C’était au tout début du mois, quelque part sur l’île d’Oléron, lors d’un retour de balade. Du vert sur fond vert, je ne perçois rien, mais l’ami qui nous accompagne pointe du doigt le petit batracien. Il avait l’œil, lui. Le lendemain, je suis retournée au même endroit, scrutant la même feuille. Mais rien. Il y avait du vent, trop de vent, et l’animal était ailleurs.