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Autopsie du dernier des rois maudits
Chapitre 8
VIII – Question débauche, la mode LGBT et le wokisme ne font pas dans la dentelle !
Rappelons-le ; l’étudiant Emmanuel Macron, alors mineur, victime de viol par son professeur selon le psychiatre italien Professeur Adriano Ségatori (voir p. 84 et suiv., « Les malveillances politiques », en bibliographie in fine), fut l’élève et l’acteur sur les planches de son maître de Français, réinvesti en coach d’art dramatique, Brigitte Trogneux. Associé à ce possible traumatisme, cette posture de comédien ne quitta jamais Macron durant son parcours politique, cela depuis le plateau du théâtre au lycée La Providence, où il joua la scène de L’art de la comédie du scénariste Eduardo de Philippo. Comprenons que la comédie instrumenta ses canulards, facéties et menteries dont se gave ce chef d’État depuis ses interventions sur les plateaux télévisés.
Selon Sigmund Freud, le refoulement conduit à la frustration. Ne pouvant pas apercevoir le public plongé dans l’ombre face aux feux de la scène, Macron se trouve confortable dans une architecture de théâtre, où il est vu sans être lui-même obligé de faire face au regard des autres. L’individu fuit ses interlocuteurs (trouble dissociatif, absence d’empathie dans les interactions sociales, syndrome d’Asperger ?) dont il ne peut guère éviter le vis-à-vis. Lorsqu’il se fait apostropher dans la rue, il se dégage avec des paroles vexantes pour mieux simuler sa gêne. Cela explique aussi pourquoi Macron, l’homme du selfie qui s’adresse aux jeunes sur TiKTok, en teeshirt hibou, parvient à s’exprimer avec aisance, comme devant une caméra Tv pour seul interlocuteur, alors qu’il fuit tant qu’il le peut les rencontres publiques et interviews dont il impose les questions. Presque jamais Macron s’expose aux débats interactifs des conférences de presse, alors que ses rencontres avec des édiles, il les impose sur scène, dans l’ombre d’une salle inerte. Philippe de Villiers, lors d’une entrevue avec ce chef d’État à l’Élysée, fit aussi cette remarque sur ce regard fuyant de son interlocuteur.
Les génuflecteurs du couple Macron, pionnier d’une dérive sexuelle à la mode LGBTQ+, d’où la débauche lexicographique qui découle de la novlangue autour de cet épiphénomène de société, s’autorisent toutes les outrances morales, comme à favoriser la chirurgie transsexuelle des enfants, mettant en péril les fondements de la famille dont le code Napoléon de 1804 encadra les nobles standards de la famille. En usant du langage woke pour mystifier des pratiques contre-nature, la désoccidentalisation de la France est en marche. Les valeurs profondes de notre civilisation se noient sous un tsunami d’imprécations pour briser les valeurs traditionnelles et morales, par l’usage wok de « cache-mots ». Observons le libertinage au goût présidentiel, où les garde-fous de l’éthique, des codes sociaux et des assises juridiques ont sauté. À cette débauche de permissivités autour du sexe, s’impose le filtre aux mailles serrées d’un pouvoir sans mesure, qui proscrit le langage vrai derrière une anarchie de valeurs réassorties dans le vice. Tout ce qui dérange l’esprit du sybarite à la mode élyséenne, siège dans l’orthodoxie des valeurs historiques et des pairs de France.
Symptomatiques sont les messages injectés à travers les vidéo-clips révélateurs sur fond LGBTQIA ; un stimuli emmenée par les collectifs du « Coming out of the closet » ! Le wokisme en est porteur, et les mixités transgenres y apportent une touche omniprésente sur les écrans Tv, en y concoctant les recettes post-modernistes du couple black & white dont on ne sait qui est l’homme de la femme, puisles baisers voluptueux d’homosexuels sur les écrans, puis encore les travestis et autres parodies décalées de l’hétérogénéité. Un sociologue suisse a mis en évidence cinq types de couples ; de quoi s’y perdre avec des unions pansexuelles que personne n’ose plus qualifier de turpitude, et encore moins les associer au mythe de Sodome et Gomorrhe (Genèse 18:20-21) ! Ces clichés se vendent bien sur fond d’automobile, de parfums, de clubs de voyages et autres produits de consommation. l’Arcom se fait l’accrocheur de tels accouplements, à dessein d’y fédérer une société revue et corrigée dans le moule de postures sexuelles paroxysmiques, sinon pour provoquer la désapprobation des gens ordinaires, parce qu’ils ont l’audace d’honorer les voies de la fécondité naturelle.
