Chapitre 22
Le sort de l’espèce humaine entre les mains de progressistes faisant fi de la Planète et de la postérité
C – Entre métadonnée et phéromone, l’étiologie du gène humain se partage en deux allèles : la robotique et le termite
a) Renseignement et surveillance : les deux mamelles de l’inquisition oligarchique
À l’insécurité numérique qui se propage sur les écrans, s’y ajoute l’insécurité physique, là où l’esprit et le corps sont devenus les otages des agressions de toute nature. Les déferlantes migratoires depuis l’islam sont devenues bien plus qu’une préoccupation, car elles se traduisent par une guerre de civilisation entre les émeutes, les violences misogynes et le terrorisme islamique, où nous y retrouvons tous les ingrédients de l’intolérance au nom d’un culte non miscible, car réfractaire au droit positif du pays d’accueil. Depuis 2012 puis 2017, la France subit, outre les outrages de l’islam, mais le pays se heurte à l’intensification d’une destruction des valeurs sociales par un chef d’État antipatriotique ; rejoignant les actions anti-françaises des islamistes inassimilables et racistes. À ce déni politique des causes et des responsabilités, s’y ajoute le harcèlement des Français qui se rebellent contre cette agression exogène, par des campagnes de dénigrement contre des citoyens qui s’expriment dans la presse libre, pour dénoncer les exactions de ce culte prédateur et intolérant. Ici, l’insécurité numérique piège le droit d’expression.
Pour se dédouaner du désastre de sa politique d’immigration, Emmanuel Macron n’a de cesse que de renforcer les pôles de surveillance erga omnes, derrière l’oreille furtive d’un État interventionniste, mais aussi par l’œilleton scrutateur et indiscret des objectifs (système à reconnaissance facial [Deepface], biométrie et robotique). Pourquoi cette association entre le numérique et les violences d’un culte antinomique à son l’intégration ? Pour que l’État-Macron s’autorise le droit de violer les données privées des Français, au motif de débusquer les activistes mahométans qui lui servent d’alibi. Ô paradoxe, c’est précisément les communautés islamistes, sous la fronde terroriste des Frères musulmans, que le pouvoir régalien fait venir en masse sur le territoire, qui lui servent d’alibi pour justifier sa politique d’inquisition globale !
L’acceptation de ces espions invisibles – l’œil exercé du pouvoir régalien – trouve sa légitimation à la faveur du terrorisme et autres mobiles de délinquance à caractère pénal, telles les émeutes insurrectionnelles qui flambent dans les cité arabophones. Car c’est dans ce no man’s land communautaire que s’exerce le commerce du proxénétisme, de la drogue et des armes, outre les écoles du crime, dans les classes, les caves et les mosquées que développe l’imânat. Sans doute s’agit-il là d’une opportunité pour l’oligarchie de cibler et traquer le prospect en ligne et fouiller tous les recoins de sa vie privée. L’informatique exécute en quelque sorte le travail du policier, mais aussi sous cette couverture, le fichage de données recueillies sur l’ensemble du territoire que couvrent les enquêtes mercantiles, politiques, fiscales, sociales et sanitaires.
Des bases de données, ordonnancées à chacune de ces facettes que décortiquent des logarithmes ad hoc, autorise le Gouvernement à surveiller chaque mouvement et initiative des citoyens sur le territoire. Ce pourquoi le terrorisme est devenu l’allié du pouvoir régalien, en ce sens où l’un justifie l’autre. De sorte que plus le grenier de l’immigration musulmane se rempli, plus se justifient les moyens d’emprisonner toutes les populations dans la nasse d’une surveillance plus resserrée. La robotique, l’IA et la 5G croisent en faisceau les moyens d’investigation sur l’ensemble du territoire, sans avoir à discerner le grain de l’ivraie.
Autrement dit, les ressortissants nationaux demeurent conditionnés au mobile d’une sécurité que l’État interventionniste voudrait laisser entendre providentielle. Rappelons que le Président François Mitterrand avait négocié la paix avec des terroristes de la rue des Rosiers, pour prétendument séculariser la France ! (V. p. 162, « Emmanuel Macron – une anomalie présidentielle », éd. L’Observatoire du Mensonge). Par ce jeu de félonie et de lâcheté, les Français du terroir sont doublement l’otage des activistes islamiques et de leur gouvernement qui les menacent et les harcèlent dès l’évocation des agressions perpétrées par des réfugiés musulmans. Ici, le racisme ne saurait être imputé aux agresseurs islamiques, derechef jugés déséquilibrés et/ou drogués, donc irresponsables, mais incriminable aux Français de souche* ; car même cette expression* est prohibée dans le langage de la convenance. La glottophobie est une discrimination linguistique qui s’inscrit dans des contextes d’inégalité sociale ou ethnique ; une diglossie ou de conflit jugée discriminatoire, selon l’analyse sociolinguistique !
Plus récemment la législation française autorise le survol des drones pour couvrir les manifestations publiques. En toile de fond, il ne s’agit pas d’identifier les seuls agitateurs, casseurs et pyromanes déferlant en hordes sauvages depuis les cités périurbaines, mais d’y répertorier les protagonistes opposants au régime. La finalité de ces incursions aériennes de repérage consiste à reconnaître et ficher les leaders de ces mouvements de nationaux dans la rue, et a posteriori de les sanctionner sur leur support informatique par des voies détournées. Ces frappes malignes consistent à pirater leurs données, injecter des virus en ligne et la suppression d’accès ou d’annonceurs par des entités de droit privé mandatées par des AAP ou des autorités de régulation au service du Gouvernement, si ce n’est directement depuis Matignon ou de l’Élysée.
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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