La pluie jusqu’à ce jour perturbe peu le Bordelais, son gène de cagouille s’exprimant avec aise sous l’abat d’eau et le crachin. Mais parfois, quand même, quand le temps de chien ne sied plus à la cagouille tant il mouille en continu, le Bordelais se réfugie dans les intérieurs, cocooning et canapé. C’est ainsi que bizarrement les quais sont subitement aussi vides que le cerveau d’un fan de Zemmour, et cela surprend la Bretonne de l’étape, cagouillarde de compèt’, et qui a très bien intégré toutes les subtilités du climat aquitain.