Ils s’étaient perdus en chemin,cela faisait du temps,de longues années quand,avant de se retrouver seuls,ils allaient par les prés,en bandes de petits banditschasser les abrutisdes quartiers ennemis jurés -les jurements de par le sangles liaient à jamais -enfin le jamais des enfants…D’aucuns ne comprendront jamaisla magie d’une fois :cette foi qu’on avaiten murmures sous le toit des draps:il était une fois…C’est une société cachéesous le couvert des mots.à demi-mot je te connais ,toi la sincérité,toi le bienveillant accueil ,toi le vieux camarade,toi la secrète confidencedéfiant la camarde,toi la chance donnée,toi le plus tendre conseiller,vous tous et vos toujours -enfin le toujours des vivants…