Le manque de réalisme des politiciens s’allie à leur refus d’écouter leurs propres électeurs, ce qui souvent leur nuit fortement.
Le meilleur exemple est cette propension à vouloir proposer des programmes épais et qui n’intéressent pas l’électeur, préoccupé par deux ou trois problèmes essentiels dans sa vie de tous les jours.
Ces programmes coûteux sont donc inutiles puisqu’il faut s’emparer des fameux deux ou trois problèmes essentiels et ne pas se laisser phagocyter par des questions de rhétorique qui n’intéressent pas vraiment l’électeur.
Mais par contre ces programmes servent aux médias pour dézinguer le candidat quand il est à droite et surtout à l’enfermer lors de débats stériles par des questions sur des sujets inutiles et ennuyeux. Cela les médias savent le faire très bien.
Le candidat doit faire simple pour simplement faire.
Ce qui de nos jours semble de plus en plus difficile, c’est certainement lié à la formation scolaire et à l’envie de ne pas heurter les médias et surtout à ne pas froisser l’idéologie dominante, sûre d’elle-même professée à longueur de journée par la gauche.
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Marion Maréchal est une candidate idéale enfermée dans un carcan qui la dessert complètement.
C’est dommage au vu de ses nombreuses qualités : elle parle bien et clairement, elle défend ses propos devant les médias accusateurs d’office, elle est, ce qui ne gâte rien, mignonne et souriante, surtout face à certaines de ses adversaires qui sont elles plutôt repoussantes et surtout haineuses.
Marion Maréchal est une candidate avec un énorme potentiel qui malheureusement s’est enfermée dans un carcan qui la contraint et surtout risque de ne pas lui donner les voix qu’elle mérite.
Alors, je lui offre, pour sortir de ce dilemme, son slogan de campagne, qui lui permettrait de doubler son futur résultat !
C’est quand même un meilleur slogan de campagne qu’un programme en 92 points qui sera peu ou pas lu…
« Je vote Français, je vote Marion »
Président-fondateur Observatoire du MENSONGE/>
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Alexandre Goldfarb pour Observatoire du MENSONGE
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« La vérité c’est que le fameux » bien vivre ensemble » s’est transformé depuis longtemps en ne plus vivre du tout. »
L’incroyable définition de l’islamisme par le Premier ministre !
Après que le Président lors de l’incident raciste de SciencesPo a parlé pour le qualifier de « séparatisme », on se demande bien le rapport avec la réalité, voici Gabriel Attal dans son entreprise idéologique de désinformation.
Gabriel Attal, lundi 25 mars 2024 au PC Gare Saint-Lazare Paris :
« Je le redis ici, l’islamisme n’est pas une religion, ce n’est même pas une simple idéologie, c’est une spirale, un engrenage de la haine qui se nourrit de notre naïveté et qui veut tuer la République. »
L’islamisme n’est pas une religion selon Attal !!!
Comment un Premier ministre peut-il nier à ce point la réalité ?
Définition du Larousse pour le mot Islamisme :
» 1. Synonyme vieilli de islam.
2. Désigne, depuis les années 1970, un courant politique de l’islam faisant de la charia la source unique du droit et du fonctionnement de la société dans l’objectif d’instaurer un État musulman régi par les religieux. »
Principaux synonymes : Islam, islamiste, islamisation, islamiser
Pour « les tu crois » « t’es sûr » et autres « c’est pas vrai » et « la télé l’a dit » :
Même si vous n’êtes pas enthousiastes à l’idée d’aller voter, il faut vous rendre aux urnes et glisser le bulletin de vote Marion Maréchal parce que :
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