Autopsie du dernier des rois maudits 6

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Autopsie du dernier des rois maudits

Chapitre 6

VI – La France de Macron n’a plus d’argent, plus guère de performance industrielle, ressemble à une friche d’usine, mais avec un faste présidentiel à la Ceausescu ou à la Bokassa

La Cour des comptes en France et la CCE de l’Union ont publié des rapports alarmants frisant l’apocalypse. Les instituts de rating (notation) ne cessent de baisser la note souveraine de la France, à l’appui du FMI qui publia un rapport effarant. Mais Macron signe et persiste, puisant dans toutes les tirelires, tel le Fonds de réserve des retraites où 150 M^ds d’€ ont disparu, ainsi qu’avec de solides ponctions sur l’AGS, les fonds Mariannes etc. Quant aux instituts indépendants de notation, les quatre principales agences mondiales de rating, dont les financements sont directement liés aux clientèles politiques, la vraisemblance de l’honnête de leurs indicateurs finit aussi par se corroder sous les pressions corruptibles de leurs promoteurs nationaux en Europe. La raison en est que trop de notes à la baisse induisent des conséquences négatives aggravantes sur les marchés financiers. Nonobstant ce frein, la notation « AAA » de notation à l’unisson pour la France en 2011 par les agences de notation, l’Hexagone a dégringolé son score à « AA- » par Fitch rating, puis « A » par Dagong, puis encore à « BBB à perspective » négative par Egan-Jones sous le mandat de Macron. 

La moitié du budget national est à ce jour financée par des emprunts sur les marchés hors du Palais Brongniart, dont les taux d’intérêts usuriers sont en hausse constante. Les cryptomonnaies servent à tarer les ponctions budgétaires ; une planche à billet virtuelle pour un déficit bien réel. La trajectoire fixée dans le cadre de la loi de programmation fut déjà brisée pour 2024, avec un nouveau recul du PIB qui oscille entre 4 % et 5 % selon les prévisions attendues toujours plus catastrophiques (4,4 % annoncé par l’Insee, mais bien davantage par l’OCDE) ? Avec nombre de demandeurs d’emploi en hausse, et une liste de défaillances d’entreprises qui inexorablement ne cesse de croître, la France est financièrement vitrifiée. La notation de S&P, accordée sous perspective négative, fut jugée plutôt conciliante pour avoir maintenu la note « AA » pour la France en 2023, alors que le fonds monétaire international (FMI) releva que les pays, qui ont une dette en pourcentage moitié moins élevée que la France, affichent bizarrement le même niveau de notation !

Cependant, la crédibilité voire la rectitude des anticipations de l’Exécutif français est en perte de confiance, de sorte que les prévisions transversales des agences de rating, tels Standard & Poor’s, Moody’s et Fitch sont beaucoup plus pessimistes que S&P Global Rating. Pour cause, la notation financière souveraine vient d’être abaissée de « AA » vu ci-dessus à « AA- » début 2024 par Fitch. Cette dégringolade, en regard des perspectives de croissance non argumentées, mais plutôt en chute accélérée, a contrario des annonces propagandistes d’une Présidence délirante, laisse présager d’autres reculs inéluctables des statistiques autour de l’avenir économique et financier de l’Hexagone. Seule la « déconstruction de la France », voulue par l’antipatriote Macron, s’avère avoir été un succès électoraliste, au vu de sa seconde mandature présidentielle. Certes, la béquille de la France prénommée Ursula, se doit d’amortir le choc, et le gourou de la secte WEF garantir un paradis doré pour son bon élève déconstructeur.

Certes, Macron aura, à lui tout seul, doublé le déficit de la France depuis 2017, mais aussi le chômage débité en tranches de « A » à « E » pour mieux en dissoudre l’entendue réelle des sans-abris et sans-emplois. Plus d’un demi-million de cessations d’activité sont enregistrés chez les artisans et les petits commerçants, sans avoir été comblées par quelques repreneurs imprudents, eu égard à la situation. Outre la dette abyssale de la Sécurité sociale, avec un cumul de dettes de 264 M^ds d’€ en 2023, toujours en progression exponentielle (+ 18 M^ds d’€ en une seule année et + en 2024). Le PLFSS pour 2025 explosera le montant des prélèvements (parts patronales et salariales) et de ponctionner considérablement les remboursements de prestation pour les cotisants ayant droits, alors qu’il n’est toujours rien prévu pour supprimer les gratuités de soins aux millions de migrants étrangers.

