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Inauguration, à Notre-Dame, entachée de suspicion d’attentat
L’incendie de Notre-Dame résulte possiblement d’un attentat islamique que ne pouvait pas écarter d’office l’État-major de l’Élysée, devant le nombre de vandalismes et d’incendies perpétrés sur des édifices chrétiens en France, dont précisément après une tentative d’explosion au gaz sur Notre-Dame de Paris trois années auparavant par des femmes en burqa, ainsi vu plus bas. Si l’enquête diligentée dans le silence complice du corps politique de la Chancellerie, des pompiers puis des services de la police judiciaire du quai d’Orsay, tous aux ordres de l’Exécutif, avait abouti à cette vraisemblance étayée des faits d’actualité, la révélation d’un attentat criminel aurait mis à mal la politique d’immigration islamique emmenée en France par Emmanuel Macron. Voici un article d’investigation qui fut publié dans le média L’Observatoire du Mensonge, dont le contenu du texte fut inséré dans l’ouvrage publié par ce même éditeur alternatif d’information libre, le 2 septembre 2019, p. 94 à 96, sous le titre « Et la laïcité ? Bordel ! ».
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La tragédie qui enflamma autant la Cathédrale de Paris que les débats sur le financement de la reconstruction de Notre-Dame, occulta bizarrement les préliminaires de l’instruction secrètement menée sur les responsables présumés de l’incendie, lequel dévasta une partie de l’édifice le 15 avril 2019. Ce silence assourdissant, où les médias ne se préoccupent nullement de la procédure d’enquête dont l’accès aux résultats leurs sont interdits, tel un secret-défense, prouve si besoin était, la collusion politico-judiciaire autour du couvercle hermétique d’un silence inquiétant, dès lors que l’islam, lorsque ce culte est impliqué, ne doit pas être cité, sinon flouté au nom du « calmer-le-jeu ». Pour en savoir davantage, après examen des probabilités peu crédibles d’accident ou de négligence, il serait judicieux d’examiner les tentatives de destruction terroristes qui furent dénombrées récemment sur de tels bâtiments prestigieux de l’histoire féodale en France.
Précisément, Notre-Dame de Paris fut déjà l’objet, dans la nuit du 4 au 5 septembre 2016, d’une tentative d’attentat à la bombe piégée par deux radicalistes musulmanes, Ornella Gilligmann : (29 ans, convertie à l’Islam en 2009 et fichée « S » pour s’être rendue en Syrie en septembre 2014) et la jeune Oum Seyfullah (alias Inès Madani, 19 ans), radicalisée par Abou Omar, un gourou connu des brigades antiterroristes. Voilées d’un hidjab noir, à bord d’une Peugeot 607 chargée de six bombonnes de gaz et de trois bouteilles de gazole, le commando féminin, depuis le garage de l’un de leurs complices, Amel Sakaou, abandonna leur véhicule piégé à proximité de Notre-Dame, après avoir vainement tenté, à deux reprises, vers 3h 30 du matin, d’allumer à la cigarette leur chargement explosif à l’aide d’un textile trempé d’hydrocarbure. Bien heureusement, la méconnaissance pyrotechnique de ce matériel de fortune, puis le dérangement occasionné dans le secteur et la précipitation auront eu raison de cet attentat avorté. Mais ne nous y trompons pas, l’intention de détruire Notre Dame de Paris, symbole de la chrétienté en ces lieux historiques dans l’île de la Cité, résulte d’un engagement radical de musulmans, laissant conjecturer ce qu’il se produisit par la suite.
Dans la nuit du 2 au 3 mars 2019, un réfugié pakistanais de 41 ans, en situation irrégulière, s’est livré à de nombreuses destructions dans la basilique Saint-Denis. Ce migrant sans-papiers s’est rendu coupable d’actes de vandalisme sur deux portes, plusieurs vitraux retravaillés par Debret et Viollet le Duc par suite des destructions sous la Révolution, dont l’un fut brisé lors de l’intrusion du Pakistanais dans la Cité des rois, ainsi que l’orgue qui fut sauvagement saccagé. Outre la réparation de deux serrures anciennes, le rétablissement du fonctionnement de l’instrument est évalué à dix mille euros, tandis que la remise en état des vitraux, datant du 19ème siècle, suppose un préjudice minimum de quarante mille euros.
Un projet d’attentat à la bombe fut planifié pour le 26 décembre 2000 par un groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC). Cette action de vandalisme fut cependant déjouée durant l’hiver, visant simultanément le marché de Noël au pied de la Cathédrale de Strasbourg ; symbole de la chrétienté régionale. Parmi les quatorze militants islamiques, Slimane Khalfaoui et Mirouane Ben Ahmed furent appréhendés et jugés sur le territoire français, tandis que Yacine Akhnouche et Rabah Kadri furent arrêtés et incarcérés au Royaume-Uni de Grande Bretagne. Quatre autre de ces terroristes, dont le chef opérationnel Rachid Boukhalfa, alias Abou Doha dit « le docteur » (lieutenant d’Oussama Ben Laden), furent jugés en Allemagne et au Royaume-Uni. Certaines complicités se sont évaporées.
