De terrifiantes réalités
qui ne sont ni fiction ni complotisme…
Chapitre 16
Le sort de l’espèce humaine entre les mains de progressistes faisant fi de la Planète et de la postérité
B – La Covid-19 est un frankenvirus à n’en pas douter
Une bombe organique est annoncée dans le haut arctique russe. La fonte du permafrost libère des bactéries et des spores que la mémoire de l’homme n’a jamais connus, enfermés dans les protistes depuis plusieurs millénaires. Les ¾ de ce permafrost hyperboréal est en voie de fondre, provoquant des incendies gigantesques dans la toundra et la taïga par l’échappement du méthane qui s’enflamme au contact de l’air. Le CO2 en suspension dans ces couches fossiles (alors sous formule chimique CH4) représente deux fois la quantité existante dans l’atmosphère terrestre, et le bilan hydrique devient effrayant, transformant la Sibérie en savane polaire. La fonte brutale du pergélisol sur 25 millions de km2, d’où 20 % de la surface terrestre hors océans, libérerait 1 500 milliards de tonnes de GES, d’où des millions de m3 de méthane et de dioxyde de carbone.
Des bactéries gloutonnes (une archée anaérobie méthanotrophe) n’auraient pas le temps d’absorber assez rapidement tout ce gaz, pourtant issues d’autres bactéries méthanogènes qui convertissent le CO2 en HCO3(l’hydrogenobicarbonates). Mais toutes ces annonces climatiques désastreuses dissimulent des affabulations dirigées vers le public par les lobbies politico-financiers, écolos et industriels. Pour preuve, les médias, dès la fin annoncée de la crise sanitaire en 2022, prophétisèrent derechef et à l’unisson une apocalypse imminente avec une nouvelle pandémie encore plus létale que celle du Coronavirus ; ce dernier ayant fort déçu ses concepteurs par la faible nocuité de leur progéniture virale, nonobstant les exagérations de décès multipliés de dix à cinquante fois (Source : l’OMS qui pour la circonstance fit son mea culpa).
Puis la révélation de la fonte du permafrost en Sibérie devait laisser échapper des monstres d’un autre âge : Pithovirus mammoth, Pandoravirus mammoth, Megavirus mammoth, puis Pacmanvirus lupus et Pandoravirus lupus. Quoi de plus effrayant que ces zombies ramenés à la vie après un sommeil de 48 000 ans ? Comme vu plus haut, ces masses organiques congelées enferment sûrement des micro-virus (plutôt des macro-bactéries) d’une dimension phénoménale. Pour autant, rien n’indique une telle dangerosité annoncée pour l’homme, sachant que cette résistance cryogénique ne promet pas de dévorer l’humanité, si la lucidité l’emporte sur de telles élucubrations des faiseurs de catastrophes virtuelles. La seule calamité pour l’homme se situe au cœur des laboratoires secrets qui fabriquent des frankenvirus bien plus redoutables.
De surcroît, le méthane qui s’échappe de ces concrétions biochimiques s’enflamme immédiatement au contact de l’oxygène de l’air (dioxygène, gaz diatomique : O2), d’où les incendies gigantesques dans ces régions à la limite de l’arctique. Mais ce qui infirme cette catastrophe bactérienne tient par le fait que ces organismes sont quasiment tous anaérobies ; en clair ne résistent pas au contact de l’air, si tant est que ces « monstres » ne périssent pas dans l’eau au dégel, et ne fasse le festin d’autres bactéries, elles manifestement gloutonnes. D’ailleurs, ces micro-organismes doivent d’abord trouver un autre organisme hôte vivant pour s’alimenter et survivre, ce qui n’est pas aisé au milieu de nulle part ou des flammes. Au surplus, s’il en est qui survivent après avoir traversé ces obstacles, ils finiront calcinés par le feu du méthane qui s’échappe du pergélisol réchauffé par le climat.
Tout cela pour indiquer que les scénarios catastrophes, proclamés haut et fort sur les antennes, sont l’œuvre des campagnes de désinformation emmenées par le Big Pharma et ses suppôts politiques, aux fins de maintenir un climat de psychose dans les chaumières, et des mesures règlementaires d’alerte des pouvoirs publics. Mais s’il est un nouveau virus surgissant de nulle part, il sera vraisemblablement le produit in vitro d’un frankenvirus, à l’instar de ceux précités, et non le fruit sordide de Dame nature depuis les fonds terrestres de l’histoire de la planète. Trop d’enjeux financiers placent la cupidité au sommet du pouvoir politique, de sorte que s’il y a complotisme, gageons qu’il ne soit pas du côté de ceux, doué du sens de discernement et non impliqués dans les affaires qui dénoncent ces forfaitures, où des blouses et cols blancs flirtent avec la prévarication et le crime.
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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