Toujours en compagnie de Michel Coumes, le grand “Amoureux des Morgan”, ses pinceaux s’attaquent aujourd’hui à la mécanique et aux galbes si sensuels et généreux de ces autos d’un autre âge. Les passionnés de la marque vont certainement aimer sa façon intimiste de les mettre en scène. Michel Coumes qui n’aime guère parler de sa peinture se replie en douceur dans son atelier, fenêtre mi-close où perce un rayon de soleil. Lui, il aurait juste aimé écrire cette phrase, signée Giacometti : ” En art, ce qui a besoin d’explication ne le mérite pas “.
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