Les dérives sectaires de la gauche

Il n’échappe plus à personne que les partis de gauche, aujourd’hui, sont gangrenés par des fous furieux idéologiquement radicaux. Dorénavant, si les écolos restent toujours verts, ils sont de plus en plus rouges à l’intérieur, les communistes, eux, ne comprennent plus l’équation, immigration massive = baisse des salaires, et oublient qu’un de leurs chefs historiques, Georges Marchais, préconisait l’arrêt total de l’immigration, le Parti socialiste est devenu totalement inaudible et ne sait plus que proposer pour revenir aux affaires. Ces trois partis, regroupés dans ce qu’ils appellent, la NUPES, dirigée par un Mélenchon qui assume pleinement son islamo-gauchisme et son anti-sémitisme décomplexé, ne sont plus représentatifs de ce que certains appellent, l’arc républicain. Quant aux Centristes, comme à leur habitude, mais plus que jamais, ils balancent un jour à droite, un jour à gauche. La droite molle ne sait plus où elle habite et laisse le libre champ à une droite nationale qui semble actuellement la mieux placée pour représenter les aspirations populaires. Car elle apparaît la plus à même d’appliquer à la lettre les devises de notre constitution : « la souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum« . Surtout, cette constitution pose le principe de la République comme étant le « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple« . Qui répète à l’envi ce dernier précepte infiniment démocratique et qui veut faire du référendum une habitude républicaine ? Marine Le Pen ! Pas la gauche ! C’est le nouveau paradoxe politique français.

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Que la gauche soit sectaire, tous les jours nous le démontrent et l’histoire aussi : comment oublier l’enfantement tragique de la République et son cortège de guillotinés inutiles ? Et les massacres de septembre 1792, la Terreur… Quand on entend les discours de Mélenchon et de ses acolytes, on croit revivre cette époque ignominieuse où tout n’était que calomnies, délations et inculpations abusives. Car c’est bien l’aile gauche d’alors, représentée par les Jacobins et les Robespierristes, qui a permis toutes les exactions les plus sordides. Heureusement, on ne veut retenir de cette époque que les discours généreux, d’égalité, de fraternité et de liberté. Tant mieux, puisque la petite histoire n’est pas glorieuse. Mais de tout cela, il reste un fond de sauce qui alimente encore les discours de la gauche d’aujourd’hui. Qui reste brutale dans ses paroles et dans ses actes. En influençant les bobos parisianistes, maîtres des médias, de l’enseignement et des administrations, elle garde un pouvoir de nuisance non négligeable. Cela crée un antagonisme de plus en plus profond et des tensions de plus en plus palpables, entre une France majoritaire qui penche de plus en plus à droite et cette gauche qui sent son pouvoir moral de plus en plus contesté. Et comme à son habitude, la gauche ne voit qu’une issue : l’affrontement ! Qu’elle provoque, avec son terrorisme intellectuel coutumier, à l’Assemblée nationale et partout où elle peut vociférer.

Mais les Français en ont assez de ces discours gauchistes qui ne confortent qu’une petite élite de bien-pensants, bas de plafond et idiots utiles de ce qu’ils disent combattre. Une contradiction qui exaspère la France profonde qui n’aspire qu’à une chose : vivre libre, dans un pays libre et souverain. La gauche sectaire peut-elle lui offrir cela ? Loin s’en faut ! La gauche, c’est le wokisme, l’écriture inclusive, la théorie du genre et les inepties LGBT. Toutes ses âneries n’intéressent pas le peuple : il a d’autres chats à fouetter et surtout des fins de mois de plus en plus difficiles à boucler. Il n’a que faire d’un transgenre qui balade son spleen sur des talons aiguilles ou d’un écolo qui laisse un moustique lui sucer le sang au nom du droit des animaux… La gauche devient ridicule et elle ne s’en rend même plus compte. On pourrait sourire de tout cela, si ce n’était pas l’intelligence de la France qui était en jeu. Et l’avenir de nos enfants, le futur du pays. 

D’autre part, il ne faut jamais oublier que la gauche radicale a un objectif : conquérir l’électorat des banlieues islamisées. Où son arrogance plaît et où son islamo-gauchisme assumé peut lui garantit des votes : la communauté musulmane a voté massivement (69 %) pour Mélenchon, lors de l’élection présidentielle 2022… Et toujours pour cette élection, sur un graphique posté par le CCIE (Collectif contre l’islamophobie en Europe), mettant en concurrence tous les candidats, c’est Mélenchon qui cochait toutes les cases et qui s’illustrait comme le plus à même à défendre les droits des musulmans… 

Si on avait encore des doutes…

Claude Picard

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