Déni suicidaire.

« Alors que nous pouvons tout savoir de la réalité, la question qui se pose, c’est pourquoi courir au suicide?

Il suffit en effet, qu’il en soit des programmes politiques comme des faits patents qui sont à l’origine du déclenchement de la guerre 
d’Ukraine, de se documenter aux bonnes sources facilement accessibles, pour savoir qui 
est qui et qui a fait quoi, qui nous veulent tant de mal.

À croire que les gens ont été drogués et instillés à la « connerie en bâton » qui pique très profondément pour rester accrocs à ce point au déni imbécilement suicidaire !

Ainsi, au moment où il émerge un président de passage pour six mois à la direction de l’Union Européenne, qui prend son bâton de pèlerin de 
la PAIX, à la main, et ses couilles haut placées dans son pantalon, j’ai nommé Viktor Orban, évidemment conspué par la saleté qui se croit la chef de Bruxelles, et notre président indécent, relayés par une Presse pourrie parfumée à la mort, il se trouve encore beaucoup d’abrutis et forcément de fous qui rêvent visiblement de sang et de larmes, pour applaudir à la chronique 
du massacre annoncé, en riposte de l’OTAN, dont il n’est plus fait mystère qu’il veut tuer une Russie triomphante, menée par un Poutine qui l’est tout autant, en restant pourtant mesuré et patient jusqu’à la faute impardonnable qui signifiera notre mort.

Au moment où nous sommes amusés par des guignols qui s’apprêtent à changer le Palais Bourbon en cirque de bouffons, qui imaginent trouver la parade à l’autre, les deux ne pouvant conduire au mieux qu’à l’agonie de la France, l’artificier déjanté de service, abruti comme l’autre pantin par la coke, veut activer le recrutement dans l’armée, pour écourter possiblement le calvaire national, non pas par humanisme soudain, mais par peur de rater l’explosion et son formidable spectacle !

Toute ressemblance de ce texte avec la réalité du moment n’est absolument pas fortuite, et il m’apparaît nécessaire de pousser un dernier cri de désespoir, tant nos représentants et ceux qui soutiennent leurs absurdités sont beaucoup 
trop nombreux, souvent dans le déni par lâcheté, comme si détourner son regard de l’inéluctable allait pouvoir l’empêcher…

Ce qui peut éviter notre fin, c’est uniquement le courage de dire non, mais encore faut-il pour cela, ouvrir ses yeux et regarder correctement la vérité en face!

Gilbert Malaval épuisé par l’imbécilité dominante »

Gilbert Malaval

Attention ce texte est un pamphlet n’engageant que son auteur. Observatoire du MENSONGE défend la liberté d’expression !
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Gilbert Malaval pour Observatoire du MENSONGE

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Article(s) à lire :

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