texte envoyé par Geneviève
Pour sourire un peu et commencer cette belle journée de bonne humeur !
Un jour, le curé de Cucuron s'était engagé dans une course d'ânes (pour gagner quelques sous pour sa paroisse), sur son âne surnommé
"Comme Un Lévrier " tant il était rapide, et que l'on appelait malicieusement CUL.
Et CUL, bien sûr, a gagné !
Le curé était tellement content de son âne qu'il s'est engagé de nouveau dans une autre course et il a gagné encore une fois.
Le Midi Libre a écrit en première page :
"Le CUL DU CURÉ A LA COTE".
L'évêque était tellement contrarié par ce genre de publicité qu'il a ordonné au curé de ne pas inscrire l'âne dans une autre course.
"LE CUL DU CURÉ DÉPLAIT À L'ÉVÊQUE" a titré le journal.
C'en était trop pour l'évêque, alors il ordonna au curé de se débarrasser de l'âne.
Le curé a décidé de le donner à une religieuse dans un couvent proche.
Le journal local, entendant la nouvelle, a titré : "UNE NONNE A LE MEILLEUR CUL DE LA REGION".
L'évêque s'est évanoui.
Il a informé la religieuse qu'elle devrait se débarrasser de l'âne ; alors elle l'a vendu à une ferme pour 10 €.
Le lendemain, le journal disait :
"UNE NONNE VEND SON CUL POUR 10 €".
C'en était trop pour l'évêque alors il a ordonné à la religieuse de racheter l'âne et de le lâcher dans la nature
pour arrêter ce funeste négoce.
Le lendemain, les titres se lisaient comme suit: "LA NONNE ANNONCE QUE SON CUL EST LIBRE !"
L'évêque a été enterré le lendemain.
La morale de l'histoire
:Être préoccupé par l'opinion publique peut vous apporter beaucoup de chagrin et de misère... et même, raccourcir votre vie.
Alors soyez vous-même et profitez de la vie.
Arrêtez de vous inquiéter pour le cul des autres,
Occupez-vous juste de vos propres fesses, dont la peau, c'est connu, vaut très cher !
Vous vivrez plus longtemps.