi cette endémie virale fut davantage transmise par la nocuité des propagandes d’État sur les écrans et les affiches que par la maladie elle-même, comme pour rappeler les terrifiantes charrettes de cadavres de pestiférés ramassés sur la chaussée entre 1347 à 1353. Ô Paradoxe, les hôpitaux ne furent guère encombrés de malades et de morts par ce virus, à qui les soignants chaussaient un masque à oxygène sans trop savoir pourquoi ! Or, le ministère de la Santé répandait le bruit qu’il s’agissait d’une affection pulmonaire létale et fulgurante, dont mourraient d’abord les séniors.

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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