Magazine Humeur

Polémique autour des inhibiteurs du cholestérol

Publié le 03 octobre 2024 par Observatoiredumensonge

et autres précurseurs prophylactiques

En six parties

Sommaire
1°) Recadrage des réalités géopolitiques autour du profit et de l’autorité des élus
2°) Quand un médicament devient plus nocif que bénéfique
3°) Plutôt que s’attaquer au problème, la bien-pensance assaille les contradicteurs
4°) Le point sur les marqueurs
5°) Les controverses ne sont pas polémiques, car elles se doivent d’être constructive et non sombrer dans les miasmes de la corruption ou de l’entêtement
6°) Le circuit de la persuasion depuis le corps politique qui déteint sur le corps médical

°°°

Première partie

1°) Recadrage des réalités géopolitiques autour du profit et de l’autorité des élus

Il existe, de par le monde, des puissances occultes qui procèdent à la destinée de l’humanité. Cela n’est pas un scoop sorti de l’imaginaire, ni une révélation aux allures conspirationnistes, mais une discrète réalité qui se glisse dans les draps de l’indifférence collective. L’avoir et le pouvoir en sont pourtant les deux mamelles qui alimentent subrepticement nos sociétés d’Occident en Orient, entre mondialisme et collectivisme. Dans cette analyse, nous nous pencherons seulement sur l’influence et le pouvoir des laboratoires pharmaceutiques, avec leurs centres de recherche occultes et mystérieux (Pathogènes de classe 4* ou biosafety level), où les seconds apportent la substance du profit aux premiers, sachant que les uns comme les autres sont solidaires dans le lobbying industriel et financier au sein du Big Pharma.

Ce spectre tentaculaire n’est certes pas tout seul à fonctionner dans l’ombre des affaires, car d’autres ramifications y cohabitent comme la secte World Economic Forum, sise à Cologny chez les Helvètes. Cette coterie esthabitée par une escouade de multimilliardaires, dont la confrérie détient ± 40 % des richesses mondiales d’Est et Ouest du Globe. Ces marionnettistes sont, pour la plupart, à la tête des méga-industries transcontinentales, dont les GAFAM. Le tout fonctionne avec les rouages de sociétés financières extraterritoriales (offshore). Ces paradis fiscaux se tiennent à l’abris des indiscrétions et de la justice des nations, où la corruption, sous toutes ses formes, se propage et s’introduit à chaque étage des commandements aux exécutants. Les sphères décisionnelles et technocratiques, d’obédience politique, interagissent selon les instructions d’un pouvoir extrapolé ; hors des champs de compétence des nations constitutionnalisées et souveraines, autrement dit, hors du droit positif interne des États constitués (résolutions et directives supranationales, soft law…).

La démocratie se fait virtuelle et ne subsiste plus que dans les livres d’histoire, comme il en va de la justice des hommes, de la liberté d’expression, de la presse et de l’information manipulée. Nous avons vécu, sous l’empire d’une vaste conjuration autour du Covid, que même disposer de son corps était subordonné à des tests et des injections obligés, en violation de l’article 16 du Code civil qui autorise le refus de médicaments, donc des vaccins (article L. 1111-3 et suivants du CSP, loi HPST n° 2009-879 du 21 juillet 2009) ? À l’appui du droit interne, des textes supranationaux qui prohibent sans réserve les droits nationaux, la société démocratique y a perdu ses fondements que garantissaient jadis l’immuabilité de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.

Quant aux prescriptions de molécules à des fins médicales, jadis le pré carré des médecins, la déontologie corporative aura subrepticement laissé place aux intérêts normatifs qu’impose le monde politique à la remorque des multinationales de la santé. Le chef d’État français aura ainsi vendu la France au business du Big Pharma. Derrière les coulisses de ce pouvoir centrifuge, l’objectif obscur d’un ordre nouveau résurgent projette de tisser un mondialisme sociétal arachnéen ; une ruche d’insectes sociaux victime des mêmes pratiques que le collectivisme réducteur du socialisme. Dans ce nouveau monde « 4.0 », il s’y fabrique des instruments de surveillance numérique et de contrôle pixellisés ciblant des populations misent en boîte, en l’occurrence pucées d’espions à l’aide d’écrans digitalisés, puis par des caméras intelligentes (IA) relayées par des milliers de pico ou nanosatellites géostationnaires. Sans s’égarer, l’aiguillon qui permet l’épanouissement de ce filet inquisiteur et liberticide, est du même calibre que l’arme fatale des dictatures : la contrainte par la dissuasion et la peur, la phobie et l’hypocondrie devant un mal supputé.

C’est donc par ce cheminement subreptice que le Big Pharma conditionne les citoyens du monde rattrapés par une psychose inconditionnelle, à accepter de se faire vacciner à l’aide d’expérimentations, car délestées d’AMM, tels des rats de laboratoire, contre des frankenvirus que ses propres laborantins fabriquent en marge de la justice dans les enceintes « P4* ». La géographie reculée de no man’s land, aux pays du non-droit, ne saurait s’ouvrir aux contrôles des autorités de vigilance (ANSM, EMA…). Or c’est précisément là que s’assemblent des patchworks viraux issus de la main de l’homme, producteurs en suivant d’une prophylaxie dédiée, injectée à haute dose de profits au nom de la salubrité publique. Il en fut ainsi avec le frankenvirus SARS-CoV-2 (Covid-19), mais aussi des molécules particulièrement dangereuses, telles les statines pour prolonger la vie de ceux là-mêmes qui la raccourcissent de l’autre main, avec les produits agroalimentaires industriels, chargés de précurseurs délétères pour le système cardiovasculaire des consommateurs (triglycérides, cholestérol HDL).

Ce cheminement indicible expose l’existence des populations candides, car subornées, aux appétences cupides et aux ambitions politiques mortifères d’une poignée de gens de pouvoir. Par le truchement d’ingrédients alimentaires toxiques, mais hautement productifs de dividendes et de gratifications occultes ; tout cela dans un climat anxiogène pour convaincre et asservir, le monde y perd tout repère juridique et moral. Et c’est à cet endroit que les « statines » entrent en scène. En réponse à cette agression moléculaire, les professeurs Bernard Debré (Urologue et homme politique) et Philippe Even (Pneumologue, biochimiste, physicien par ailleurs au CEA et président de l’institut Necker), ont soutenu en 2012, le droit à tout un chacun d’accéder à une information exhaustive sur la réalité des traitements sanitaires. C’est ainsi que fut annoncé, dans le « Guide des 4 000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux » (voir infra, § 3°),que les statines sont un médicament sans utilité dans la plupart des cas.

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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