varia

Publié le 22 août 2008 par Leonor

On peut écrire à partir de rien : d’une porte poussée dans le monde (telle maison, un bar, le métro, une bibliothèque …) car voici que commence un théâtre gigogne, qu’y entre un personnage, ou même simplement quelques objets quotidiens (a vrai dire un seul est suffisant : il y a tant à dire) ou bien encore à défaut d’objet juste l’observateur lui même, son corps les divers mouvements des doigts d’une main, ou des sensations, impressions fugaces et leurs variations graduelles, et s’il n’y a rien peut être tout seulement l’irruption tranquille du sommeil dans le linceul du lit.