Magazine Journal intime
On A Frôlé Le Dépôt De Bilan.
Publié le 20 août 2008 par Mélina Loupia
C'est marrant comme des fois, les coïncidences sont si flagrantes qu'elles en deviennent incrédibles.
En effet, après un été mouvementé, tourmenté mais heureusement passé loin des blogs, le jour où je finis par m'interroger sur le bien fondé et le devenir du mien, d'autres que j'avais tout de même
suivi de plus ou moins près se posaient les mêmes questions.
Et il a suffit d'un commentaire pour trouver les réponses.
Le voici:
" arrête de bloguer ma pauvre , c'est de la merde ce que t'écris, le pire c'est que tu te crois intelligente. Mais ton débit est inutile t'a aucun style à part celui du bobo qui se croit
philosophe mais qui n'est pas capable de faire une critique totalement objective. Au faite quand on s'y connait en audiovisuelle, on fait tout de suite la différence visuelle entre les feux d
l'amour et la série que tu présente.
Autre chose, apparement cette série donne un message positif au ados comme quoi il faut rester egal a soi même et honete.
Pense tu que a l'air mieux avec tes histoire de cigarette ? je prefere que mon ado regarde cette série tout en sachant que ça n'est qu'une sitcom qu'il écoute une personne comme toi vomir ses
couleuvres...
Et au contraire tu devrai CHIER un bon coup parceque tu m'as l'air constiper avec tes comparaisons à DEUX BALLES.
ps: en attendant tu critiques mais tu a quand même regarder..
et aussi, moque toi des seules personnes qui ont pri la peine de te lire ton post...tu te fais passer pour une personne aussi intelligente qu'un âne... "
Il s'agit certainement d'une immonde connasse, y a bien que les filles pour écrire aussi mal et avec autant de venin qu'un cobra qui aurait trop pris le soleil. Dommage que les ip n'aient pas de
sexe, mais 89.156.179.117 finira bien par se griffer avec ses ongles trop longs.
Après avoir sauté au plafond à chaque faute, et avoir suivi le seul conseil valable de la prose, je suis allée faire caca et je me suis posée tranquillement.
Blessée, oui, vraiment, et très en colère.
Contre moi-même, manquerait plus que je me mette en boule pour cette poufiasse.
Je n'arrivais pas à croire qu'en un commentaire, et sur le coup des nerfs, j'étais sur le point de donner la mort à Zette & The City.
Heureusement, et malgré le désintérêt total des rares personnes auxquelles j'en ai parlé, j'ai décidé de couper la poire en deux, j'en ferai une tarte.
Je garde l'enfant, quoi qu'il m'en coûte, mais je choisis finalement la petite porte pour l'élever tranquillement.