Puis sur un autre registre, il y a la chute vertigineuse des exportations à défaut de produire, mais de favoriser les fermetures d’entreprises avec des plans de subventions san redressement ni de reprise à l’horizon. Toujours dans la mire de la déconstruction voulue par Macron, l’assistanat improductif et démobilisant y est préféré à l’incitation à l’emploi à l’investissement. Le pays s’assèche au rythme de ses délocalisations d’entreprises ou de leur cession en bourse à l’étranger, dont les noyaux durs d’actionnaires votent la confiscation des outils de travail pour les déménager, là où la réduction des coûts de production participent d’un dumping social. Le démantèlement productif sur le territoire hexagonal se traduit par des importations massives et des emprunts aux banques étrangères à des coûts usuriers, par tranche de 30 M^ds d’€ annonce le chef d’Exécutif. Mais attention ; tout commence à manquer faute de marge monétaire à Bercy (endettement abyssal) ; un étranglement au passage des devises qui retarde les livraisons. De sorte que ce qu’il reste debout des entreprises françaises, risque de s’effondrer à défaut de produits et de pièces détachées.

Qu’importe, Macron signe et persiste, en adossant aux ± 100 M^ds d’€ annuels le coût de l’immigration islamique en France, des milliards d’euros supplémentaires pour alimenter en armes et munitions la guerre intestine en Ukraine. Macron annonça fin novembre 2024 que cela ne cessera pas, et que par conséquent il va persister à vider les coffres de Bercy et des autres ministères jusqu’au dernier sou ! En prétextant lutter contre la Russie dans cette guerre asymétrique, l’homme de la guéguerre participe activement au massacre des Ukrainiens en conflit interne depuis 2014. En paradant pour prétendre protéger des valeurs de souveraineté, alors que paradoxalement ce psychopathe dénie tout sens patriotique depuis son graal mondialiste, ce personnage pathétique fait son numéro martial. Le tout est mis en scène au détour d’une dépravation LGBT (amputation sexuelle des transgenres aboutissant à la fabrique de monstres amputés et bricolés, cependant privés de libido à vie), puis avec la révolution du wokisme (la conscientisation forcée d’autrui par des formules arbitraires), Macron ose encore – sans rire – provoquer la première puissance nucléaire du monde !

À SUIVRE

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE

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Sommaire :

I – La France, bientôt dépendante des aides de la Banque mondiale pour le tiers-monde

II – Pour Charles De Gaulle, « La civilisation musulmane se posait comme un corps étranger, inassimilable à l’histoire de la Nation française, produit de la civilisation chrétienne ».

III – Du collectivisme communiste à la social-démocratie des États capitalistes, le mondialisme ne saurait correspondre à la vision d’une civilisation achevée

IV – À l’effondrement des outils de production, succède la braderie des forces vives de la Nation

V – À ce jour, il faudrait remonter au Gouvernement provisoire de Vichy pour trouver une situation sanitaire, sociale et économique aussi désastreuse en France

VI – la France de Macron n’a plus d’argent, plus guère de performance industrielle, ressemble à une friche d’usine, mais avec un faste présidentiel à la Ceausescu ou à la Bokassa

VII – Idiosyncrasie présidentielle et catapultage des valeurs honorables vers les soubassements glauques de l’Élysée

VIII – Question débauche, la mode LGBT et le wokisme ne font pas dans la dentelle !

IX – Les bacchanales d’un chef d’État en ricochets de son égérie Ursula von der Leyen, et en réponse aux intrigues du Build Back Better Plan de la secte WEF

X – Destituer Macron ne suffirait pas à réparer les horreurs commises, car la justice devra prendre le relais au ban d’infamie, pour répondre des dommages infligés à la France et aux Français

XI – Psychologie sociale et endoctrinement fondamentaliste à la croisée des chemins

XII – Épitaphe en guise d’épilogue