D’autres départs de feu furent signalés le 17 mars 2019 à l’Église Saint-Sulpice à Paris, puis dans la Cathédrale Saint-Alain à Lavaur dans le Tarn le 5 février 2019. Le coût global de restauration de ces actes de vandalisme se chiffre à plusieurs centaines de milliers d’euros. Tous les auteurs de ces déprédations ne sont pas connus, notamment à l’Église Saint-Sulpice, mais de fortes présomptions laissent conjecturer la nature et l’origine de cette haine contre une religion d’Abraham qui prêche l’amour et la concorde ; des enseignements humanistes que ne partagea certes pas le prophète des Musulmans.
Revenant à l’incendie de Notre-Dame de Paris qui s’est déclaré près de la charpente du monument dans la soirée du 15 avril 2019, plusieurs zones d’ombre restent non élucidées. Des travaux de restauration étaient en cours sur l’ouvrage échafaudé sur l’aile de la flèche. Sachant qu’aucun câble ni boîte d’énergie ne furent installés sous la charpente, dite « forêt », précisément pour éviter tout risque de court-circuit électrique, il s’avère surprenant que des flammes apparurent spontanément au niveau des échafaudages positionnés sur la toiture.
Selon le procureur de Paris, Rémy Heitz, deux alarmes sonores de détecteur de fumée se déclenchèrent successivement à 18 h 20 puis à 18 h 43, soit à 23 minutes d’intervalle. Passé la procédure de levée de doute, l’évacuation fut exigée. S’agissant de l’anomalie présumée sur l’écart entre ces deux alertes sonores, l’hypothèse émise autour d’un défaut informatique sur le boîtier de commande de sécurité de l’édifice fut écarté.
Ce qui revient à présumer qu’il y eut vraisemblablement deux départs de feu distincts, non une première fausse alerte dont serait responsable une sirène incendie défectueuse, bizarrement suivie d’une seconde avérée justifiée ou autre mise en cause d’un prétendu dysfonctionnement dut au personnel de sécurité. La théorie selon laquelle un seul feu aurait déclenché successivement les deux alertes à intervalle, (une fois la première neutralisée) par la propagation du sinistre demeure improbable, eu égard à l’éloignement des détecteurs dont la distance aurait demandé davantage que 23 minutes. Ipso facto, l’existence d’un accélérateur chimique d’embrasement (fioul, acétone, dioxygène et autres conducteurs intense de combustibles induisant un tétraèdre de feu…) dont la bulle thermique est susceptible de provoquer des tourbillons ardents (pyrolyse d’un vent opposé, effet cheminée), s’avère être une piste plus sérieuse que celle d’un incendie spontané sans accélérant. Or, aucune trace suspect de tels accélérateurs n’a été décelée.
L’ex-architecte en chef des monuments historiques, Benjamin Mouton, chargé de la sécurité de la Cathédrale jusqu’en 2013, affirma que le dispositif de détection incendie était parfaitement opérationnel, dont les portes coupe-feu remplacées aux normes, rappelant l’absence d’électricité dans les combles du monument. D’autres responsables sur place affirmèrent que l’incendie ne pouvait provenir d’un court-circuit. En outre, il aurait fallu une charge calorifique très importante, telle la présence d’un accélérateur, pour que se déclare le sinistre avec une telle violence et promptitude. Les Compagnons du Devoir insistèrent sur l’impossibilité qu’une poutre en chêne, par sa dimension et sa résistance en termes de dureté et d’âge, puisse s’enflammer aussi spontanément ; les bois de charpente s’étant minéralisés au fil des siècles.
À l’appuis de ces argumentations qui démontent la conjecture d’un incendie accidentel, par négligence ou vétusté des installations, Nicolas Dupont-Aignan, certes en campagne électorale, n’écarta pas l’hypothèse d’un attentat terroriste, notamment à savoir comment l’incendie aurait-il pu se déclarer vers 19 h, alors que le chantier s’arrêtait entre 17h et 17 h 30 ?
Mais la polémique de gauche devait se montrer servile pour accréditer la thèse d’un accident ou d’une imprudence, cela pour mieux dissimuler l’évidence d’un acte criminel qui dérange, en particulier devant les enjeux des élections européennes, afin de protéger la politique d’immigration emmenée par Emmanuel Macron sous la houlette de la présidence de la Commission (UE). En effet, s’il était prouvé que cet incendie ait été provoqué par un terroriste islamique, le chef d’État aurait toutes les difficultés, devant les électeurs et les donateurs en colère devant ces mystifications, pour justifier le nombre croissant de vandales et de pyromanes musulmans qui sévissent contre le patrimoine et la culture de la France, a fortiori parmi les réfugiés qui s’attaquèrent aux édifices chrétiens, ainsi vu plus haut.
