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U.K : Comment dire ras-le-bowl en british ?

Publié le 05 août 2024 par Georgezeter
Comment dire ras-le-bowl british

Énormément de témoins qui essayaient de dénoncer ces actes ont été terrorisés, menacés et accusés de racisme, d'où, un quasi-silence sur ces atrocités, qui ont fait monter le sentiment anti-immigration d'une partie de la population anglaise, pour en arriver à la situation émeutière actuelle. Angleterre : couvrir des viols et des tortures pour ne pas être taxé de raciste... Des gangs de pakistanais accusés de viols, tortures et d'avoir prostitué des jeunes filles de 11 ans et plus des années 80 jusqu'à nos jours dans un silence sinon complice, du moins coupable de la part de la police, des services sociaux et du pouvoir. [i]Le meurtre des trois petites filles de Southport a fait exploser le couvercle du chaudron d'une partie extrême de prolos anglais qui hurlent " enough is enough ! " ( Assez, c'est assez !). Si en plus en représailles des gangs d'immigrants dans les rues de Middlesbrough [ii] s'en prennent à toutes personnes blanches qui déambulent dans la rue en le savatant jusqu'au sang, pas étonnant que la situation british soit explosive, d'autant que la police antiémeute ne fait pas de cadeau et arrêtent à tour de bras, aidé par le bras séculier de la justice qui condamne sans distinction. Ça chauffe hot à Britland où la police compte ses nombreux blessés.

Il y a plus de 10 millions d'immigrés, sans compter les illégaux qui traversent le Chanel chaque année... Il est bien connu que dans les situations d'installation en masse d'immigrés dans un pays, si une minorité de ce groupe se comporte mal, ce sera la communauté toute entière qui en paiera les pots cassés. Amalgames : immigrants, pakistanais, musulmans. Des affaires sordides dans plusieurs villes de Grande-Bretagne ont fait la une des années 80' aux 2020'. Des gangs de pakistanais aidés par quelques hommes noirs et blancs auraient drogué, maltraités, battus, violés et parfois tués, de 1 000 à 4 000 [iii] enfants, selon les sources. C'était en grande majorité des jeunes filles blanches, mais aussi des adolescentes issues de la communauté du sous-continent indien. Deux cents criminels impliqués. Les abus se sont poursuivi d'après les victimes, encore bien après 2018, soit 40 ans depuis les débuts du réseau ciblant des victimes dès l'âge de 11 ans. Les travailleurs sociaux étaient au courant des abus depuis les années 90, mais il a fallu une décennie à la police pour simplement lancer une première enquête. [iv]Suite à ces dérives du système, ceux qualifiés d'anglais de souche en sont arrivés pour une bonne partie à associer étrangers et islam à criminalité et prédation sexuelle, avec comme corolaire un sentiment d'envahissement. [v] Il faut savoir qu'une personne sur six vivants en Angleterre ou au Pays de Galles est née à l'étranger. À Londres, c'est même le cas pour 40 % de la population, d'où ce sentiment d'invasion. [vi] Le Brexit a même accéléré le phénomène de personnes venues d'Afrique (Nigeria) et d'Asie (Inde, Chine et Pakistan). La migration nette a ainsi atteint un niveau historiquement élevé, avec 682 000 entrées nettes entre juin 2022 et juin 2023 − et même 745 000 entre décembre 2021 et décembre 2022. [vii][viii]Ainsi, suite à ces actes de barbaries contre des enfants très jeunes, l'inconscient collectif anglais n'a pas oublié, et à peine a-t-on appris l'origine de l'adolescent, Rwandaise et musulmane(?) celui qui a tué ces trois petites filles, en a blessé huit autres ainsi que deux adultes, une furie incontrôlable longtemps intériorisée, car contrôlée par la doxa de la bien pensance est devenue incontrôlable dans certaines couches de la population pour en arriver à une situation insurrectionnelle proche d'une révolution. Il faut savoir qu'en Angleterre s'en prendre à la communauté immigrée pour l'inconscient qui s'y risquerait, s'est se faire crucifier par les médias, l'establishment et la vox populi. Comme en France, il faut ignorer les sujets qui fâchent et faire comme si... Le seul pays européen qui a su négocier cet écueil est le Danemark, où les statistiques communautaires sont légales et sont mesurées et pointent du doigt qu'en effet la population carcérale est surreprésentée par des hommes issus de l'immigration. Sachant cela, les autorités ont pris le taureau par les cornes et ont mis en place des solutions qui commencent à accoucher de résultats : le % d'hommes immigrés dans les prisons est en baisse significative.

Faut-il dire que ce sont des réactions de l'extrême droite ? Oui et non, surtout que les amalgames sont risqués et sont utilisés à des fins de manipulations : de nos jours à partir du moment où on dénonce une dérive du pouvoir, il est devenu commun d'être taxé de complotiste d'extrême droite, voir par exemple d'avoir critiqué la cérémonie d'ouverture des jeux de Paris... Ne serait-ce-t-il pas plutôt un mélange d'ignorance entre le rejet de l'étranger cet inconnu supposé se comporter de manière incompréhensible et un ras-le-bol de situations iniques ne changeant pas et même se dégradant ; ces deux sentiments alimentés par un autre sentiment de ne plus être chez soi et de subir le grand remplacement. Additionnons le tamtam médiatique qui en fait ses choux gras et tout cet amalgame crée des boucs émissaires et des têtes de turcs. En ce qui concerne l'Angleterre, le silence des élites à la suite de nombreux crimes dus à des immigrants n'a fait qu'alimenter une haine rampante, et la non-dénonciation des médias n'a fait que creuser l'abime entre ceux qui peuvent s'exprimer publiquement et la masse silencieuse qui n'a pas accès aux micros. Les autorités françaises ne devraient-elles pas en prendre de la graine ? Car ce qui est en train d'exploser outre Manche mijote à grand feu chez nous, d'où le succès électoral de Bardella & Co.

Vidéo : Pourquoi personne ne parle de l'attaque de Southport ?

https://www.youtube.com/watch?v=z2uP-LdtdmQ


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