lors d'une visite à l'hôpital Public Européen du Sud de la bande de Gaza. Ce n'est pas la première fois que ce médecin a entendu que des enfants parfois très jeunes sont ciblés par des snipers israéliens. Comme praticienne, elle connait les dégâts qu'une seule balle de gros calibre peut causer à un jeune corps fragile. " " Ils ont reçu des balles de sniper dans le cerveau. Ils avaient sept ou huit ans ", c'est ce qu'a confiée une infirmière à la docteure canadienne Fozia Alvi Ils étaient incapables de parler, paraplégiques. Ils étaient littéralement couchés comme des légumes sur ces lits. Ils n'étaient pas les seuls. J'ai même vu de jeunes enfants avec des blessures directes de sniper à la tête et à la poitrine. Il ne s'agissait pas de combattants, mais de petits enfants ". [i]Il y a aussi les témoignages de Palestiniens de Gaza qui font état d'une nouveauté terrifiant : des drones armés capables de survoler les rues et d'abattre des individus. Appelés quadcoptères, certains de ces drones sont pilotés comme des tireurs d'élite télécommandés pour tirer sur des civils. [ii][iii]
rejeter totalement les allégations selon lesquelles ses tireurs d'élite tireraient délibérément sur des civils et ajoute qu'elle ne peut pas répondre à des tirs individuels " sans disposer des coordonnées des incidents ". " Quant à l'armée israélienne qui déclare : L'armée israélienne ne vise que les terroristes et les cibles militaires. Contrairement aux attaques délibérées du Hamas contre des civils israéliens, hommes, femmes et enfants, les FDI respectent le droit international et prennent toutes les précautions possibles pour atténuer les dommages causés aux civils ". [iv] Pourtant, les témoignages viennent de 9 médecins, et on ne voit pas pourquoi ceux-ci mentiraient d'autant qu'il y a des milliers de preuves en vidéos et photos. La machine à propagande de Netanyahou tourne à plein régime, appuyée par les médias de masse des pays occidentaux et ainsi par les gouvernements des " démocraties avancées ".
Témoignages de soldats israéliens qui viennent confirmer les affirmations des docteurs : Toute une génération de garçons et filles exécutants leur service militaire (3 et 2 ans), ne pourrons pas se sortir indemne psychologiquement de cette boucherie et seront hantés jusqu'à la fin de leurs jours par ce qu'ils ont fait et vu. Des soldats de Stahal ont récemment pris la parole pour parler de ce dont ils ont été témoins alors qu'ils servaient à Gaza. Leurs témoignages, par la publication 972. Bien sûr, ces témoignages à part un sont anonymes, car pouvant être soumis à de graves poursuites.
originaire de Jérusalem, le seul soldat prêt à être nommé, a observé : " Green a noté que pendant une opération de sauvetage de quatre otages israéliens qui a fait plus de 270 Palestiniens tués le mois dernier, l'armée est en réalité profondément indifférente . Il a déclaré avoir entendu d'autres soldats déclarer : " Yuval Green, un réserviste de 26 ans Les gens tiraient juste pour tromper l'ennui. " Dans d'autres cas, les soldats ouvrent le feu uniquement pour se défouler, s'amuser, " vivre l'expérience " d'être à Gaza. Ce même Les otages sont morts, ils n'ont aucune chance, il faut les abandonner. "
a déclaré à 972 que l'armée israélienne jouissait d'une " totale liberté d'action ", les soldats étant censés tirer directement sur tous Palestiniens s'approchant de leurs positions, plutôt que de tirer un coup de semonce en l'air : " Il est permis de tirer sur tout le monde, une jeune fille, une vieille femme. " Lorsque des civils ont reçu l'ordre d'évacuer une école servant d'abri dans la ville de Gaza, certains sont sortis par erreur vers la droite, en direction des soldats, plutôt que vers la gauche. Cela comprenait des enfants. " Tous ceux qui sont allés vers la droite ont été tués de 15 à 20 personnes. Il y avait un tas de cadavres. " Tout Palestinien à Gaza peut se retrouver par inadvertance pris pour cible : " Il est interdit de se promener et toute personne qui se trouve à l'extérieur est suspecte. Si nous voyons quelqu'un à la fenêtre qui nous regarde, c'est un suspect. Nous tirons. "
, a également noté que " les tirs sont très libres, comme des fous " et pas seulement avec des armes légères. Les soldats utilisent des mitrailleuses, des chars et des obus de mortier dans une frénésie similaire et injustifiée.