N’en déplaise à la presse affidée à l’exécutif et qui voudrait rendre responsable l’entreprise restauratrice pour dédouaner l’incurie de l’exécutif et l’omertà du ministère public, l’électrification des cloches dénoncée s’est révélée conforme au dispositif anti-feu. De surcroît ce mécanisme est installé de l’autre côté de la zone d’incendie, autrement dit dans les tours intactes du parvis place Jean-Paul II ; prouvant que tout ce secteur ne pouvait être le lieu responsable au départ de l’incendie.
Quant à évoquer la présence de sept mégots de cigarette (non vaporisés par le feu) sur une passerelle métallique de l’échafaudage extérieur, il faut une bonne dose de mauvaise foi, sinon une absence totale de logique pour accréditer une telle responsabilité incendiaire des intervenants professionnels, lesquels ne furent nullement mis en cause par la justice après enquête, ni inquiétés par les compagnies d’assurances. D’ailleurs, LCI évoqua aussi l’évidence de deux départs de feu, d’où un acte criminel présumé (Source : wikistrike.com, 16 avril 2019). Enfin, les entreprises sur le chantier avaient formellement interdits les intervenants de fumer, affichage et sanctions à l’appui.
« Une dizaine d’églises ont été profanées en une semaine dans différentes régions françaises, cibles du vandalisme antichrétien le plus évident » déplora le quotidien ABC. Sur la chaîne Fox News, il fut évoqué : « Le political correctness va vous faire croire à un accident », avant que le journaliste Shepard Smith ne l’interrompt sèchement ; jugeant ce discours de théorie conspirationniste, contre-productif et issu de l’intox diffusé par les fake news… oui mais par qui et pour défendre quelle cause sinon celle des migrants ?
Dans la revue en ligne LesObservateurs.ch, un tailleur de pierre de Notre Dame, compagnon du Devoir et membre compagnonnage du Tour de France, fait état sur les forums du nombre inconsidéré d’immigrés islamistes intérimaires, comprenant peu ou prou le français, qualifiés ou non sur le chantier, auquel s’ajoutent des difficultés relationnelles graves et tendues, d’irrespect et de provocations violentes rencontrées sur le terrain avec des réfugiés qui prient Allah sur le chantier des édifices chrétiens ou israélites. Certains « nous haïssent » ajouta-t-il. Or sur le chantier de Notre Dame, il ne fut notifié aucune incivilité des exécutants sur le terrain, ni d’employés susceptibles de malveillance.
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En conclusion, l’enquête n’a jamais permis de conclure à une cause unique ou à un acte d’incendie volontaire. Les investigations n’ont seulement porté que sur des facteurs de risque potentiels de failles dans la gestion du chantier, sans que rien ne puisse désigner une quelque faute des entreprises, ni un matériau ou produit incriminé porté dans le procès-verbal. À défaut de preuve ou de mobile, les autorités évoquèrent la complexité de l’investigation, se dédouanant sur l’ampleur du désastre et de l’encombrement qui aurait compliqué l’accès à des zones pour expertise. Or, cette excuse ne tient absolument pas, pas davantage que de présumés mégots de cigarette subodorés dont aucune trace décelée, qui par ailleurs ne sauraient enflammer une passerelle métallique, pas plus qu’une poutre en chaîne vitrifiée, car d’âge multi-centenaire fossilisé qui ne saurait prendre feu spontanément et toute seule.
Les rapports des pompiers et des enquêteurs sur place ont exclu, avec une rapidité suspecte de pression politique, l’hypothèse d’un acte volontaire, en arguant que ces travaux impliquaient l’utilisation de matériaux possiblement inflammables, mais sans jamais en préciser lesquels et à quel endroit. Quant aux armoires électriques provisoires sur le chantier, une contre-enquête emmenée par les défenseurs des entreprises labellisées par les Bâtiments de France, ont rapidement écarté toute négligence ou accident, eu égard au respect des normes de sécurité : disjoncteurs, fusibles électroniques, interrupteurs différentiels, parafoudres, relais de protection et raccordement aux barrettes de terre. Toutes les précautions ont été prises et rien – absolument rien – n’accuse légitimement la responsabilité du chantier. Mais il fallait absolument, pour l’État-Macron responsable des déferlements migratoires de tous les dangers, prévenir toute vraisemblance d’attentat terroriste par des observateurs lucides et avisés, alors arbitrairement taxés de conspirationnisme et initiateurs de fake news.
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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