Polémique autour des inhibiteurs du cholestérol 5

Publié le 31 octobre 2024 par Observatoiredumensonge

et autres précurseurs prophylactiques

En six parties

Sommaire
1°) Recadrage des réalités géopolitiques autour du profit et de l’autorité des élus
2°) Quand un médicament devient plus nocif que bénéfique
3°) Plutôt que s’attaquer au problème, la bien-pensance assaille les contradicteurs
4°) Le point sur les marqueurs
5°) Les controverses ne sont pas polémiques, car elles se doivent d’être constructive et non sombrer dans les miasmes de la corruption ou de l’entêtement
6°) Le circuit de la persuasion depuis le corps politique qui déteint sur le corps médical

°°°

Partie 5

5°) Les controverses ne sont pas polémiques, car elles se doivent d’être constructive et non sombrer dans les miasmes de la corruption ou de l’entêtement

De brûlantes controverses fusent depuis les continents de chaque côté de l’Atlantique, laissant apparaître que le plancher qui détermine une posologique de statines serait beaucoup trop bas pour les uns, ou trop élevé pour les autres. Ce qui explique pourquoi le lobbying du Big Pharma persiste à inciter les politiques médicales vers des prescriptions préventives, aux fins de pallier à cette divergence sur le diagnostic, sinon pour excuser la précocité et le foisonnement des traitements aux inhibants HMG-CoA réductase, autrement dit les statines. À la faveur de cette exagération comptable et pragmatique excessive, sous couvert d’études cliniques diffusées dans le monde médical, le commerce de cette molécule fait recette. Ici, redoutons les débordements, sinon la corruption sanitaire ; d’où un mercantilisme qui prendrait le pas sur la déontologie médicale ; car tel fut le cas avec les vaccins à vecteur génique contre le Covid-19.

Dès lors que des royalties pour le corps politique, ou des cadeaux en nature au profit du monde des praticiens, fusent depuis les laboratoires médicaux, la santé publique échappe aux priorités nationales entre gens de pouvoir et d’avoir.Il s’agit notamment de la remise en cause de l’efficacité de la méthode entre autres, que le chercheur-expert Peter Doshi, de l’Université de Maryland, Pfizer remet sérieusement en cause. Rappelons pour la petite histoire que le géant Pfizer n’est pas un philanthrope, mais une méga-usine à engranger d’énormes profits redistribués en dividendes, commissions occultes et bakchichs. Cette multinationale sait user de sa prééminence oligopolistique exorbitante, puisqu’elle persiste sereinement à suivre cette stratégie dévoyée sur la même voie et en toute impunité, même après avoir été maintes fois condamnée, ainsi en 2016 par le Royaume-Uni à payer 107 millions de $ US pour avoir majoré de 2 600 % le prix de son vaccin antiépileptique (Epanutin).

Précédemment, la même industrie Pfizer fut déjà condamnée à une amende record de 2,3 milliards de dollars en 2009 aux États-Unis, je cite, « Pour avoir corrompu des médecins afin qu’ils prescrivent des médicaments surdosés ou à contre-emploi ». En dépit de cette réputation nauséabonde, les laboratoires Pfizer furent choisis par la Présidente de la Commission européenne* pour délivrer aux citoyens de l’Union, ± 80 % des vaccins Covid à vecteur génique parmi d’autres fournisseurs en lice (à Arn et à adénovirus). Entre concussion, népotisme, favoritisme, non-respect des procédures de marchés publics et abus de position dominante, Ursula von der Leyen* ne manqua aucune étape de cette corruption subcontinentale, solidement épaulée par les dauphins des social-démocraties européennes, dont la Présidence française en la personne d’Emmanuel Macron.

En abaissant le curseur de lhypercholestérolémie ou de l’hyperlipidémie combinée (LDL/triglycérides) au plus bas, il se trame, dans les coulisses du pouvoir, un mercantilisme médical à grande échelle sur la santé des patients, toujours sous le prétexte fallacieux de se préoccuper de la santé du public ; cela dans un élan de propagande sur fond d’altruisme dédouanant, autant qu’il convainc. La surdose injustifiable de statines prescrites à vie, quoiqu’inutilement, au motif d’un atavisme familial, induit une assuétude psychique, dès lors que ce traitement de fond se prétend vital. Le paquetage des molécules prescrites aux personnes âgées déjà habituellement chargé, ne mérite pas qu’il s’y ajoute une prétendue prévention anticholestérol au-delà de 76 ans, sachant que les contrindications et les effets délétères susmentionnés compromettent fatalement le résultat en termes de bénéfice-risque.

Est-il besoin de rappeler la gabegie financière et la corruption criminelle orchestrées autour du virus SARS-CoV-2 (dit Covid-19), où le virion fut fabriqué par la main de l’homme depuis plusieurs laboratoires d’Amérique en Asie via l’Europe ? Puis se greffa à ce frankenvirus pandémique des vaccins suspects, car lâchés quasi-simultanément partout sur la planète. Quant aux statines, elles préludèrent ce marché juteux, dont les premières expérimentations avec placebos remontent à 1978, après la découverte du champignon Penicillium citrinum (dit compactine)par le Japonais Akira Endo. Pourtant déjà à cette époque, des effets secondaires tragiques apparurent spontanément après l’ingestion de cet anticholestérol. À la faveur de cette corruption en chaîne fomentée à partir de molécules en éprouvette, des fortunes pyramidales se thésaurisèrent de façon conglomérale, entre les laboratoires, les banques et les acteurs politiques complices de cette gabegie.

