Hier dimanche, nous touchions un Royaume avec la solennité de la fête du Christ Roi. Alors avant de retoucher terre comme dans tous lendemains de fête, comment conserver cette grâce offerte par la solennité ?
Pourtant, les bancs de l'église inhabituellement aussi vides étaient de nature à perturber cette fête, et rendre inquiets les présents. Ma voisine se lamentant de cet état de fait, je n'ai pas eu le temps de lui souffler à l'oreille, que pour nous les citadins, les 25 à 30 centimètres de neige surgis brutalement en tempête trois jours avant, ayant quitté notre bitume, il n'en était pas de même dans notre campagne environnante où parfois fut aussi couper le courant. Mais le prêtre est là et les servants d'autel et la chorale, et l'organiste et les fidèles heureux d'avoir bravé ce vent mauvais qui continuait de sévir avec une force rendant la marche difficile.
Et c'est peut être cela qui nous rendit encore plus participants, réceptifs, heureux en effet de célébrer notre Roi, notre Christ Roi, qui nous a promis un royaume et toute le miséricorde de son Sacré-Cœur pour y parvenir.