Ce sentiment d'impunité totale s'étend jusqu'à la chaîne de commandement : Bien que la destruction d'hôpitaux, d'écoles, de mosquées, d'églises et d'organisations d'aide internationale nécessite l'autorisation d'un officier supérieur, dans la pratique, de telles opérations sont presque toujours approuvées, a déclaré A : " Je peux compter sur les doigts d'une main les cas où on nous a dit de ne pas tirer. Même dans des domaines sensibles comme les écoles, [l'autorisation] semble n'être qu'une formalité... Personne ne versera une larme si nous détruisons une maison alors que ce n'était pas nécessaire, ou si nous tirons sur quelqu'un alors que nous n'y étions pas obligés. " Ce même A. a commenté l'ambiance qui régnait dans la salle des opérations en déclarant que détruire des bâtiments " donnait souvent l'impression de jouer à un jeu vidéo ". En outre, A. a mis en doute les affirmations d'Israël selon lesquelles les combattants du Hamas représentaient une grande partie des morts à Gaza. Toute personne arrêtée dans les " zones de mort " et ciblée par un soldat qui s'ennuie est considérée comme un " terroriste ". Les soldats ont également rapporté que leurs commandants ont fait détruire des maisons non pas parce qu'elles étaient soupçonnées de servir de bases aux combattants du Hamas, mais par pur désir de vengeance contre l'ensemble de la population. [v]
journal israélien Le lâcher prise encouragé par la hiérarchie militaire : d'après le Haaretz qui détaille les crimes de Tsahal, il y a des " Zones de mort " à Gaza. Un officier de réserve israélien a déclaré au journal : " Les ordres sont de tirer et de tuer, même si la personne n'est pas armée" Un commandant israélien a décrit à Haaretz des " incidents au cours desquels des civils ont essayé d'atteindre des zones qu'ils pensaient avoir été quittés par l'armée, potentiellement dans l'espoir de trouver de la nourriture laissée sur place. Lorsqu'ils se sont rendus dans ces endroits, ils ont été abattus, perçus comme des personnes susceptibles de nuire à nos forces ", Car il ne faut pas oublier que la population de l'enclave est soumise à la soif (destruction des pompes amenant l'eau), par la faim (destruction des quelques vivres qui passe d'Égypte), par la maladie et les épidémies, car tout étant détruit, il n'y a nulle part pour prendre en charge ces malades ; le virus de la poliomyélite a été découvert dans les eaux usées de Gaza. Nul n'est en sécurité : Al Jazeera a publié une vidéo montrant les forces israéliennes abattant deux Palestiniens non armés dans le nord de Gaza, dont l'un brandissait un morceau de tissu blanc. [vi]
de Cisjordanie et de Jérusalem-Est occupées, ne sont pas seulement confrontés à une armée israélienne colonisatrice, violente, sauvage et hors contrôle. Ils sont trahis chaque jour par un Occident qui donne sa bénédiction à une telle barbarie par des silences, des " réclamations " fluettes et par une hypocrisie sans bornes : l'envoi d'armes, les financements, les jeunes français binationaux qui s'engagent dans l'armée de Tsahal et par des dons déductibles des impôts français. Alors, que les médias de masse en France argumentent sans fin et s'insurgent à longueur de colonnes et de plateaux TV en entendant les mots, Les Palestiniens de Gaza, génocide, crimes de guerre prouvent bien leur mauvaise foi, leur deux poids deux mesures et ainsi, est couvert l'apartheid si ancien et le nettoyage ethnique qui s'est accéléré depuis le depuis 7 octobre 2023. Toute cette horreur défendue, excusée par des journalistes qui n'en sont plus ; devenus propagandistes et supporters ; suivez mon regard vers Ruth Elkrief & CO !
Ce conflit n'accouchera qu'à plus de vengeance, de haine et de morts... Alertez les bébés ! Jacques Higelin
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