Chapitre 20
Le sort de l’espèce humaine entre les mains de progressistes faisant fi de la Planète et de la postérité
B – La Covid-19 est un frankenvirus à n’en pas douter
Rappelons que ces laboratoires peu sécurisés ne bénéficient pas du contrôle drastique des contrôleurs sur le commerce des armes et/ou des instituts de veille sanitaire ou de contrôle des médicaments, puis des ONG comme Amnesty International, en regard des conformités exigées par la CAB (Convention sur les armes bactériologiques) biologiques ou à toxine (CABT). Quant aux régions reculées du globe, les implantations de laboratoires de recherche, qui se perdent dans le no man’s land du droit international, ne sauraient répondre d’une visibilité honnête et d’une vigilance à hauteur des risques. L’argent sert aussi à cela, comme à corrompre les dirigeants des pays les moins favorisés, afin de permettre à des centres de recherche fondamentale l’expérimentation en grandeur réelle des trouvailles les plus glauques et susceptibles d’exploitation pharmaceutique. On y trouve des cobayes à bon marché, le commerce d’organes humains tel le rein prélevé sur des gens faméliques, puis le trafic d’animaux de laboratoire.
Ce n’est certes pas dans ce contexte aléatoire que professe la célèbre virologue Shi Zhengli, sur les virus à risque comme la grippe MERS et SRAS, co-découvreuse du SARS-CoV-2. Quoique exerçant dans un pays où le communisme pur et dur demeure un bastion impénétrable, la communauté scientifiques et les intérêts politiques et industriels font souvent cause commune avec des lobbies du Big-Pharma, lesquels amassent des profits colossaux après chaque épidémie provenant de virus issus de laboratoires politiquement plus étanches aux contrôles ad hoc. Cela explique pourquoi la RDC n’a jamais été inquiétée pour avoir moult fois été le siège géographique d’un contingent fort et suspect des départs d’infections épidémiques dans le monde. La Chine est peu concernée par le principe de non-prolifération des armes nucléaires et bactériologiques, dont la recherche dite médicale ne devrait pas s’y soustraire depuis les accords de 1968.
Auteur d’une étude traitant de la première maladie « X », une piste ethnocidaire fut conjecturée par l’éminente Shi Zhengli sur une hypothétique pandémie « clade X », risquant d’inhiber le génome de l’espèce humaine sur Terre. Suffisamment convaincue sur le danger équivoque de ce germe candidat, parmi les mutants hybrides manufacturés en laboratoire, l’OMS classifia la chose sur la liste d’une dizaine de maladies prioritaires à l’échelle internationale, dans le cadre de la recherche et développement (R & D). Cette conjecture prend sa source sur une thèse soutenue dans la confidentialité à l’Université Johns-Hopkins à Baltimore. Ces chimères qui muent puis s’insinuent en zoonoses, peuvent aussi servir de funestes desseins comme d’armes bactériologiques, dont les frankenvirus qui peuvent en résulter ; d’où le sérieux de la prédiction autour de cette sommité chinoise (Source partielle : Science & Vie n° 1266, mars 2023, p. 66 à 82, « La fabrique des monstres – Virus modifiés en labo » par Coralie Hancok ; avec les témoignages de Gregory Koblentz, directeur du programme de biodéfense à l’Université Georges-Mason aux États-Unis, ainsi que de Sylvain Baize, Directeur du Centre national des fièvres hémorragiques à l’Institut Pasteur/Inserm).
Après le SARS-CoV-2, et sa multitudes de mutations aux variables hellénisées de l’alpha à omicron et autres lignées graphiques à la genèse de ce virion, l’invention thématique du « variant » contribue à justifier, donc à renouveler des vaccins répétés et rapprochés jusqu’à ad vitam æternam ; des vaccins forcément inefficaces eu égard auxdits résultats négatifs que subodore cette répétition rapprochée d’injections. Pour masquer cette incurie, les industriels pharmaceutiques et leurs compères politiques, qui ont enrégimenté des colonies de soignants soudoyés, s’évertuent à faire croire qu’il s’agit à chaque fois d’un nouvel agent pathogène, alors qu’il est reconnu par les virologues la normalité de pareilles mutations virales, que favorisent précisément ces vaccins à répétition.
De fait, parce que le virus est un organisme vivant, il cherchera indéfiniment à se reconstituer et à rebondir pour survivre sous une nouvelle carapace. Ainsi en va-t-il de tous les micro-organismes, mais aussi des rats d’égout (rat brun dit rat des villes et autres taxons communs), lesquels développent des anticorps contre des poisons déposés comme appât, mais dont l’espèce subsistera à chacune des nouvelles formules raticides. Voilà bien une analogie avec l’espèce humaine, d’où les vaccins-Covid exploratoires. Cette prétendue prophylaxie profita à nombre de variants qui se succèdent au fil des mutations pour la survie des virions qui ainsi s’auto-protègent, et qui font un pied de nez aux chercheurs ; sauf si cette course contre les mutations virales est le fruit productifs de dividendes et de bakchichs entre la cupidité de l’industrie du Big Pharma, et la corruption qui colle à la machine élective de nos élus politiques !
De sorte que la multitude des injections et les doses trop rapprochées, dites de rappel et de nouvelles formules, prouvent qu’il ne s’agit pas d’une volonté de la puissance publique de soigner les populations, mais de les rendre dépendants, fragiles, psychiquement accrochés de cette drogue déclarée prophylactique. Or, cette addiction induite, liée à l’hypocondrie, est conditionnée par leur frayeur ; une psychose collective qu’entretiennent les milices politiques corrompues par les firmes du Big Pharma, pour faire accepter aux plus vulnérables, un poison qui entretiendra et prolongera l’infection en facilitant le développement de l’agent pathogène. Tout en altérant le système immunitaire du sur-vacciné à doses itératives, celui-ci développera des maladies opportunistes ; une hécatombe selon EudraVigilance, d’où27 lésions de graves à très graves jusqu’à mortelles répertoriées par European Medicines Agency fin juillet 2021 (Voir p. 150 à 152, « Covid – La poule aux œufs d’or », éd. Observatoire du Mensonge).
Oui mais… le public aura finalement opposé un doute, voire regimbe devant cette campagne vaccinale contre ce coronavirus jamais éradiqué et toujours aussi contaminant, et même bien davantage avec le vaccin. C’est alors que le lobbying de ce marketing médical a changé de stratégie fin 2022, en annonçant un super-variant : Arcturus (XBB) du SARS-CoV-2. Cependant, cette énième tentative anxiolytique aura échoué, car ce frankenvirus n’aura pas bénéficié de l’impact paranoïde souhaité. Ce sorte que, bizarrement, le monstre sera mort-né. Mais les industriels persistent, et par la voix de l’OMS, une hyper-maladie est annoncée avec alerte et fracas, en l’associant aux neuf agents pathogènes prioritaires connus. Qualifié d’émergent, bien que même pas encore sorti des éprouvettes, ce frankenvirus gestant sera assorti de son futur vaccin simultané, puisque déjà auguré, vu que de colossaux bénéfices attendent au bout de cette chaîne de corruption !
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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