Chapitre 3
I – Petit rappel de l’histoire de la Palestine et des réalités qui fâchent
b) Navrante illustration du parcours des écritures mahométanes
Cette décrépitude social et ce chaos intellectuel ne sont pas le fait d’une ethnie, d’une couleur de peau, d’un critère dit abusivement de race inférieure, puisque l’espèce humaine est le seul héritage des Homo Sapiens avec un soupçon d’allèle de leurs voisins du Nord ; les hominidés néandertaliens. Ce décalage de civilisation, qui ne serait être compris comme un retard mental, est exclusivement dû à la religion musulmane : le livre de l’évidence, qui est l’un des noms attribués au Coran. Il est réputé contenir tous les arrêts qui régissent le monde ; autrement dit, toute l’épistémologie des connaissances et toutes les décisions juridiques, sociales et culturelles (Coran : XXXIV.3). Sourate XXVII Versets 77 et 78 : « Il n’y a point de chose cachée dans les cieux et sur la terre qui ne soit inscrite dans le livre de l’évidence… ». Autrement dit, le Coran contiendrait, selon les exégètes de l’islam, tout ce que doit connaître un bon Musulman, rien d’autre qui serait alors vu comme un outrage à Allah ! Une nescience mortifiante prend ici toute sa dimension. Ce pourquoi l’effort produit dans la plupart des hiérocraties est le plus souvent consacré à égrainer des chapelets de prières ; tout autre savoir devenant ipso facto superfétatoire, voire contraire à la pureté (la Tahara).
Cette paresse, ou l’entretien de l’ignorance suscite l’inculture, l’obscurantisme et la désolation devant leur voisin sioniste qui regorge de prix Nobel scientifiques, d’industries de pointe et d’une richesse de brevets multidisciplinaires. Conjuguées à l’histoire islamo-raciste en Judée et Samarie, l’avènement tardif d’un prétendu prophète illettré au XIIème siècle (Coran : VII.157 et LXII.2) fut travesti en religion ; un cimeterre à la main en guise de bâton pastoral. Cette intolérance belliqueuse, aisément identifiable dans le Coran, s’adresse contre tous ceux qui ne sont pas musulmans. Ces assaillants mahométans, dont les comportement martiaux remontent à l’Hégire, n’ont qu’une seule perception de la vie : la mort. Se fabriquer des martyrs est la stratégie martiale du Hamas et autres nébuleuses terroristes qui se terrent dans cette poudrière de fanatiques, en basant leurs tirs de roquettes et de missiles depuis les toits des écoles, des nurseries, des mosquées et des hôpitaux.
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Le courage de ces islamistes consiste à diriger la riposte de l’État d’Israël vers leurs propres coreligionnaires civils et leurs familles, pour ensuite hurler leur martyr devant les médias hallucinés des Occidentaux incapables de discernement. Passé l’émotion des atrocités de ces islamistes, gageons que la conscience sociale-démocrate en oubliera promptement qui est l’agressé et qui est l’agresseur, car la réplique depuis le territoire frappé sera systématiquement jugée disproportionnée, comme à chaque assaut terroriste des mahométans exaltés. Rappelons que l’État hébreu est habité par 9,3 millions de citoyens, alors que ce petit pays est cerné par un demi-milliard de Musulmans chargés de haine, dont l’histoire démontre que les Juifs de la région firent l’objet de nombreuses tentative islamiques d’éliminations à caractère ethnique, donc raciste, depuis le plan de partage de la Palestine du 29 novembre 1947.
Aucune cohérence ni morale, ne saurait politiquement expliquer la félonie mortifère de ce culte barbare. Pourtant, la cause islamiste l’emporte depuis plus d’un demi-siècle aux yeux des européens, partant d’une logique tronquée, martiale et équivoque. Rappelons cependant – et les faits sont têtus – que les belligérants musulmans sont systématiquement ceux-là mêmes qui provoquent les conflits, et que cette conscience internationale feint d’ignorer les slaves ininterrompues de roquettes et d’obus, qui chaque semaine depuis plusieurs décennies ne cessent d’être tirées sur Israël depuis gaza. Oser prétendre que les arabes palestiniens sont opprimés par la politique d’Israël, c’est adhérer aux honteuses déclarations de Dominique de Villepin, que salua hypocritement Jean-Luc Mélanchon, en prétendant indignement que la bande de Gaza serait « une prison à ciel à ouvert ».
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Le livre qui dérange…
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