« Et la menace même de l’orage, partout présente dans l’inquiétante immobilité de l’air, dans la couleur fuligineuse du ciel, et dans l’angoisse qui baignait le corps entier et poussait l’âme aux frontières même de la folie, était plus cruelle encore que son prochain déchaînement. »
Julien Gracq, Au château d’Argol (éd. Pléiade p. 63)