Chapitre 12
Le sort de l’espèce humaine entre les mains de progressistes faisant fi de la Planète et de la postérité
B – La Covid-19 est un frankenvirus à n’en pas douter
La pauvreté dans le monde, principalement liée à une surpopulation planétaire qui enfle aujourd’hui à raison d’un milliard d’humain désormais tous les 12 à 10 ans, fait l’objet depuis quelques années d’études démographiques et scientifiques discrètes par les sphères influentes d’Ouest en Est, notamment pour contrôler simultanément les risques écologiques et les conséquences géopolitiques majeures au vu de l’immigration de masse depuis les PMA et le quart monde. Ces intrigues qui se montent entre des multimilliardaires, des ONG tel Melinda & Bill Gates Foundation, membre éminent du Forum de Davos*.
Des chefs d’État de tout bord (dont Emmanuel Macron pour la France, outre le Japon et la Corée du Sud avec la présence le Président chinois Xi Jinping pour l’Asie qui ouvra le Forum le 25 janvier 2021) issus de nombreuses régions du monde, se retrouvent au cœur de la secte World Economic Forum* (Voir p. 58 à 60, « L’effroyable conjuration du Forum de Davos », éd. L’Observatoire du Mensonge). Ceux-là, se présentent tels des plénipotentiaires multilatéralistes, tout en ne laissant jamais poindre les intentions ténébreuses déjà à l’œuvre contre cette démographie surnuméraire, prétextant que le contrôle des naissances, sous l’action discutable et embryonnaire des plannings familiaux, ne parvient pas à en contrôler l’expansion.
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Or, les vaccins-Covid, aussi délétères dans le temps que le SARS-CoV-2, sont ensemble le produit d’un vaste intrigue souterraine, mais aussi un marché mondial particulièrement juteux où les laboratoires biochimiques de recherche, de concert avec le Big Pharma, fabriquent ensemble, les uns des frankenvirus et les autres leurs antidotes prophylactiques. Or, ces remèdes préventifs s’avèrent aussi toxiques que ce coronavirus censé être combattu par ces injections à vecteur génique ou à vecteur adénovirus. Il s’agitde patchworks de souche bactérienne dont on retrouve des allèles issus de différentes pandémies et de gènes du VIH notamment, lesquelssemblent indiquer une réponse pour, semble-t-il, réguler le rythme des naissances sur la planète, sinon fidéliser une clientèle à coup d’un rappel de vaccination tous les quatre à six mois, aux fins d’en tirer ainsi un profit gigantesque.
Cette politique désastreuse pour la santé à l’échelle planétaire, met en lumière un mondialisme intercontinental entre profits commerciaux et servilité des États complices, sous le paradigme d’un ordre nouveau introduit par le WEF. Observons-là un échevinage non miscible car capitaliste et collectiviste ; des frères-ennemis, mais seulement par idéologie entre ces puissances politiques, industrielles et financières. Ces États, entre la social-démocratie et le communisme, font bloc contre les démocraties qu’il convient de corrompre puis de briser pour les soumettre et les assembler à l’intérieur d’un empire confédéré entre ces anciennes souverainetés. La secte WEF entreprend de les déshabiller de leurs accents patriotique pour les rhabiller à la mode mondialiste. Ce que l’Union européenne n’aura pas véritablement réussi à réunir sous l’empire d’une Constitution commune, se fera au pied de Davos en Suisse, à l’aide de son gourou Klaus Schwab, le père spirituel de ladite secte, une richissime entreprise grimée en Fondation et gérée par le directeur norvégien Børge Brende.
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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