Un vaccin dans chaque bras. Vacciner contre la grippe saisonnière et se prendre en prime le monovalent à ARN messager Comirnaty JN1 de Pfizer/BioNTech. Et après ça, les autorités médicales ne comprennent pas que cinquante pour cent des gens sont méfiants et ne vont pas se faire vacciner. Particulièrement les seniors, qui se souviennent des ravages et de l'inefficacité des sérums de chez Pfizer pendant le Covid, mais par contre n'oublient pas la triste efficacité du Rivotril... [i]Pourquoi faire ce 1 + 1 ? Personne, à part les niais, ne croit plus au baratin des médias, de l'OMS, de la Haute Autorité de santé, du ministère et de son ministre, car ces autorités dans l'inconscient collectif sont trop associées à la mascarade privative de libertés de décider pour soi de la COVID-19 ! Pas assez d'années ont passé pour que l'idiot/patient utile n'oublie. La confiance dans les médecins est à son plus bas, due au fait de sa complicité avec le pouvoir pendant la crise qui a duré trois ans, bouleversée les vies, laissées mourir certains, maltraiter les personnes âgées dans les HEPAD, torturés les petits enfants avec les masques à l'école, l'obligation pour les soignants de se faire shooter avec un vaccin non agréé et les QR codes démoniaques pour accéder à une malheureuse terrace de café. Toutes ces " dérives " ne sont pas oubliées et devraient être présentées devant une cour de justice, afin que tous les coupables soient punis, ce qui permettrait certainement de faire remonter la courbe d'optimisme en la médecine. Pourtant, le Gouv Macron tente bien de les cacher sous le tapis et de les recycler afin qu'on les oublie, les Véran, Salomon, Hirsch, Buzyn et Castex pour ne citer que les plus nuisibles ; leurs binettes sont tellement associées à cette mascarade que n'importe quel quidam se braque en entendant prononcer les mots COVID 19 - Pfizer - Bourla - von Leyen !
campagne de vaccination controversée contre la pandémie de grippe H1N1 de 2009, avec la Bachelot, commandant à tour de bras des vaccins qui lui sont restés sur les bras... Et que nous avons payé à prix d'or. Depuis lors, le taux de vaccinés des 65 - 75 ans reste d'un sur deux. Moins de la moitié (45,9%) des personnes de cette tranche d'âge déclaraient s'être fait vacciner contre la grippe lors de l'hiver 2015-2016. [ii]50,7% se sont fait piquer, et surtout moins de 15% pour les 18-45 ans. L'objectif de l'OMS étant de 75%, faites les comptes. [iii] Les piquouses n'ont pas la cote et cette tendance ne tombe pas du ciel, mais est due à ce que depuis 2019, tout a été fait pour que le public perde confiance en ses médecins, ses politiques, ses chercheurs et ne sait plus à quel saint se vouer... Entre le confinement de mars 2020 et on va dire 2023, les terriens du commun, notamment ceux des pays développés, ont été tant soumis à un matraquage contradictoire, qu'il s'est inscrit dans tous les esprits : vaccination = danger. Et ce n'est pas demain que ça va changer !
Quant au vaccin anti Covid associé, il a prouvé ses " qualités " perlimpinpin récentes pour que le doute soit bien ancré. L'efficacité du vaccin contre la grippe est variable selon les années. Elle est mesurée en fin de saison grippale par une étude européenne à laquelle la France participe. Les premières données pour la saison 2023-2024 ont estimé l'efficacité contre les virus de type A à 51%, tous âges confondus. [iv] Donc, au final, c'est à vous de décider seul si vous devez aller chez le pharmacien vous faire piquer un bras ou les deux. Dans un monde dans lequel tout se grippe et tourne carré, où la santé devrait être une affaire de santé publique et d'état, comment avoir confiance en un système livré aux intérêts privés des labos, de leurs actionnaires, des fonds d'investissements et d'une oligarchie qui, on le sait maintenant n'aura aucun remord à envoyer tout le monde (sauf elle) ad patres... Cornélien, pensez-vous ?