Or, cette recette polychromique de couples mixtes, gays ou saphistes, et l’acceptation sociale et juridique de travestis, comme les gay prides dans la cour de l’Élysée, ou les Fierté LGBTQI+ pour la marche de Paris, ne sauraient être vus à ce jour comme une déviance morale, car ces relations humaines procèdent d’une tolérance dans une société qui se refuse à se laisser claquemurer dans le conservatisme. Cependant, est-il utile d’en faire trop, au risque de contaminer les enfants et de les emmener à la dérive en les incitant à entrer dans la mode délétère des chirurgies transsexuelles irréparables et handicapantes. L’inquiétude voire l’exaspération vient de la fréquence de ces phototypes itératifs de libertinage, dont on peine à ne pas y voir le déclin d’une société décadente. De fait, il s’ajoute à cette mode contestable, des clichés malsains comme un rejet de la nature, que conforte l’incitation à changer de sexe ; une pratique à ce jour légalisée en France, en droit et en jurisprudence.
De fait, la proportion des situations exposées en publicité est en inadéquation avec la pluralité ethnique en métropole, dont même la communauté des homosexuels rejette cette corruption sur la nature sexuelle des « trans ». Si les mariages et autres formes d’unions gays ou lesbiennes sont désormais acceptés dans le décor folklorique des pays occidentaux, il est beaucoup moins assuré que les familles lambda acceptent avec tolérance, joie et empressement, que leurs progénitures changent de genre, même si le droit positif les y autorise. D’ailleurs à ce jour, seulement douze pays – tous en Europe – sur les 195 pays dans le monde, ont légalisé ces opérations chirurgicales pour un changement de genre, souvent assorties d’ablations irréversibles. La transphobie est un sentiment réactif en progression qui se fait connaître sur plusieurs continents, dont les pays d’Europe de l’Est, par des collectifs internationaux de défense des droits humains et de la médecine. En tout état de cause, certains pays, qui ont adhéré au postulat « trans », font désormais marche arrière, comme la Suède et le Japon.
Certes, les pouvoirs publics en France, sous l’impulsion du maître de l’Élysée, se font désormais les promoteurs de ces transidentités de chirurgie rectifiée. Une part du corps médical accompagne cette déviance transgenre, en se servant de l’enseigne de la chirurgie esthétique pour mutiler des jeunes gens en mal de vivre. Ces candidats méconnaissent les implications préjudiciables et les suites affligeantes qui découlent de ces procédés monstrueux. Ces extrapolations de genre, par la voie opératoire, n’étant que plastiques, mais dégradantes et handicapantes, confinent à l’excentricité d’une bacchanale de réattribution sexuelle par le bistouri (phalloplastie, vaginoplastie, ablation des seins…). Pire, la souffrance est au bout, tout à la fois psychosomatique et sociale. De lourds traitements hormonaux prescrits à vie, sont le fardeau des sujets opérés, car la nature luttera constamment et jusqu’au bout pour reprendre sa place dans un corps ainsi irrémédiablement mutilé. La douleur sera sociétale, autant que psychologique et physique, mais cela ne se dit pas à la Tv, avec des apprentis sorciers qui exhibent, à qui veut l’entendre, cette bacchanale contre la nature des genres.
Les clichés normalistes, que cherchent à vendre les promoteurs de ces procédures devenues légales autour des mutations du genre, se fondent certes sur l’autodétermination du candidat, mais en toile de fond sur les profits que génère cette nouvelle intervention médicalisée pour une part du corps médical ; peu scrupuleux en termes de chirurgie esthétique. Cependant, cette modernité lourde de conséquences expose ces candidats à une permissivité outrancière et un encouragement mercantil ; le tout prenant appui sur les fantasmes d’une jeunesse fragile, tourmentée et perméable aux engouements les plus extravagants. La législation reste certes prudente envers les jeunes qui s’interrogent, parce qu’une certaine opinion en parle et en fait état dans une société aux mœurs libéralisées. Mais ne nous y méprenons pas, il ne s’agit-là que d’une parade juridique de façade pour couvrir et dédouaner des gens de politique au plus haut niveau des responsabilités publiques, qui ont si imprudemment ouvert la brèche.
