Une nouveauté dans le dessin du jour, aujourd’hui, publication d’un artiste à titre posthume, José Galvan.
Il est né en 1910 à ASPE (Province d’ALICANTE - Espagne) décédé le 25 août 2001 à BENIDORM (Espagne).
A l’âge de 19 ans, il est allé habiter à ALCOY (Espagne) et travaille dans une école industrielle où il dessine des copies. Là, ses Professeurs remarquent son travail et le dirigent dans la section ” dessin d’après nature “. Après la guerre civile, il suit des cours du soir à BARCELONE (école REAL CIRCULO ARTISTICO).Il peint alors des modèles vivants. Il expose des nus, des portraits et des paysages à BARCELONE, PERPIGNAN (1959-1960) et à MONTPELLIER. GALVAN s’installe à PARIS en 1962 et expose au Salon de l’Art libre. Au Grand Palais, il est présent à l’exposition des peintres espagnols de PARIS, organisée par les Ministères de la Culture de France et d’Espagne. A MONTMARTRE, il participe aux manifestations de la Mairie du XVIIIe et montre ses oeuvres dans la salle paroissiale de l’église Saint-Pierre.
La biographie du peintre espagnol José GALVAN figure dans le DICTIONNAIRE DES PEINTRES A MONTMARTRE (1999) - Editions André ROUSSARD - 13, rue du Mont Cenis 75018 PARIS FRANCE.
Nous remercions Lucien VILAR, Délégué régional du Syndicat des Journalistes et Ecrivains à PERPIGNAN, ainsi que “la Butte Montmartre” pour leurs accords de diffusion.
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Le mot de Lucien Vilar :
“GALVAN est un maître, son art plein de noblesse et de virtuosité à laquelle nous ne sommes guère habitués de nos jours nous laisse un regret : c’est celui de ne pas voir davantage notre jeunesse s’adonner au dessin et à la peinture avec cet amour, cette patience qui transfigurerait leur vie et partant la notre.
Comme il est bon dans la vie laide et agitée de nos bruyantes villes de trouver un havre où le calme et la magie de la couleur nous permettent de communier quelques instants avec l’expression du beau. Souhaitons que la valeur éternelle de l’esprit et de l’art continue à briller au-dessus des foules et remercions l’artiste peintre GALVAN de maintenir bien haut le flambeau de Prométhée. ”