Magazine Humeur

De terrifiantes réalités 15

Publié le 20 juin 2024 par Observatoiredumensonge

Chapitre 15

Le sort de l’espèce humaine entre les mains de progressistes faisant fi de la Planète et de la postérité

B – La Covid-19 est un frankenvirus à n’en pas douter

Sans chercher à entacher les vertus de la vaccination, eu égard à la mémoire de Louis Pasteur et de bien d’autres chercheurs émérites, la profusion de vaccins, dont les palettes s’étendent au rythme des virus émergeants interpelle. Derrière cette industrie du Big Pharma, il apparaît évident qu’un grand nombre de ces virus hybrides que l’on retrouve dans la nature est fabriqué en laboratoire sous le prétexte non avoué – car non avouable – d’expérimenter des vaccins ad hoc dont les produits financiers, entre les cashflow, dividendes et commissions occultes sont astronomiques ; autant dire qu’ils se chiffrent par milliers de milliards de $ US. Le mobile dédouanant d’une prévention sanitaire et/ou bioterroriste, à la résurgence de telles calamités ne tient pas devant les risques encourus autour de ces exhumations de micro-organismes éteints, et de la recherche pharmaceutique aux fins de produire de nouveaux vaccins. Derrière les manipulations génétiques d’agents viraux qui furent hautement pathogènes, nonobstant pour la plupart quasiment éteints, il s’y cachent des intérêts lucratifs aussi morbides que criminels.

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Ainsi :

– le virus de la poliomyélite fut reconstruit par la génétique en 2002,

– en 2012 apparu le virus bovin Schmallenberg gravement pathogène ; produit in fine des apprentis sorciers en blouse blanche,

– H5N1 et H1N1 en 2013, toujours de la même trempe,

– le SARS 2.0 ultrarésistant hybridé du SRAS 2003, d’où vraisemblablement, depuis cette dernière chimère [CoVSHC014], émergea fin 2019 la Covid-19,

– un orthopoxvirus simien de la variole bricolé, à double brin (Adn, clade I et clade II puis clade IIb du virus) suspecté bricolé en 2017 puis opérationnel en 2022/2023 fit son entrée en scène depuis d’obscurs laboratoires « P3 » ou « P4 », entraînant une flambée de contamination chez l’homme, quoique sans grande nocuité, en dépit de ce qu’il fut annoncé par les politiques, à l’appui des certificats de décès falsifiés,

– puis la nature diabolique du Big Pharma aura même réhabilité la poliomyélite réintroduite par la génétique dans les enceintes « P4 », de même que l’hybride du Sars 2.0. plus résistant que le précédent. Puis encore une chimère codée CoV-SHC014, le virus bovin Schmallenberg (SBV), et pour conclure un prétendu virus synthétique prétendument tueur de bactéries résistantes aux antibiotiques, bizarrement sorti du chapeau en 2018. La liste de ces manipulations aux conséquences létales ne saurait être exhaustive.

Quant à Ébola, apparu mystérieusement entre 2014-2015 en Afrique, il ne fut pas l’œuvre du Saint-Esprit (bioterrorisme ?), pas plus que le VIH-1 décelé mi-1981 aux USA ! Soyons lucide, si les vaccins ne sont pas des remèdes médicamenteux – donc ne sont ni des antidotes ni des thérapies – à quoi servent-ils sinon à prévenir une infection, dès lors qu’en aval il se crée de nouvelles résistances derrière ces toxines mutantes, ainsi des variants à la faveur d’antigènes vaccinaux moult fois réinjectés tous les quatre à six mois pour briser la barrière immunitaire, ainsi rendus plus juteux pour le Big Parma, la Big Finance et les politiciens stipendiés ? Lorsque ces vaccins n’empêchent ni l’infection, ni les formes graves de la pathologie induite, et pas davantage ne réduit les contaminations, ainsi en va-t-il des vaccins-Covid, la question reste posée ; à qui profite ce bluff ?

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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