Les dérives financières de l’État-Macron
Chapitre II
II – Une pomme de discorde entre la prise de température chiffrée sur la santé de la France et le comportement insouciant du pensionnaire de l’Élysée
Avec un déficit déjà dans les tuyaux autour de 4,4% du PIB en 2024, la baisse de l’activité économique du pays connaît la plus importante récession depuis 1949 : – 5,8 % en 2020, 1,5 % qui s’y ajoute en 2021 et autant en 2022, avec un minimum de 0,5 % de décroissance toujours s’y ajoutant d’une année sur l’autre. La France figure comme le plus mauvais élève de l’Union européenne, avec de surcroît une baisse du PIB devenue endémique sous la législation de ce chef d’État incapable et irresponsable, lequel se maintient irrésistiblement dans le rouge et semble s’y complaire. Depuis le premier choc pétrolier de 1973 ; – 1 %, puis – 2,6 % en 2009, mais seulement sur deux accidents transitoires entre décontraction des échanges extérieurs, déstockage et désinflation, jamais cette dégringolade n’avait dépassé une seule année. Seul Macron aura réussi le sinistre exploit, depuis l’occupation nazie, à faire perdurer une telle crise accentuée et record de la balance commerciale depuis son élection en 2017. Ces reculs endémiques du PIB depuis 2020 ne furent quant à eux jamais accompagnés d’un décrochage de la consommation, ni concomitamment du pouvoir d’achat, comme c’est le cas aujourd’hui. Comprenons qu’il n’ait aucune excuse à cette déroute, pas même la crise sanitaire dont les partenaires européens s’en seront quasiment tous relevés.
Or, à ce jour, le pays connaît une forte dépression, tout à la fois économique, monétaire et sociale ; autant dire que rien ne fonctionne autrement que dans le rouge écarlate dans ce pays. Pourtant, nombre d’État de l’Union, ainsi l’Italie notamment où le PIB (PPA*) rattrape celui de la France en 2022, connaissent à présent un rebond. Ce baromètre* prend en compte la parité du pouvoir d’achat par individu dans une région donnée ; le PIB n’étant que le levier entre la production des richesses et la santé financière, dont l’endettement et la fiscalité ; là où précisément la France est devenue leader incontestable dans le monde. Quant au Royaume-Uni, qui a quitté l’UE sans jamais être entré dans la zone euro, son PIB se monte à 54 603 $PPA se plaçant désormais à la sixième position mondiale en termes économique et financier, et la seconde après l’Allemagne, à hauteur de 63 150 $PPA selon le FMI et la Banque mondiale. Tandis que la France rétrograde à la 26ème place avec 44 408 $PPA, le pays se voit absent du « Top 20 », désormais relégué au rang des petites puissances économiques.
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Il n’est qu’une explication à cette déchéance hexagonale, puisque l’accélération de cette chute, déjà amorcée par la législature présidentielle qui précéda avec François Hollande, creuse inexorablement un gouffre hadal au surendettement national. « Déconstructeur » auto-proclamé, le sieur Macron s’est constitué l’ennemi « n° 1 » de la France, entre ses exploits antipatriotiques, comme en déversant des millions de réfugiés improductifs et hautement anxiogènes, dont le coût, entre l’accueil et le terrorisme ainsi que sa prévention et les indemnisations des victimes, s’élève à plus de huit milliards d’euros par mois. Quant à la résurgence de l’inflation, à raison de 1 % par mois, la baisse du pouvoir d’achat et la chute des valeurs morales ; voilà autant de vecteurs qui déshonorent l’État et asphyxient la Nation. En outre, c’est encore ce même individu qui annonça publiquement ne pas reconnaître la culture de la France, dont son histoire. Rien ne peut sortir de bon dans un pays où le premier élu de la Nation méprise son peuple, en se présentant comme le chancre d’une mondialisation qui en passe par la culture communautariste d’un islam intolérant, lequel ne cesse de menacer les valeurs démocratiques, laïques et morales du pays.
De telles pratiques malfaisantes sont savamment instruite depuis la secte sise à Davos, le World Economic Forum, dont la présidente de la Commission européenne s’est constituée la courroie de transmission, une mercenaire au service de cette secte. Par son obéissance aveugle à cette mentore, Emmanuel Macron a livré la France dans l’engrenage de ce broyeur des Nations et la diabolisation des patriotes renommés nationalistes ou populistes. Cet immature pathétique et malveillant chef d’État aura imposé ses fantasmes guerriers, d’abord contre un frankenvirus de 0,06 à 0,12 micron, puis contre le CO2 dont le « ppm » ne correspond toujours pas à la dimension de ses pulsions martiales. Malgré les centaines de milliards d’euros, qu’auront coûté aux contribuables et cotisants français les mascarades ubuesques d’un chef d’État frappé du syndrome d’hubris, les déviations comportementales de cet individu devinrent beaucoup plus inquiétantes lorsque celui-ci s’est lancé dans un conflit étranger qui ne concerne en rien la France.
En effet, puisqu’il s’agit d’une guerre civile qui perdure depuis 2014 aux frontières de la Russie, l’insensé contribue, par des livraisons d’armes, de munitions et de stages d’entrainement à tuer principalement des civils séparatistes, comme à démultiplier le nombre des victimes dans les rangs des militaires ukrainiens russophones, au motif de faire de l’ingérence depuis l’Ouest euromaïdan contre une autre ingérence à l’Est. Rappelons que les troupe légalistes de Kiev sont agrémentées de ± 10 % de néonazis, que soutiennent implicitement le chef d’État français et son égérie Ursula von der Leyen. Là encore, Macron se déshonore tout en empruntant l’argent qu’il n’a plus pour fournir des missiles, et assouvir ses caprices à coups de milliards d’euros, toujours sur le dos de ses compatriotes. Entre ses guéguerres et son train de vie débridé, via les budgets confisqués aux ministères supposés gérer la France, le moindre « cent » qui subsiste dans les caisses de l’État est épongé pour être distribué sans compter à ceux qui le courtise. Sa marotte consiste à faire valoir sa notoriété présidentielle dans les PMA, tout en se livrant à des soirées mondaines et de rencontres glauques et arrosées dans les bars ou les vestiaires des stades de foot.
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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