L’effroyable conjuration du Forum de Davos
Une secte mondialiste qui se juxtapose au collectivisme
Chapitre 8
B – Les pièges du WEF et sa ligue du Big Pharma, de la Big finance, du Big Data et du lobbying d’un ordre nouveau sont comparables aux dangers des sectes apocalyptiques, à rapprocher des peurs millénaristes à l’aune des frankenvirus
Ô paradoxe, ce furent les pensionnaires d’Ehpad qui furent refoulés des hôpitaux et des soins palliatifs, au motif que leur vie étaient jugée résiduelle (Voir p. 42, note 22, « L’absurde traitement du Covid… », en bibliographie in fine). Les séniors de ces établissements furent euthanasiés au Rivotril® (Voir infra, p. 182 et 226) pour ajouter aux falsifications du décompte des certificats de décès occultant cette mise en scène, sans préjuger des comorbidités fréquentes à cet âge avancé. Au-delà des trahisons criminelles de l’État, il ressort que c’est l’effroi entretenu dans l’artifice autour de ce virus peu virulent, qui aura enflé la démesure de ces alertes, vague de variants après vagues de variants, pour réanimer sans relâche l’angoisse populaire.
La preuve incontestable en est fournie par l’actualité puisqu’à ce jour, contracter ce virus, qui est toujours le même depuis 2019, mais qui mute naturellement à la façon d’une influenza saisonnière (grippe A et B), est devenu une chose banale que bien des personnes contaminées, testées positives mais asymptomatiques, ou qui en occultent les effets, évitent de le faire savoir pour ne pas faire l’objet de mesures contraignantes et inutiles, car beaucoup plus handicapantes que la maladie elle-même. Rappelons que c’est la secte WEF, avec les sociétés conseils (ainsi McKinsey), puis Ursula von der Leyen présidente de la Commission UE qui déléguèrent en chaîne, pays par pays, cette dilapidation sur toute l’Europe de l’Union, avec des commandes astronomiques de vaccins. Ce galvaudage des deniers publics se perpétue encore de nos jours, à coup de centaines de milliards d’euros. Le produit financier de ces seringues circule depuis les caisses des cotisations sociales et la fiscalité des contribuables jusqu’aux comptes bancaires numérotés offshore des laboratoires pharmaceutiques, en passant par les commissions occultes versées aux politiciens, puis aux gratifications des professionnels médicaux.
Cependant, les populations à présent aguerries après cette mascarade, ne font guère état de leur crédulité, car beaucoup en ont joué et ne veulent pas avouer leur rôle qui concourut à la discrimination par les vaccins. Emmanuel Macron aura su perfidement introduire dans les esprits échauffés la nécessité de cafarder aux ARS (cas contact) et de nuire à leurs propres concitoyens, comme à se prêter à la mission de délateur ou de vigile en brandissant le lecteur QR code TAC ! Derrière cet exemple effarent de félonie, furent piégés nombre d’esprits vulnérables, contaminés par les désinformations, menteries et manipulation de masse. Ces conjurateurs, entre les laboratoires, les dirigeants politiques et leur maître d’œuvre sis à Cologny (CH)*, œuvrèrent dans l’ombre de bien d’autres forfaitures, comme de fédérer les chefs d’État autour d’un ordre nouveau. Les ingrédients de cette secte politico-financière y sont explicités plus bas.
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Faut-il rappeler l’étrange lien pathogénique du dérèglement du système immunitaire humain entre le VIH et le SARS-CoV-2 (Voir p. 63/64, « L’idéologie néfaste du Président Macron », en Bibliographie in fine) puis encore de l’étrange coïncidence des fuites de virus conçus en laboratoire avec l’apparition suspecte, car spontanée, de remèdes vaccinaux prétendument prophylactiques (même ouvrage, p. 74/75) ? Combien de virus manipulés par l’homme sont-ils congelés dans les laboratoire « P4 », dans l’attente de quoi et pour qui ; comme celui reconstitué depuis un cadavre exhumé où fut prélevée une souche de la grippe espagnole (A H1N1) qui tua entre 20 à 50 millions d’êtres humains entre 1918 à 1919 sur la planète ? Doit-on accepter que des chimio-microbiologistes en recherche fondamentale soient autorisés à jouer avec la dangerosité de micro-organismes en éprouvette, comme avec le gène viral « 5 » associé au MERS-CoV, dans le centre national de biotechnologie de Madrid, même si prétendument il fut détruit, car rien ne l’atteste ? Alors pourquoi l’avoir bricolé en laboratoire pour en faire un frankenvirus hautement génocidaire, sûrement à l’aide de financements occultes qui ont permis de telles manipulations, lesquelles s’avèreront ultérieurement productives de profits démoniaques ?
En prétendant vouloir jouer un coup d’avance sur l’évolution hypothétique de bactéries supposées mortelles et vectrices de pandémies, en les bricolant pour les rendre toujours plus dangereuses afin d’en connaître la nocuité, n’est-ce pas jouer avec le feu ? Autrement dit, prendre de tels risques au nom de la science, pour fabriquer des vaccins et médicaments ; n’est-ce aussi risquer d’en transmettre les codes séquentiels aux laboratoires pharmaceutiques qui les transformeront en millions de dollars pour fabriquer des vaccins préventifs, sinon à destination de forces armées terroristes, via des trafiquants, dans le but de déclencher un conflit bactériologique ? En arguant que les antibiotiques font évoluer la résistance des virus, des bacilles ou spores, devrions-nous préférer acheter les inhibiteurs d’infection en pharmacie, plutôt que chez le boucher qui propose de la viande bourrée d’hormones et d’antibiotiques aux éleveurs de bétail, précisément fabriqués et fournis par ces mêmes labos ?
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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