L'autre jour je marchais le long de la grève de Pont-Mahé à marée basse par grand vent. Tantôt tête levée vers la nué
Peut-être que j'aurais dû signaler le phoque échoué à quelque observatoire du littoral. Ils l'auraient sans doute autopsié et peut-être compris comment le pauvre animal avait fini par s'échouer là.
Ce même jour on se racontait à travers la presqu'île guérandaise l'affreux dénouement d'une tragédie estivale attendue. Des plaisanciers inexpérimentés et sous-équipés avaient chaviré et été portés disparus la veille. Au matin, en ouvrant les fenêtres de sa villa en bordure de la grande plage de La Turballe, un vacancier a eu la macabre surprise d'apercevoir un corps déposé sur le sable par la marée.