Autopsie du dernier des rois maudits 2

Publié le 19 décembre 2024 par Observatoiredumensonge

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Autopsie du dernier des rois maudits

Chapitre 2


II – Pour Charles De Gaulle, « La civilisation musulmane se posait comme un corps étranger, inassimilable à l’histoire de la Nation française, produit de la civilisation chrétienne ».

Ces entités de blocage politique, où la liberté d’expression se fait à sens unique, de gauche à l’extrême gauche en passant par le vert écolo et les altermondialistes qui s’inventent une autre mondialisation pour mieux déraciner les vestiges nationaux, provoquent la montée en puissance d’une défrancisation du pays des Francs. Cette patrie, que l’on doit à Clovis au Vème siècle, s’est enrichie des civilisations successives principalement d’Europe, car toutes étaient compatibles et s’intégrèrent les unes aux autres. Dans l’intervalle, les Sarrazins furent chassés d’Europe à la faveur de la Reconquista depuis la Péninsule ibérique ; un refoulement qui ne saurait autrement s’expliquer que par l’insolubilité d’une communauté cultuelle martiale qui ne pouvait s’accommoder avec les autres. C’est pourtant sur le terreau gallo-romains, celte, normand et germain, que repose un foisonnement de traditions et de culture depuis les Francs, qui façonnent depuis des millénaires notre mode de vie coutumier, nonobstant les querelles féodales et les conflits majeurs qui déchirèrent cette harmonie.

Cette immixtion pluriculturelle issue du vieux continent judéo-chrétien, semble ne pas convenir à Macron, lequel, par la voie d’une immigration de masse, tente d’islamiser le pays, en incitant les ressortissants l’Afrique et du Moyen-Orient à envahir les zones urbaines et les campagnes de France ; la seule promesse qu’il ait tenue. Sur ce registre, la démographie depuis les nurseries en France, semble répondre au discours visionnaire de Houari Boumediene, prononcé à la tribune de l’ONU le 10 avril 1974 : « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère Sud pour aller dans l’hémisphère Nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire » ! Si la civilisation occidentale veut survivre, ni le concept du mondialisme quel qu’il soit, ni le communautarisme arachnéen de l’islam intégriste ne saurait répondre favorablement à l’exigence des droits naturels que forgea l’esprit des Lumières ; lit de notre démocratie.

Cet héritage judéo-chrétien enracine notre habitat, même si la religion ne fut jamais gommée par l’esprit laïc qui fait honneur à la France, entre tolérance et concorde. Mais pour l’islam de l’intolérance, les fondamentaux coraniques de la haine des différences font le lit du terrorisme, des émeutes et des razzias, des assassinats racistes ; le tout procédant à la dégénérescence des valeurs civilisatrices et humanistes. Comprenons que cette déchéance des standards républicains et laïcs ne ressort pas d’une vision négative sur une religion plutôt qu’une autre. Mais les faits sont têtus, car une large majorité de violences et de crimes peuple majoritairement les prisons de France. Afin de contrebalancer cette réalité de terrain, la bien-pensance et le politiquement correct font pencher la xénophobie du côté des nationaux plutôt que de dénoncer le racisme et les mouvements anti-France que cultive les Frères musulmans dans les mosquées et madrasas des banlieues urbaines arabophones de France.

Les slogans pour le « bien vivre ensemble », ou du « pas d’amalgame », sont jetés en pâture aux médias pour insinuer que le problème ne vient pas de la politique d’immigration de Macron et de ses prédécesseurs. Pour cet adepte de la secte WEF (World Economic Forum*), comprenons que le communautarisme musulman vient au secours du mondialisme, dont les lobbyistes préconisent la réinitialisation des États, que le Président français traduisit en termes de déconstruction. C’est avec le concours cette communauté mahométane que se précise l’effacement des valeurs patriotiques et le brassage pluriculturel souhaité par ce chef d’État. La quête de l’islam n’est-elle pas celle d’une mondialisation d’un genre cultuel, une croisade inversée, une guerre de civilisation emmenée depuis l’Hégire par un prétendu prophète pour imposer un grand khalifat sur toute l’humanité ?

N’est-ce pas précisément ce qu’il s’inscrit dans le Coran et les hadits (Voir « Les pages noires du Coran à bannir du XXIème siècle », aux éd. Edilivre) ? Klaus Schwab le gourou de Macron, à l’appui de son graal : « The Great Reset », etla muse de ce chef de l’Élysée, Ursula von der Leyen à la tête de la Commission (UE), imposent cette immigration mahométane sur toute l’Union. Tous trois y ajustent cette armée de réfugiés islamiques en Europe pour enfoncer les portes de toute velléité patriotique. Cette invasion prédatrice, qui lâche sur les territoires d’accueil des armées de migrants, lesquelles importent cette violence cultuelle que draine l’islam depuis le Moyen-Orient et le Maghreb depuis le VIIème siècle, est emmenée par la secte WEF* et l’Union européenne ; les piliers du concept politique et financier du mondialisme.