Hormis les phénomènes de mixité interethnique, la binarité sexuée, ainsi le contre-modèle de Violette Morris en son temps, et l’homosexualité innée qu’il faut soutenir sans réserve contre les clichés crasses, il n’est aucunement produit ici de démonstration partisane quant aux virages exhibés de transgressions ou contrefaçons des genres sexuels, hors nature et de cultures décalées. Cependant, la mode transgenre, qu’imbibe le wokisme, apparaît plutôt sous la lorgnette du couple présidentiel au profil marginal, sinon atypique. Le détonateur de cette explosion des mœurs ne vient-il pas de l’hétérogénéité douteuse de ceux-là, avec leur bizarrerie qui fait jaser la presse étrangère ? Seule la France semble vouloir ignorer les évidences, comme mise en sommeil cataleptique par les censeurs de l’Arcom sous l’omertà présidentielle, afin de ne pas alerter l’électeur. Ne dit-on pas que c’est le cocu le dernier informé ?
Peut-être faudrait-il consulter certains sites, dont www.pressibus.org, pour en savoir davantage sur un certain Jean-Michel Trogneux, ou plus sérieusement s’enquérir sur le bien-fondé des reprises cupides des campagnes paramédicales à la recherche d’ingénus, comme matière à corrompre la nature des genres en se servant de traumatismes psycho-sociaux d’enfants, d’adolescents et de jeunes adultes à la recherche d’un idéal sexuel inexpérimenté. Il n’est d’ailleurs pas difficile de trouver les professionnels sur l’internet ; chirurgiens plastiques, pédopsychiatres et leurs établissements spécialisés. À la lumière de ce mercantilisme en adéquation à leurs intérêts privés sous couvert de conseils cliniques, il est permis de douter de la bonne orientation éthique et l’honnêteté de ces praticiens et de leurs conseils hors limites.
Ce virage sociétal des mœurs, en équilibre entre un gourou praticien qui offrira une réponse d’opportunité, et l’attente indécise de sa victime qui ne découvrira que trop tard les vraies implications à cette réponse, ce sera une vie entière qui basculera au réveil de cet effet de mode éthéré. Cette pratique « trans » est jugée dégénérescente et dangereusement déstructurante pour une très large majorité de Français ; un refus encore plus marqué depuis le conservatisme des pays d’Europe de l’Est. Après la dépénalisation de l’homosexualité, la loi transgenre qui autorise de changer d’identité sexuelle, et la législation créant le Pacs puis autorise les mariages de partenaires du même sexe, n’est-il pas temps d’arrêter cette course aux prétendues libertés, lesquelles, passé ces étapes susmentionnées, ne sauraient en être une avec des implants génitaux privés d’orgasme ou d’éjaculation ; lesquels n’offrent même pas la réactivité d’un sex-toy ?
À SUIVRE
Daniel Desurvire
Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).
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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE
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Sommaire :
I – La France, bientôt dépendante des aides de la Banque mondiale pour le tiers-monde
II – Pour Charles De Gaulle, « La civilisation musulmane se posait comme un corps étranger, inassimilable à l’histoire de la Nation française, produit de la civilisation chrétienne ».
III – Du collectivisme communiste à la social-démocratie des États capitalistes, le mondialisme ne saurait correspondre à la vision d’une civilisation achevée
IV – À l’effondrement des outils de production, succède la braderie des forces vives de la Nation
V – À ce jour, il faudrait remonter au Gouvernement provisoire de Vichy pour trouver une situation sanitaire, sociale et économique aussi désastreuse en France
VI – la France de Macron n’a plus d’argent, plus guère de performance industrielle, ressemble à une friche d’usine, mais avec un faste présidentiel à la Ceausescu ou à la Bokassa
VII – Idiosyncrasie présidentielle et catapultage des valeurs honorables vers les soubassements glauques de l’Élysée
VIII – Question débauche, la mode LGBT et le wokisme ne font pas dans la dentelle !
IX – Les bacchanales d’un chef d’État en ricochets de son égérie Ursula von der Leyen, et en réponse aux intrigues du Build Back Better Plan de la secte WEF
X – Destituer Macron ne suffirait pas à réparer les horreurs commises, car la justice devra prendre le relais au ban d’infamie, pour répondre des dommages infligés à la France et aux Français
XI – Psychologie sociale et endoctrinement fondamentaliste à la croisée des chemins
XII – Épitaphe en guise d’épilogue