L’overdose des vaccins, comme il en va des molécules médicales, résulte de l’acharnement des industries pharmaceutiques à commercer, via les gouvernements nationaux, via la Commission européenne dans l’Union, vers un public de masse, et en quantités exorbitantes avec des doses vaccinales multiples, puis encore en direction de la clientèle des bébés. La collecte de cette manne est élargie à son plafond rehaussé de prospects, avec des assemblages aventureux de vaccins dans une seule seringue, sans préoccupation quant aux risques encourus par de nouvelles manipulations géniques. De surcroît, depuis le 11 janvier 2007, le vaccin BCG revient en force, car fortement recommandé pour les enfants les plus à risque. Puis, bien que facultatifs, les vaccins contre la varicelle (Varivax®), et contre le rotavirus responsable de gastro-entérites pour le nourrisson de 6 mois (Rotarix®), et à présent contre le SARS-CoV-2.

D’explication suspecte, la vaccination obligatoire du DTP (diphtérie-tétanos-poliomyélite) jusqu’ici pris en charge par la Sécurité sociale en France, demeure désormais introuvable en officine, car cette inoculation déjà associée fut élargie à celle de la coqueluche, la méningite et l’hépatite B. Des enfants en sont décédés de mort subite. En condamnant les parents à laisser piquer leur progéniture avec une combinaison de six vaccins au lieu de trois, cette surdose rappelle la TABDT infligée d’office il y a ½ siècle aux militaires (Typhoïde A et B, diphtérie, tétanos). Ce procédé que draine le mercantilisme acharné du Big Pharma s’apparente à une vente forcée, sachant que ces injections, pour prévenir six maladies au lieu de trois, coûte aux couvertures sociales cinq fois plus cher. Soulignons que ces assurances sont payées par leurs cotisants. Au plus fort de ce scandale, la Société GSK, qui s’arrangea une situation oligopolistique pour les primo-vaccinés, avec la complicité de l’État, perçoit des royalties de ses concurrents pour exploiter des droits sur les brevets rachetés.

La société GlaxSmithKline (GSK), une industrie pharmaceutique transnationale qui regroupa deux laboratoires de l’UK à l’aube du XXIème, avait acheté tous les brevets de l’hépatite B, devenant un monopole pour l’une des composantes du vaccin DTP préempté + coqueluche, méningite et hépatite B insécables. Les enfants ne peuvent échapper à cette panoplie de seringues, à peine d’être interdits d’activités ou de placement en crèche, puis encore des parents privés d’allocations en cas de refus. De sorte qu’en regroupant 6 vaccins dans une seringue pour seulement 3 vaccins obligatoires (DTP) dont 3 facultatifs mais rendus obligés, la Société GSK devient leader dans ce périmètre prophylactique : « C’est comme ça que la Société s’est créée et est devenue success ful », se venta Jean Stephenne en juin 2012, ancien dirigeant de la branche vaccin du consortium (Source : Envoyé spécial : « se soigner à quel prix », 11 février 2016). Quid de ce qu’il reste de sanitaire et social du domaine public, ainsi de jure et facto privatisée ?

Comprenons que dans l’acronyme COSV (Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale), se glisse innocemment le vocable « stratégie » qui laisse transpirer une préséance marchande sous le prétexte de la santé publique. Sans entacher les vertus de la vaccination, eu égard à la mémoire d’Edward Jenner et de Louis Pasteur, la profusion de vaccins, dont les palettes s’étendent au rythme des virus émergeants, un grand nombre de ces hybrides se fabrique en laboratoire, ainsi : le virus de la poliomyélite reconstruit par la génétique en 2002 ; en 2012 apparut le virus bovin Schmallenberg hautement pathogène ; H5N1 et H1N1 en 2013 ; le SARS 2.0 ultrarésistant hybridé du SRAS 2003, d’où la chimère [CoVSHC014] émergea fin 2019 la Covid-19 ; un orthopoxvirus de la variole en 2017. Puis viennent d’autres vaccins assortis de virus tueurs de bactéries (2018), dont certains non-identifiés recèlent d’objectifs inavouables car s’inscrivant en filigrane : une parade contre la guerre bactériologique.

Quant à Ébola, apparu mystérieusement entre 2014/2015 en Afrique, il ne fut pas l’œuvre du Saint-Esprit, plutôt celle d’un bioterrorisme en embuscade ; pas plus que le VIH-1 décelé mi-1981 aux USA ! Soyons lucide, si les vaccins ne sont pas des remèdes médicamenteux, autrement-dit ni des thérapies ni des antidotes, à quoi servent-ils sinon à prévenir une infection, puis en aval pour produire des antitoxines encore plus juteuses pour le Big Pharma ? En concevant et en commercialisant des vaccins au mobile sanitaire, dans une autre réalité moins visible, ces milliards de doses sont produits comme vecteurs de prévarication. L’industrie et la finance en font des objets de profit outrancier, jusqu’à mettre en danger les populations. Ici, la statine, sous l’enseigne vertueuse d’un médicament, entre dans cette légion précurseurs de gains.

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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