La station spatiale internationale est en orbite à 340 km d’altitude.
Dans le détail :
Il s’agit d’une plateforme internationale d’expérimentation, d’observation et de recherche scientifique de la dimension d’un terrain de foot.
Un bijou technologique en cours d’achèvement. En effet, le chantier a débuté en 1998 pour se terminer en 2010 par l’ajout de différents modules comme un gigantesque jeu de construction.
Les meilleurs ingénieurs travaillent sur ce projet et 2 à 3 personnes vivent en permanence là-haut.
La sécurité se doit d’être au top niveau tant les enjeux sont immenses. Quand je parle de sécurité, je fais allusion à la sécurité physique, mais pas seulement.
Imaginons qu’un virus informatique malveillant parvienne à infester le réseau de la station. Cela pourrait occasionner des pertes lourdes de données (ce qui est le moins grave) mais aussi la mise en danger de vies humaines si les dégâts s’étendent par exemple sur du matériel réglant la pression ou la production d’oxygène.
Ce cauchemar s’est réalisé. Un virus a été introduit dans la station internationale.
Fort heureusement détecté et neutralisé et peut-être même inoffensif. Mais là où cela effraie c’est le cas s’est présenté, c’est que le protocole de sécurité n’est pas suffisant.
Des informations glanées dans la presse laisse supposer que le virus a pu être transporté par le biais d’un support mémoire tel qu’une clé USB ou une carte SD elles-mêmes apportées par un astronaute.
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