🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷
Autopsie du dernier des rois maudits
Chapitre 7
VII – Idiosyncrasie présidentielle et catapultage des valeurs honorables vers les soubassements glauques de l’Élysée
Or, ce chef des armées qui n’a jamais fait de service militaire, sauf à s’exhiber en costume carnavalesque*, en oublie que la France n’est qu’un petit poucet, et risque de disparaître, lors d’une conflagration territoriale géographiquement vaporisé ! Quid des intérêts de la France dans ce conflit loin des frontières nationales ; une guerre intestine qui ne concerne ni la France, ni l’UE et pas davantage l’Otan, mais qui devrait plutôt faire l’objet de forces d’interposition par l’ONU (ingérence humanitaire), et non d’armer les belligérants en guerre civile ? Dans cette ingérence martiale de la France, il n’est même pas question d’alliance historique, d’un danger d’invasion (autre qu’islamique) d’intérêt économique ou industriel avec l’Ukraine, mais plutôt d’une guerre de territoire entre l’Est et l’Ouest comme au temps de la Guerre froide passé la Conférence de Yalta (Crimée) en février 1945. Quid de la France à la tête de laquelle gesticule ce fanfaron rattrapé par le syndrome d’Hubris, atrabilaire jusqu’à la névrose borderline ; lequel dispose néanmoins du pouvoir d’appuyer sur le bouton pour enclancher une guerre nucléaire ?
Tel un leitmotiv, cette obsession de la guerre qu’entretien cet individu fut déjà révélée lors de son allocution télévisée du 16 mars 2020, où ce vocable fut par six fois prononcé avec solennité et insistance. Pour preuve, passé l’échec de sa première guéguerre contre un virion de 0,07 à 0,14 μm,cet histrion enfila un treillis de combat le dimanche 13 mars 2022 pour parader au Salon Doré à l’Élysée dans une ambiance de veillée d’armes. Ce tragédien de foirail se sera travesti en commando parachutiste, sweat-shirt noir et logo CPA 10 des forces spéciales de l’armée de l’air, « L’air harassé, barbe de huit jours, rouflaquettes en broussaille, jean et sweat à capuche », selon l’approche hilare du journal Wall Street, pour correspondre au délire du petit caporal Macron, à la dégaine de son idole ; le Président ukrainien qui fut autrefois pilleur de banque à ses heures (Voir « La République en danger – Alerte : une taupe de la secte WEF grimée en soldat parachutiste siège à l’Élysée », L’Observatoire du Mensonge, mai 2022).
Comment ne pas avoir honte de cette France qui a maintenu à sa tête un pareil hâbleur, dont on ne sait pas s’il est poursuivi d’infantilisme persistant ou de trouble bipolaire ou maniaco-dépressif ? Tel Néron au début de notre ère, qui se produisit devant la plèbe romaine en tragédien, le ridicule bat son plein lorsque l’on sait que le jeune étalon picard fut l’élève d’un certain Jean-Michel… son mentor. C’est du moins ce que subodore la presse interdite par les censeurs de l’Arcom, de l’AFP ou du NCTCR ; une évocation proscrite par les inquisiteurs de la Place Beauvau ou les vigiles numériques des sleeping Giants. Tels les Frères prêcheurs dominicains, où la torture se faisait « Le produit de la raison », la censure de l’État-Macron réplique à ce jour les allégoriques « Ciseaux d’Anastasie » ; symbole crépusculaire du cri inquiétant de la chouette. Ironie de l’histoire, un certain « Μάκρον » (source hellénique de Makron), selon une Anthologie palatine du poète Lucilius (II,95), contemporain de Néron, fut le thuriféraire de l’Empereur (source : Paul Challobos, chercheur au centre Paul Albert Février, Université Aix-Marseille, 12 mai 2017, Revue de culture grecque, Open Edition).
L’artiste anglais, Peter Brook, donna le ton à ce paradigme qui scinde l’imaginaire d’un sujet cyclothymique, affecté par l’inhibition de sa réalité dissociée de sa fiction théâtralisée. Autrement dit, ce trouble dissociatif est vécu entre l’espace scénique et les lieux d’assises d’une salle de spectacle, selon l’angle où le regard anamorphosé se pose : « Dieu réunit ses anges et annonça dans les termes suivants : “Le théâtre sera le domaine où les gens pourront apprendre à comprendre les mystères sacrés de l’univers”. En même temps, ajouta-il avec une désinvolture trompeuse, “ce sera un réconfort pour l’ivrogne et le solitaire” ». Ne percevons-nous pas ici, dans un recoin de cette métaphore, l’idiosyncrasie du personnage Macron ; une variable de réflexions qui s’ajuste à ses verbiages chargés d’avanies, sa faconde impertinente, les logorrhées affectées de ce bonimenteur qui s’ajustent au manteau d’Arlequin ; autrement dit son rideau de scène ? Prenons la liberté d’ajuster l’Empereur romain susmentionné au Jupiter de l’Élysée, puisque le modèle, depuis la mythologie grecque au Capitole, rappelle étrangement le cynisme d’une sombre épopée, cependant vue et corrigée dans la médiocrité de sa copie du XXIème siècle.
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
♣ ♣ ♣
Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE
♣ ♣ ♣
Le livre choc qui dérange la caste !
Le livre broché sur AMAZON à 17,90 € à commander ICI
et le PDF à recevoir par mail à 7,50 € c’est Là !
Sommaire :
I – La France, bientôt dépendante des aides de la Banque mondiale pour le tiers-monde
II – Pour Charles De Gaulle, « La civilisation musulmane se posait comme un corps étranger, inassimilable à l’histoire de la Nation française, produit de la civilisation chrétienne ».
III – Du collectivisme communiste à la social-démocratie des États capitalistes, le mondialisme ne saurait correspondre à la vision d’une civilisation achevée
IV – À l’effondrement des outils de production, succède la braderie des forces vives de la Nation
V – À ce jour, il faudrait remonter au Gouvernement provisoire de Vichy pour trouver une situation sanitaire, sociale et économique aussi désastreuse en France
VI – la France de Macron n’a plus d’argent, plus guère de performance industrielle, ressemble à une friche d’usine, mais avec un faste présidentiel à la Ceausescu ou à la Bokassa
VII – Idiosyncrasie présidentielle et catapultage des valeurs honorables vers les soubassements glauques de l’Élysée
VIII – Question débauche, la mode LGBT et le wokisme ne font pas dans la dentelle !
IX – Les bacchanales d’un chef d’État en ricochets de son égérie Ursula von der Leyen, et en réponse aux intrigues du Build Back Better Plan de la secte WEF
X – Destituer Macron ne suffirait pas à réparer les horreurs commises, car la justice devra prendre le relais au ban d’infamie, pour répondre des dommages infligés à la France et aux Français
XI – Psychologie sociale et endoctrinement fondamentaliste à la croisée des chemins
XII – Épitaphe en guise d’épilogue