Mon Dieu tout puissant,
J’ai beaucoup hésiter avant de vous écrire.
Je me disais: “Que va-t-il penser ? N’est-ce pas exagéré ? Ne faudrait-il pas que je passe par un de ses proches collaborateurs ? Ou une collaboratrice ? ”
C’est vrai ! Au début j’ai eu peur. Peur que vous me preniez pour un prétentieux.
Je vous imaginais, assis à votre bureau. Le coupe papier, fumant encore sous l’effet du frottement des enveloppes, serré dans votre main droite. Vous disiez: “Mais pour qui il se prend celui là ! Sait-il à qui il s’adresse ?”
Et je me suis dis: “Allez ! Courage!
Comme on dit par chez nous: “qui ne tente rien n’a rien”. J’ai donc pris mon courage à deux mains et je me suis lancé. (Comme vous pouvez le constater)
Malgré, le fait que je ne sais pas vraiment comment vous aborder, je viens vers vous, aujourd’hui, avec énormément de respect, de dévouement et beaucoup d’humilité.
C’est vrai, vous êtes Dieu ! Mais comment dois-je vous appeler ? Mon seigneur ? Sa Sainteté Supérieur ? Ma sérénissime force supérieur ? Mon créateur de l’éternelle ?
Pas facile de s’adresser au créateur !
Surtout, que là, je vous vouvois. Alors, que peut-être, vous êtes d’accord que je vous tutoies ? Quand on sait, que dans certaine langue, la différence entre les deux n’existe pas. Vous comprendrez aisément ma difficulté.
Enfin, revenons en à nos moutons. Voici ma quest<Nombres de caractères atteint>
Jean-Pierre, 47 ans, Jodoigne
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Bon, bon,…
Bin mon p’tit J.P., laisse moi te dire que t’es vraiment un flanc. La prochaine fois, fais gaffe au nombre de caractère autorisé.
En plus, si t’es comme ça avec tes amis, tu ne dois pas en avoir beaucoup.
De temps à autre, il est important d’aller directement à l’essentiel. Surtout pour ne pas embêter les autres.
Maintenant, le meilleur conseil que je peux te donner, c’est de ne pas me réécrire. Je ne te répondrais pas.
Bonne chance dans la vie, tu en auras besoin.
Dieu