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Dictature versus dictateurs…
Même les Suisses qui votent pourtant beaucoup, estiment qu’ils ont perdu de leur démocratie.
Les pays d’Amérique du Sud qui se sont petit à petit libérés pour plusieurs de la tutelle des USA, infiltrés par la CIA, ont cependant conservé la mauvaise hebtitude de l’autoritarisme politique, la corruption n’étant jamais loin, pas plus que les cartels de la drogue qui à leurs tours ont inféodé beaucoup de ces pays.
Les Pays dits de l’Occident qui avaient découvert les joies de la démocratie véritable avec des oppositions fortes, souvent communistes soutenues et mêmes financées par la Russie soviétique, bénéficiaient pour le coup d’un véritable débat d’idées et surtout des manifestations à tous les sens du terme, de l’expression populaire,, laquelle obligeait les gouvernements en place au dialogue, influençant le capitalisme à papa, plus connu sous le qualificatif de paternalisme, la financiarisation du système se limitant au service bancaire obéissant à la tutelle de chaque pays, de par les banques centrales souveraines et parfois même des banques nationalisées.
Et alors que le mur de Berlin de fissurait pour finir par tomber, le communisme mourait entraînant dans son trépas beaucoup d’oppositions politiques favorisant une pieuvre pire déguisée en social-démocratie, qui vit d’anciens trotskistes propulsés « chantres de la Mondialisation » passés du tout libertaire au tout libertin, et beaucoup plus si affinités, emportés et même traversés par tous les courants avec retour vers les orgies romaines et la pédérastie confinant à la pédophilie, la prostitution et tous autres trafics.
Certains pays notamment producteurs de drogues sont donc devenus des pseudos démocraties ou des pseudos dictatures, les cartels de la drogue corrompant les gouvernements des uns et des autres.
La Mondialisation devenue le tout argent, (lequel n’ayant pas d’odeur n’a pas plus de limites que ceux qui s’en bourrent le pif), s’avère alors souveraine, et qu’importe le flacon politique pourvu qu’on ait l’ivresse du pognon triomphant, qui par capillarité échevelée a fait du susdit Mondialisme une dictature absolue, le pochisme qu’il soit défendu par des autocrates aux ordres ou des pseudos démocrates surtout inféodés, gouvernant toutes choses en Occident où la délinquence, les perversions, et autres habitudes et abus, favorisaient l’intrusion.
Mais alors Poutine, et même le Chinois, qui font des alliances inquiétant les Mondialistes, où faut-ils les placer?
Là où se trouve la même pierre, mais sur la face opposée, les élites Mondialistes n’étant pas habitées (en un mot comme en deux ) par les mêmes mysticismes et les mêmes valeurs sur lesquels s’appuyer, le fric selon qu’il est utilisé pour le plaisir ou la postérité, pouvant dévier vers le diable…
Et moi, et moi, et moi?
Au lieu de rester coit, opportuniste et lâche, de rentrer en résistance, et non d’attendre, la main tendue vers les miettes d’un système si cynique qu’il fait ce qu’il dit et « nique » à tout vent mauvais, ce qui est naturel pour lui qui vit dans la fosse putride…
D’autant que nous autres français, nous sommes bien servis à tous les étages, en commençant par un Macron qui nous ruine de partout, Une Van der Leyen qui caracole à Bruxelles et un Biden aux US qui est le ventriloque un tantinet déglingué du deep state dont les Vanguards, les Blackrock et autres, sont les états (financiers) dans l’état, qui dirigent la Mondialisation qui ne plait pas au Russe, et encore moins au Chinois… »
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Gilbert Malaval
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Gilbert Malaval pour Observatoire du MENSONGE
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Quelle souffrance!
Pour qui est patriote et a la mémoire vivace de ses aïeux dont certains ont beaucoup donné à la France, voire leur vie, être contraint de regarder la face de Macron le trahidor, commémorer le 11 novembre, c’est une énorme souffrance.