« À force de nier l’Histoire, on finit par raconter n’importe quoi et ce n’importe quoi est dangereux ! »
Alexandre Goldfarb
Le grand enfumage : toujours en marche
Encore un projet de loi inutile sur l’immigration proposé par des gouvernants qui ne feront jamais rien contre.
Savez-vous combien de projets sur l’immigration ont été proposés en trente ans en France ?
C’est 22 !
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Aucun de ces projets n’a apporté de solution et encore moins réglé quoi que ce soit.
Tous ces projets ont été de la poudre aux yeux.
Pire, au contraire, ces projets n’ont fait qu’augmenter le nombre de clandestins appelés à torts migrants de nos jours.
Le énième projet, celui de Darmanin qui fait croire à la fermeté est un vrai cache-misère, un trompe-l’oeil de première puisqu’il permet la régularisation massive de clandestins.
Le prétexte inventé et annoncé pour ce faire est d’apporter la main d’oeuvre qui manquerait à certains métiers rebaptisés par le pouvoir, sans rire, « métiers en tension ».
On poursuit dans le déni comme toujours mais on pare le projet de mots adoucisseurs et la pilule passera d’autant mieux.
Au cas où, et pour faire plaisir aux comparses de la droite molle et autres, le Président Macron agite le chiffon troué du référendum, qui n’aura jamais lieu sur pareil sujet. et même si, le résultat ne serait pas pris en compte.
Ce n’est plus de la politique mais de l’enfumage à échelle nationale.
La droite qui ne comprend rien, n’a rien appris, surtout aux LR, va encore une fois tendre sa cuillère pour pouvoir manger la soupe.
Croire qu’un référendum solutionnerait ce grave problème c’est accepter cette illusion qui dure depuis le décret du 29 avril 1976 par Giscard d’Estaing et son Premier ministre Chirac, instaurant le regroupement familial !
Ainsi, les seuls perdants seront les Français !
C’est la propagande liée à une idéologie néfaste qui emporte la société vers sa fin.
Mais au moins, tout le monde marche vers cette finalité avec un sourire béat.
La Renaissance, c’est avant tout :
Le grand enfumage
«Tout a commencé par un rêve, le socialisme, et se termine par un cauchemar, la réalité».
Alexandre Goldfarb
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