Magazine Humeur

De terrifiantes réalités 17

Publié le 11 juillet 2024 par Observatoiredumensonge

Chapitre 17

Le sort de l’espèce humaine entre les mains de progressistes faisant fi de la Planète et de la postérité

B – La Covid-19 est un frankenvirus à n’en pas douter

Pourquoi des apprentis-sorciers s’exercent-ils à jouer avec de pareils dangers potentiels, pour les bricoler et les transporter, comme on allumerait une allumette au milieu d’une fuite de gaz ? Doit-on accepter que des chimio-microbiologistes en recherche fondamentale soient autorisés à jongler avec la dangerosité de micro-organismes en éprouvette, comme avec le gène viral « 5 » associé au MERS-CoV, dans le centre national de biotechnologie de Madrid, même si prétendument cet agent pathogène fut détruit, car rien ne l’atteste ? Alors pourquoi en avoir modifié la composition et assemblé les fragments en laboratoire « P4 » pour se constituer un frankenvirus hautement génocidaire, si ce n’est pour s’en servir ? Ces manipulations dérobées attestent sûrement des financements occultes qui ont permis l’apparition de telles créatures diaboliques ; des monstres bactériens qui s’avèreront ultérieurement productifs de profits aussi démoniaques que génocidaires ?

En prétendant vouloir jouer un coup d’avance sur l’évolution hypothétique de bactéries supposées mortelles et vectrices de pandémies ou de bombes sales, en les manipulant pour les rendre toujours plus dangereuses afin d’en mesurer la nocuité, n’est-ce pas jouer avec le feu ? Autrement dit, prendre de tels risques soi-disant au nom de la science pour fabriquer des vaccins et des médicaments ; n’est-ce aussi risquer d’en transmettre les codes séquentiels aux laboratoires pharmaceutiques qui les transformeront en millions de $ et d’€ pour fabriquer des vaccins prétendument préventifs, sinon à destination de forces terroristes abritées dans des États-voyous comme en Iran ou chez les États du Golfe persique, via de sombres trafiquants dans le but de déclencher un conflit bactériologique ?

En arguant que les antibiotiques font évoluer la résistance des virus, des bacilles ou des spores, devrions-nous nous entraîner à acheter les inhibiteurs d’infection en pharmacie sur le Net, ou dans les magasins discount qui proposent de la viande bourrée d’hormones et d’antibiotiques depuis les éleveurs de bétail, précisément fabriqués et fournis par ces mêmes labos ? Si le Big Pharma est omniprésent, ne le laissons pas devenir omnipotent avec la secte WEF.

Bien des d’expériences laborantines sur des micro-organismes classés comme dangereux sont initialement mis en éprouvette depuis des laboratoires « P2 » et « P3 », donc en-dessous des normes de sécurité qu’offrent la classe « P4 ». Des échantillons de virus sont même fréquemment baladés par envois postaux, avec tous les risques de perte, de fuite ou de détournements que de tels expéditions comportent en chemin, par air, par route ou par rail. Tel fut le cas avec une souche matrice qui donna naissance à la Covid-19, dont nous apprécierons l’étrange cheminement de cette progéniture issue de travaux réalisés en sécurité précaire, voire très insuffisants entre la Chine, les États-Unis, l’Espagne et autres sites expérimentaux rattachés à l’Institut Pasteur (vu plus haut). Au final, ces virus congelés sont revenus à leur point de départ à Wuhan qui en laissa vraisemblablement échapper le virion, soit depuis un animal sinon par un laborantin ou autre personnel d’entretien contaminé par zoonose, sinon volontairement avec une corruption au bout !

Certaines séquences génétiques, depuis le réservoir de coronavirus prélevés sur des chauves-souris dans les massifs karstiques en Chine, aboutir mystérieusement entre 2010 et 2015 à l’Université de Caroline du Nord. Une chimère, produit de bricolages génétiques en labo, coupla la protéine Spike du virion RsSHC014 au squelette d’un SRAS modifié. Puis en 2017, huit autres chimères de ce virus cultivés in vitro sont venus rejoindre en RDC la mystérieuse matrice de cette duplication susmentionnée ; autant de clones synthétiques disposant d’un tropisme susceptible d’infecter les cellules humaines induisant des lésions auto-immunes, puis à l’identique avec des vaccins vecteurs de pathologies opportunistes. Pourquoi faire et pour le compte de qui ? Les inspecteurs de l’OMS seraient-il incompétents ou auraient-ils le regard posé ailleurs pour laisser les politiciens, les actionnaires de labos et les crapules du WEF se partager le magot ?

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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