Sous l’hypocrite mobile, certes honorable, des droits aux réfugiés, du melting pot ou du regroupement familial, l’accueil massif, brutal, sauvage et inassimilable de millions de migrants réguliers ou clandestins vampirise les institutions. En exigeant aux Français de s’intégrer aux valeurs cultuelles de ces migrants, qui eux-mêmes refusent leur assimilation sur le territoire d’accueil, ce sont les autochtones qui deviennent des réfugiés chez eux. Au rythme des agressions, des exactions, des émeutes insurrectionnelles et des meurtres racistes venant des rangs de ces réfugiés musulmans, nul doute que la France entre déjà dans la seconde phase d’une libanisation rampante, comme il en fut aussi dans les Balkans. Cette partie du monde moyen-orientale correspond à l’histoire de l’Empire byzantin, que dévora par suite l’Empire ottoman, mais qui en conserva les stigmates.

Doit-on accepter que l’islam ait le statut d’une religion, alors que dans le Coran, jamais le mot amour n’y est prononcé une seule fois ? Pas même le dieu de l’islam, dans ce livre de culte, où des paroles dites sacrées furent rapportées dans la Sunna, ne fit entendre quelque adoration pour les contemporains du Prophète, sinon de leur promettre une mort lubrique parmi des prostituées (les houris) dans le paradis d’Allah, ou l’enfer pour ceux qui refusent de faire la guerre aux non-musulmans, en particulier aux Hébreux en désignant les Juifs. Le dieu et son démiurge Muhammad ne furent jamais aimés à la façon du dieu des chrétiens, car ils étaient craints dans l’obéissance martiale pour conquérir le monde ; autant dire occire tous les êtres humains qui refusent de faire allégeance à Allah (le chahada) !

L’islam s’apparente donc davantage à une secte apocalyptique où la mort y est préférée à la vie, qu’à une confession d’amour ou de paix. De sorte qu’en important en France ce culte mortifère pour effacer la société judéo-chrétienne, Macron se fait malveillant, sinon irresponsable. Ne cherchons pas une quelque excuse tiers-mondiste dans l’âme de ce Président, en prétextant venir au secours de réfugiés porteur du Coran d’une main, et d’un cimeterre de l’autre ; une métaphore certes, mais une sinistre réalité contemporaine. Tout individu doué de discernement et de lucidité ne prendrait pas l’initiative de persister dans cette voie suicidaire pour le pays, comme il en va aujourd’hui à Mayotte ; un département français, de non-droit, de violences, de trafic de drogue et de crimes de sang…, mais trop loin de l’Hexagone pour s’en soucier.

À SUIVRE

Daniel Desurvire


Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).


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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE


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Sommaire :

I – La France, bientôt dépendante des aides de la Banque mondiale pour le tiers-monde

II – Pour Charles De Gaulle, « La civilisation musulmane se posait comme un corps étranger, inassimilable à l’histoire de la Nation française, produit de la civilisation chrétienne ».

III – Du collectivisme communiste à la social-démocratie des États capitalistes, le mondialisme ne saurait correspondre à la vision d’une civilisation achevée

IV – À l’effondrement des outils de production, succède la braderie des forces vives de la Nation

V – À ce jour, il faudrait remonter au Gouvernement provisoire de Vichy pour trouver une situation sanitaire, sociale et économique aussi désastreuse en France

VI – la France de Macron n’a plus d’argent, plus guère de performance industrielle, ressemble à une friche d’usine, mais avec un faste présidentiel à la Ceausescu ou à la Bokassa

VII – Idiosyncrasie présidentielle et catapultage des valeurs honorables vers les soubassements glauques de l’Élysée

VIII – Question débauche, la mode LGBT et le wokisme ne font pas dans la dentelle !

IX – Les bacchanales d’un chef d’État en ricochets de son égérie Ursula von der Leyen, et en réponse aux intrigues du Build Back Better Plan de la secte WEF

X – Destituer Macron ne suffirait pas à réparer les horreurs commises, car la justice devra prendre le relais au ban d’infamie, pour répondre des dommages infligés à la France et aux Français

XI – Psychologie sociale et endoctrinement fondamentaliste à la croisée des chemins

XII – Épitaphe en guise d’épilogue