Chapitre 19
Le sort de l’espèce humaine entre les mains de progressistes faisant fi de la Planète et de la postérité
B – La Covid-19 est un frankenvirus à n’en pas douter
Les transgressions des principes éthiques dans le secteur de la recherche clinique font pléthore. Depuis 1970, des centaines de milliers de femmes indiennes absorbent des molécules médicamenteuses dont les effets thérapeutiques sont controuvés. Cette molécule, la quinacrine, brûle les trompes utérines, provoquant de mauvaises cicatrisations stérilisantes et définitivement irrémédiables. Quinze ans plus tard, les services sanitaires publics ont convaincu les villageoises de participer à l’essai d’un contraceptif injectable, alors même qu’il avait été retiré du marché par suite de tumeurs identifiées sur des rates de laboratoire, auxquelles fut infectée cette molécule.
Ces expériences étaient menées dans l’omertà des fréquentes lésions consécutives à cette stérilisation pathogène. Selon un forum dédié à Babelio aux éditions Demopolis, Sonia Shah (4 octobre 2007) rapporte cet ahurissant témoignage : « Les femmes n’avaient pas la moindre idée qu’elles participaient à un essai, rapporta une militante du Stree Shakti Sanghatana, un collectif de femmes établi à Hyderabad. Si elles avaient été informées, a déclaré à des militantes du Stree un membre du personnel paramédical chargé de l’essai, aucune n’aurait accepté d’y participer ».
Outre le contrôle des naissance aux pratiques chimiques ou chirurgicales dissimulées, rappelons que l’eugénisme est né au début du XXème siècle aux États-Unis pour lutter contre le métissage, et que suivirent la stérilisation sous contrainte ainsi qu’une loi de discrimination visant à réguler ou choisir une immigration selon des critères xénophobes et racistes. La sélection humaine a déjà connu durant l’histoire ses périodes les plus sombres, notamment avec les esprits glauques des périodes nazies, où furent expérimentées les tortures et l’euthanasie de masse dans les camps de la mort sur des victimes jugées indésirables et/ou inférieures (op. cit. « Le chaos démographique » § C, p. 28 à 62 ; éd. L’Observatoire du Mensonge).
À ce jour, d’autres méthodes, non d’élimination mais d’atténuation de la fécondité (pilule, stérilet, préservatif également pour éviter les infections sexuellement transmissibles : IST), sont efficaces, et ne relèvent pas de crimes contre l’humanité, sauf pour les intégristes. Au-delà du risque insistant des attentats bioterroristes souvent pris pour thème dans les long métrages hollywoodiens, l’usage de vaccins concoctés en laboratoire derrière des posologies médicales de façade, pourrait induire de discrets programmes de régulation des naissances, au lieu et place du planning familial. Si d’aventure de telles pratiques trouvaient preneur dans les coulisses du pouvoir, une autre voie s’ouvrirait vers l’idée d’en passer par des implants nanoscopiques qui pourraient, dans la clandestinité ou dans le cadre d’un régime politique autoritaire, être systématisés avant l’âge de la puberté (Voir supra § A).
Parmi les armes et procédés de destruction de la vie, ici pointe également le danger majeur des armes bactériologiques ou à toxines à effet fulgurant, dont les souches foudroyantes sont travaillées en laboratoire. Cependant, subodorons que des intérêts économiques et industriels entre le Big Pharma, la secte WEF et les puissances politiques qui soutiennent de pareilles stratégies conglomérales, circulent plutôt dans les veines d’une corruption juteuse et maligne.
Il n’est évidemment pas acceptable que sous le prétexte de peser sur la balance d’un bénéfice/risque entre un poison viral et son remède vaccinal ou médicamenteux, le curseur glisse toujours du côté des intérêts de quelques puissants et fortunés, plutôt que de profiter au sens d’un équilibre sanitaire et démographique global. Réveiller ou reconstituer des micro-organismes qui se sont éteints dans le temps, lesquels se sont révélés mondialement pathogènes, en stimulant de nouveaux principes actifs ou d’antigènes pour en tirer un remède prophylactique ou une thérapie discutable, revient à mettre en péril ceux-là même que l’on prétend vouloir protéger !S’agissant du SARS-CoV-2, la thèse d’un virus artificiel n’est plus à démontrer, puisque son analyse par séquençage révèle une mosaïque de plusieurs allèles appartenant à d’autres coronavirus, puis de rétrovirus (ARN) de la famille des lentivirus, dont le virus de l’immunodéficience humaine (VIH). Dans le groupe des SARS (dont le CoV-1 et CoV Urbani), gageons que la barrière des espèces fut allègrement franchie, laissant les zoonoses se propager dans toutes les directions de l’environnement. En 2012, un virus quasiment similaire au Covid-19 (le RaTG13), fut identifié en Asie, laissant apparaître un brassage de souches virales, par lequel il n’est pas incongru d’en tirer des conclusions politiques quant à la réalité de manipulations antérieures à la pandémie qui frappa la planète dès la fin de l’an 2019. Persister à soutenir que le SARS-CoV-2 n’a qu’une seule origine naturelle, c’est ignorer que sa matrice circula par suite sur trois continents, entre la Chine, l’Espagne et les États-Unis, en passant par la filière Network de l’Institut Pasteur, d’où ses laboratoires connexes hors de l’Hexagone, là où le regard des inspecteurs de l’OMS reste vague.
Enfin, si le SARS-CoV-2 était exclusivement d’origine naturelle, pourquoi n’a-t-on jamais isolé sa souche génitrice, comme ce fut le cas avec le SARS-CoV-1, le MERS-CoV ou le RaTG13 similaire à 96 % ? La Covid-19 ne fut même pas reconnue sur un hôte intermédiaire, pas même dans la population des mammifères simiens ou placentaires explique le virologue Étienne Decroly de l’Université d’Aix-Marseille. Pourtant, c’est de cette manière que fut répandue la légende d’une zoonose, comme en partant du site de clivage de la protéine furine ; une séquence d’acide aminée présente dans la protéine Spike du SARS-CoV-2, exprimée en deux sous-entités. Quant à vouloir expliquer comment ce virus s’est répandu sur la Planète, soulignons que les laboratoires à Wuhan abritent plusieurs sections d’études sur des micro-organismes, de « P4 » à « P2 », déterminant un niveau de sécurité de fort à aléatoire. Il faut regretter le flou entretenu par les directives internationales de l’OMS qui autorisent de facto les labo « P3+ » à travailler sur des souches bactériennes et virales très virulentes. La possible transmissibilité d’agents pathogènes par les équipes de personnels y travaillant (infection par contact ou blessure), les carences de procédures et d’installations incorrectement protégées des risques majeurs de fuite en aérosol, d’évasion de cobayes animal et d’acheminement sans protection dédiée de virus d’un laboratoire à l’autre, sont autant de facteurs accidentels ou simulés, que l’on ne saurait écarter.
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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