Même en voulant être très nuancés, à défaut de rester très bienveillants, force est de constater que les Globalistes nous exploitent jusqu’à l’os et veulent notre peau.
Ainsi notre quotidien est fait de peines et de misères de quelques côtés que l’on aille, et les différents mouvements qui éclosent nous montrent à quel point le malaise est profond entre l’insécurité financière et celle plus prosaïque de l’intégrité personnelle exposée aux voyous et aux barbares qui ont envahis le pays.
À cela, se rajoute celle de la guerre dont nous sommes gavés à longueur de journée en fabricant des menaces qui paraissent plus être le fait de la Presse nous invitant à la haine d’un ennemi désigné qui à force d’excès d’invraisemblances apparaît plus victime que bourreau des mêmes qui transforment nos vies en un nouvel enfer.
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Plus les choses avancent, et plus elles se révèlent interpénétrées en suivant le même pas de vice, à l’instar de notre gouvernement de tortionnaires d’une même idéologie souvent dévoyante se comportant comme les nervis diligents du capitalisme sauvage qui nous vend et impose ses lois débridées de toutes natures sur le même tempo que « marche ou crève » lequel nous est distillé en image de la guerre à nos portes, en une menace inéluctable, si nous n’acceptons pas de Marcher dans la combine des mêmes Globalistes ayant tout réglé des ballets qui vont de la mainmise sur toute les chaînes alimentaires, industrielles, militaires, et évidemment de TV pour le bourrage de crâne et l’endoctrinement à ne plus réfléchir.
C’est ahurissant de constater l’indigence et le cynisme cumulés du raisonnement qui nous est imposé quand on s’aperçoit que tout est relié, et là je fais allusion à la misère de nos agriculteurs et celle de la guerre d’Ukraine au travers du scandale de l’importation massive du poulet ukrainien prétendue aider leurs éleveurs alors qu’il s’agit juste d’engraisser un Oligarque (et ami du cocaïnomane en chef de Kiev martyrisant son pays), monopolisant toutes les productions aviaires de l’Ukraine.
Je n’ai nul besoin d’en démontrer plus pour expliciter mon propos et mon titre que nous obéissons bel et bien au dictat d’une mafia financière folle qui ne se cache même plus de tous ses excès engendrant nos misères et faisant couler le sang sans vergogne pour ses seuls intérêts…
À vous de me dire si vous êtes aussi écœurés que moi, et comment en supporter d’avantage sans tomber en révolte à l’image de nos agriculteurs courageux qui révèlent ce que pudiquement ils dénoncent être de la schizophrénie…
Gilbert Malaval
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Gilbert Malaval pour Observatoire du MENSONGE
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